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Message non luPosté :05 mai 2005, 11:33 
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Qd on voit la photo du tapissage, on se dit qd même que son oeil gauche, et bien, il est amoché..

Et aussi, on le met au milieu, avec ses cheveux ébourriffés et sa gueule de travers, y a qd même de bonnes chances pr qu'on "cible" sur lui même sans rien savoir de l'affaire. Et malgré ca, personne le reconnait. C'est .. bizarre.

Et pour l'histoire de la Simca, Gérard Bouladou déclare que c'est une erreur de journalistes, mais qu'est ce qui lui permet de dire celà hormis le fait que les Rambla (le père surtout ?) jurent que le petit n'a rien dit..
Le journaliste dit lui que non, ils ont posé des questions sans influencer le petit.
Je préfère entendre ce que dit Spinelli, qu'il a pu confondre parce qu'il faisait pas gaffe, qu'essayer de "zapper" un élément gênant en attribuant ca à une nième erreur, de journalistes cette fois.

Et expliquer moi pourquoi les Aubert n'ont pas été convoqués à la confrontation à laquelle JR ou Spinelli ont eux assisté ? Ils ont vu CR seulement après l'échec des autres témoins..
Pourquoi une confrontation où CR est seul dans le bureau sans aucun PV ?
Si ce n'est parce que les Aubert avaient du prévenir les policiers qu'ils étaient incapables de le reconnaitre, car vu de trop loin.
Trois journaux vont signaler que les Aubert ont été confrontés une première fois à Ranucci et qu'ils ne l'ont pas reconnu.



Le Soir du 6 juin 1974 :

"Un peu avant midi, Christian Ranucci a été présenté, en compagnie d'un groupe d'inspecteurs, à Jean Rambla, qui n'a pas reconnu le suspect comme l'homme qui a abordé sa soeur lundi matin avant l'enlèvement.
Puis Jean a été conduit dans la cour de l'Évéché, devant la « 304» grise de Ranucci. Le jeune témoin a dit qu'il ne s'agissait pas de cette voiture.
Tout de suite après, Christian Ranucci était confronté avec M. et Mme Aubert, venus ce matin spécialement de Toulon pour apporter leur témoignage.
Les époux Aubert ont été confrontés avec Ranucci. Ils ne sont pas formel pour le reconnaître.
Ils affirment que le chauffard est sorti du coupé « 304 » Peugeot avec un enfant.
De son côté M. Aubert affirme qu'il peut donner avec précision l'endroit exact par lequei est entré le chauffard dans le bois.




Nice matin du 6 juin 1974 :

"Un moment de doute
Un instant, pourtant, au cours de la matinée d'hier on avait pu croire que Ranucci n'était pas l'auteur de ce meurtre horrible. Le petit frère de Marie-Dolorès, Jean Rambla, 6 ans, qui avait assisté à l'enlèvement lundi matin alors qu'il se trouvait avec sa sœur dans le parc de la cité Sainte-Agnès, à Marseille, où demeurent ses parents, n'avait pas reconnu en Ranucci l'inconnu qui lui avait demandé de rechercher son chien noir. En outre, mis en présence, dans la cour de l'hôtel de police, de plusieurs véhicules, dont la « 304 » de Christian Ranucci, il avait désigné une voiture appartenant à un policier qui n'avait aucun rapport avec la « Simca » dont il avait parlé le premier jour.
Peu après, lors d'une première confrontation, M. et Mme Aubert, commerçants toulonnais, n'avaient pas, eux non plus identifié Christian Ranucci. Et leur témoignage était capital.
"



Et France-Soir daté du 7 juin 1974 :

(De notre envoyé spécial François LUIZET.)

"M. Aubert, lui, est moins affirmatif:
- J'étais trop loin pour savoir si c'était un enfant que l'homme entraînait. Toutefois, il avait, je suis formel, une sorte de paquet dans le bras.
L'automobiliste avait relevé le numéro minéralogique de la 304. C'est cette même voiture appartenant à Christian Ranucci qui a été conduite dans la cour de l'hôtel de police de Marseille. Elle porte sur son coté gauche complètement cabossé les trace de l'accident. Les policiers, qui ont trouvé à l'intérieur un peignoir de bain blanc à rayures bleues et une carabine de petit calibre, tentent d'obtenir du suspect des précisions sur la présence de ce objets dans son auto.
Il semble cependant que M. et Mme Aubert n'ont pu reconnaître formellement Christian Ranucci.
- Le conducteur était bien loin de nous, ont-ils répété, pour que nous puissions être certain de la ressemblance.
"


Donc il y a bien eu deux confrontations semble-t-il, une au milieu d'autres personnes et une deuxième dans le bureau.


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Message non luPosté :05 mai 2005, 12:14 
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Question "comme ca"

Les Aubert ont ils vu la scène dans de meilleures conditions que Spinelli ? Etaient ils en mesure de reconnaitre celui qu'ils avaient vu de loin et en mouvement et plus de dos que de face...

On n'arrive pas à savoir ce qu'ils ont vu et GBouladou ne répond pas quand on pose les questions précises.

Quand les Aubert découvrent la 304 en sortant du virage que voient ils?


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Message non luPosté :05 mai 2005, 12:35 
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En tout cas, selon la version officielle, les Aubert sont plus crédibles que Spinelli, alors que l'individu ils ne l'ont pas vu dans de meilleures conditions... mais comme le dit JF le Forsonnay ca ne veut pas dire que les Aubert sont de faux témoins.

[/b]


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Message non luPosté :07 mai 2005, 02:40 
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Maintenant le témoignage de Mme AUBERT : vous devriez méditer un élément qui vous a échappé car vous ne voulez pas trop voir ces choses là : le témoignage sonore de Mme AUBERT a été enregistré le 5 juin 1974, avant que Monsieur et Mme AUBERT aient rencontré les policiers. Le matin du 5, Mlle BONAFOS fait la même déclaration à une radio. M. MARTINEZ et sa fiancée n’ont pas encore rencontré les policiers.
Alors, reconnaissez qu’ils sont très forts les policiers de Marseille si l’on en croit votre thèse : ils arrivent à suborner les témoins au téléphone !!! Bravo la police marseillaise, faut quand même le faire au téléphone !
Mlle Bonafos ne peut pas faire la même déclaration que Mme Aubert, ou alors c'est un témoignage de seconde main puisque Mme Aubert déclare avoir vu un homme arracher par la portière arrière qui n'existe pas un enfant. Mlle Bonafos n'a fait que voir l'accident, et décrirait-elle qu'elle a vu un enfant que cela contredirait ce qu'elle dit par ailleurs le 6 lorsqu'elle est entendue à l'évêché, puisqu'elle explique qu'elle n'a pas vu de gosse dans la voiture mais en revanche qu'elle a bien aperçu les lunettes de Ranucci.

Je suis très septique quand à la date de l'enregistrement de la voix de Mme Aubert, j'ai l'impression que c'est plus tardif, même s'il y a marqué europe 1, le 5 juin 1974 sur le bandeau du reportage, puisque cette annotation continue tout au long du récit. En tout état de cause, d'une part on retrouve la totale incohérence de ce témoignage. En effet, Madame Aubert explique à Harduin que le conducteur a "arraché" l'enfant et s'est enfui vers la colline.
Donc si cet homme arrache l'enfant, celle-ci ne peut-être que terrorisée et ne peut donc pas suivre Ranucci de son pleine gré comme elle le dira dans sa déposition et parler d'une voix fluette pour dire, comme elle le signale à Nice-Matin : "qu'allez-vous me faire?" ou bien comme elle le dit dans sa déposition : "qu'est-ce qu'on fait ?" ce qui n'est par ailleurs pas du tout la même chose.

Et d'une autre part, on ne comprend pas pourquoi M. Aubert ne déclare pas aux gendarmes ce que sa femme proclame aux radios. Ce sont les gendarmes qui sont accusés là de ne pas utiliser de sonotone.
Tout cela ne fait que jeter le trouble,mais la réalité est toujours celle-là, si les Aubert étaient si sûrs qu'on le prétend, attendus qu'ils téléphonent à la gendarmerie le 4 à 15h10, le 4 au soir on retrouvait le corps de la gamine.

Or il faut attendre le 5 après-midi et quelques tergiversations,- je sais bien que l'on veut faire porter le chapeau à la gendarmerie, mais tout de même, - les choses n'étaient pas si claires qu'on se contente d'envoyer quatre malheureux gendarmes inspecter les lieux le 4, pour que soit décidée une battue le 5 a midi.


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Message non luPosté :07 mai 2005, 08:36 
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gihel / Et d'une autre part, on ne comprend pas pourquoi M. Aubert ne déclare pas aux gendarmes ce que sa femme proclame aux radios. Ce sont les gendarmes qui sont accusés là de ne pas utiliser de sonotone

Je vous ai expliqué pourquoi les gendarmes avaient menti et mon explication tient la route. Mais vous êtes incapable de la comprendre ou de l'admettre. C'est pour ça que quelquefois je parais méprisant (alors que je suis tout le contraire)

Et quand vous écrivez que monsieur AUBERT a parlé d'une ombre lorsqu'il a décrit l'homme qu'il a vu sortir de la 304, je vous demande (gentiment) de m'indiquer dans quelle procédure vous avez lu cela. Peut être dans le roman de Perrault ?

'"A environ un kilomètre du carrefour, à partir de la sortie d'un virage, il apercevait à environ 100 mètres, le véhicule gris arrêté en bordure de la route, tandis qu'un homme jeune gravissait le remblai et s'enfonçait dans les fourrés en tirant un paquet assez volumineux. L'homme était vêtu d'un pantalon foncé et d'une chemise ou d'un vêtement de couleur claire.
M. AUBERT avait arrêté son véhicule à proximité de la Peugeot 304 grise immatriculée 1369 SG 06 et interpellé le conducteur dissimulé dans les fourrés (RANUCCI dissimulé dans les fourrés : vous savez la fameuse scène où je suis ridicule mais où moi je ne tue personne...) Ayant constaté que personne ne se trouvait dans le véhicule "Peugeot" il repartait en direction du carrefour et indiquait au conducteur accidenté le numéro d'immatriculation du véhicule Peugeot."*Le capitaine GRAS oublie de dire que M. AUBERT explique à M. MARTINEZ que l'homme s'est enfui avec un enfant mais ça on le sait par M. MARTINEZ et sa femme.
M. AUBERT ne parle pas d'ombre mais bien d'un homme qu'il a bien vu et dont il peut donner le signalement.


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Message non luPosté :07 mai 2005, 11:06 
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Si j'ai parlé d'ombre, c'est qu'on déduit de ce qu'écrit le capitaine Gras que le bonhomme n'est apparu qu'en silhouette.

Car évidemment quand on lit ce qui est écrit, on s'aperçoit de ce que le témoignage évolue, même sans parler de paquet et qu'aux gendarmes, M. Aubert déclare que quand il arrive, l'homme s'est déjà barré.

Donc quand il dit qu'il a vu un enfant arraché de la portière. C'est là que cela déraille.

Il faut retenir que quand il arrive, il est trop tard pour voir l'homme tirer l'enfant de la voiture et qu'il a déjà disparu, on voit une silhouette mais pas plus.

Si l'homme était en train de tuer l'enfant, il aurait entendu les cris. A mon avis, l'enfant était déjà morte. D'autre part, Aubert dit qu'il arrête sa voiture à proximité, mais il ne dit pas qu'il passe devant. Il prend le numéro vu de l'arrière et il repart.

Pour moi il est clair que si l'on suit le témoignage rapporté par Gras, il a fait demi-tour à 20m de la bagnole.

Il n'y a strictement rien qui empêche, si l'on se fie à ce témoignage - et ceux qui viennent ensuite sont incohérents - de penser que Ranucci se trouvait encore dans la voiture et que c'est quelqu'un d'autre qu'Aubert a aperçu.


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Message non luPosté :08 mai 2005, 12:29 
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Pourquoi les Aubert n'ont-ils pas pris les clefs de la voiture de la peugeot ?
Pourquoi ne sont-ils pas retournés avec Martinez afin de faire remplir le constat .
Et s'ils ont vu quelque chose d'important, avec Martinez c'était plus facile de poursuivre l'homme qui s'enfuyait dans la colline !
Aubert seul pouvait avoir peur mais avec Martinez, je ne pense pas qu'il craignait quelque chose !
Quant au métier de Aubert, étant directeur (et dans les bureaux), je ne suis pas sûr qu'il pouvait connaitre les véhicules mieux que Spinelli.
Qu'il connaisse bien les camions de dépannage ok, mais je ne vois pas la raison pour laquelle il connaitrait toutes les marques de voiture que ces employés allaient dépanner et déposer dans les garages comme celui de Spinelli !


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Message non luPosté :08 mai 2005, 12:36 
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Mr Martinez étant immobilisé sur la route et voulant cette satanée immatriculation a demandé à Mr Aubert de le poursuivre.

Avec la marque la voiture, le modèle, la couleur et la figure de Ranucci, c'est largement suffisant pour déposer plainte......

Aubert a rendu service, pour le reste, ça n'est pas son problème.

Je ne suis même pas sûr qu'il ait eu le droit de lui voler ses clés.

On ne peut comparer Spinelli/Aubert car Spinelli a vu une scène très rapide alors qu'Aubert poursuit Ranucci et s'arrête à proximité.

Alors, quand bien même, il n'y connaît rien aux bagnoles, il sait lire.


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Message non luPosté :08 mai 2005, 18:08 
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Qu'il connaisse bien les camions de dépannage ok, mais je ne vois pas la raison pour laquelle il connaitrait toutes les marques de voiture que ces employés allaient dépanner et déposer dans les garages comme celui de Spinelli !
C'est comme dans un aérodrome par exemple...le directeur ne connait rien aux avions mais le personnel oui, donc se sont des nuls qui dirigent les aérodromes et les sociétés de dépannage...


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Message non luPosté :08 mai 2005, 18:16 
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Et s'ils ont vu quelque chose d'important, avec Martinez c'était plus facile de poursuivre l'homme qui s'enfuyait dans la colline !
Aubert seul pouvait avoir peur mais avec Martinez, je ne pense pas qu'il craignait quelque chose !
Justement ! si aubert n'est pas revenu immédiatement avec martinez a Lieu du crime ca pourrait signifier qu'il n'a pas vu une scéne "violente" ou du moins quelque chose de "choquant" a Lieu du crime , il a vu une scéne un peu bizarre, un type qui s'enfuit avec un gosse dans les fourrés aprés avoir provoqué un accident et pris la fuite, ce que corrobore la voix pas du tout apeurée de la petite
sinon 'ose croire qu'aubert aurait avertit martinez qu'il se passait quelque chose de pas normal, cris lutte , a Lieu du crime et lui aurait alors demandé de revenir avec lui


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 Sujet du message : Re:
Message non luPosté :12 janv. 2011, 01:19 
Citation :
Il suffit d'aller sur les lieux pour savoir qu'il était facile de repérer l'endroit où se trouvait la voiture de CR. Le reste n'est que du blabla.
le reste n'est que du blabla ?? vous avez de l'humour Mr Bouladou .

ce fait n'est pas nouveau : de nombreuses personnes doutent de la position d'arret de la 304 ( c'est a dire a l'aplomb du lieu du crime ) . en effet Mr Aubert declare qi'il a realisé un demi tour 50 m apres le vehicule.
or , il est bien difficile de realiser cette manoeuvre dans le secteur precisé par Mr Aubert .

d'ailleurs , Mr Bouladou , vous le precisez bien dans votre livre :
" sur cette route , les emplacements permettant de faire demi-tour sont rares "

vous enchainez avec ceci :
" quelques dizaines de metres au dela du lieu de l'arret , la route tourne a angle droit vers la gauche . dans ce virage , sur la droite une petite place en terre donne acces a un chemin conduisant dans des collines et a des galleries . C'EST LA QUE LES TEMOINS ONT FAIT DEMI TOUR "

1ere chose : comment pouvez vous etre aussi affirmatif ?? lors de la reconstitution , les epoux Aubert n'ont pas indiqué le lieu du demi-tour et ce n'est nullement indiqué dans le dossier . c'est une affirmation gratuite de votre part .

2eme chose : ce lieu que vous decrivez est tout simplement le virage en epingle situé entre le lieu du crime et la champi .

voici une photo :
Fichier(s) joint(s) :
RN8epingle.JPG
on y trouve aujourd'hui de l'enrobé mais cest bien l'endroit precisé .

une fois de plus , Mr Bouladou , c'est une jolie bourde de votre part , une information totalement erronnée afin d'argumenter dans l'optique : " Ranucci coupable a tout prix "

LA DISTANCE LIEU DE CRIME - VIRAGE EN EPINGLE EST SUPERIEURE A 200 METRES , donc totalement incoherent avec une cinquantaine de metres ou mieux " une dizaines de metres "
Fichier(s) joint(s) :
RN8.JPG
la cartographie ci-dessus confirme mes propos ( vous trouvez a l'angle gauche l'echelle 50 metres )

ainsi s'acheve mon message , ou plutot mon " blabla " ( .. et du bon blabla , qui confirme que le doute existe )


Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.


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Message non luPosté :12 janv. 2011, 11:28 
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250 m exactement soit 500m allers retour; l'équivalent, d'un allers, d' un peut prés 3 terrains de football .

Ce qui qui na rien a voir, avec les 40, ou 50 metres soit 100 allers retour au dire des aubert pour faire le demis tour .

L'estimation des distances, peut pour certain êtres un vrais cauchemar, surtout pour des longue distance , mais ! ne pas faire une différence entre 250m et 50m , là, faut tout de même pas pousser mémère dans les bégonias .

_________________
"Aimons-nous vivants, n'attendons pas que la mort nous trouve du talent." ( Pierre Delanoë)
http://www.presume-coupable.com


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Message non luPosté :12 janv. 2011, 15:35 
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Citation :
250 m exactement soit 500m allers retour; l'équivalent, d'un allers, d' un peut prés 3 terrains de football .

Ce qui qui na rien a voir, avec les 40, ou 50 metres soit 100 allers retour au dire des aubert pour faire le demis tour .

L'estimation des distances, peut pour certain êtres un vrais cauchemar, surtout pour des longue distance , mais ! ne pas faire une différence entre 250m et 50m , là, faut tout de même pas pousser mémère dans les bégonias .

Les aubert non donc, au moment de leur audition farfelu, inspirer , part les diables- boiteux :wink: de l'évéché aucune idée de ce que il y a , au dela de l'aplomb du crime.

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Message non luPosté :14 janv. 2011, 00:54 
Mr Aubert est certainement de bonne foi lorsqu'il precise un demi-tour au dela de la 304 ... sans doute une cinquantaine de metres . mais cette manoeuvre est difficile a effectuer si on prends comme point de depart le lieu du crime . il est donc probable que la peugeot 304 ne s'est pas arretée a l'aplomb du lieu du crime .


je profite de ce message pour rebondir sur un propos de Gihel :
Citation :
Mme Aubert déclare avoir vu un homme arracher par la portière arrière qui n'existe pas un enfant
ce sont les propos de Mme Aubert a un journaliste le 5 juin 74 .

Mr Bouladou , dans son bouquin , tente de corriger le tir en affirmant ceci :

" elle voulait dire : un monsieur a arraché un enfant de l'arriere de la voiture .. il est evident qu'un coupé 304 n'a pas de porte arriere "

la bonne blague ... si on se refere au scenario des aveux , la fillette grimpe a l'arriere du vehicule a la cité ste Agnes ... elle change de place apres la " pause clope " et ainsi se trouve a l'avant de la peugeot ----> l'individu ne pouvait donc pas arracher un enfant de l'arriere ( sous entendu la banquette arriere )

Mr Bouladou , vous remplacez , soi-disant une erreur .. par une erreur


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Message non luPosté :14 janv. 2011, 10:14 
Je pense que la 304 a très bien pu s'arrêter non pas forcément à l'aplomb du Lieu du crime mais à proximité, quelques mètres devant ou derrière.
Le demi tour des Aubert a très bien pu s'effectuer dans le virage qui mène à la 1ère champignonnière.
Certes, il y a plus de 50 mètres mais j'ai expliqué plusieurs fois que M Aubert semblait avoir quelques difficultés à apprécier les distances.
Exemple : quand il prétend avoir vu la 304 à deux ou trois cents mètres devant lui. C'est impossible puisqu'il n'y a pas une telle visibilité sur cette route.


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