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Dernier message de Mme Mathon à son fils...
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Auteur :  Jacques B. [15 avr. 2009, 20:43 ]
Sujet du message : 

Citation :
Lapsus intéressant que de dire "mère célibataire" pour femme mariée divorcée! Je n'ai pu retenir un sourire.
De toute façon la question n'est pas de savoir si une mère est seule, mais si elle est "phallique". Ca n'a rien à voir!
Quant à la soi disant(e) (sic) approche psychologique, si vous n'en voulez pas, n'en dégoûtez pas les autres.
C'est à mon sens LA voie qui n'a pas été explorée. Je ne doute pas que mon talent soit très limité, mais c'est malgré tout utile.
Vous continuez à briller par votre finesse. Ce n'était pas un lapsus, c'était de l'économie de pulsation sur le clavier. Ça commence à me fatiguer de répéter toujours les mêmes phrases, les mêmes formules pour voir comme on échappe au débat en faisant comme si rien n'avais été écrit.
Avez-vous lu tout le forum pour pouvoir vous attribuer la première de l'analyse psychologique?
Je suis bien d'accord que c'est une approche indispensable, mais je vous ai déjà écrit ce que je pensais de la manière dont vous le faites. Critique que vous avez obviée et préféré vous plaindre d'une ironie inexistente.

Auteur :  Jacques B. [15 avr. 2009, 20:57 ]
Sujet du message : 

Citation :
[...]
Oui. Enfin, je suppose que vous voulez dire "avoir des copines". Elle ne voulait toutefois pas qu'elles viennent chez elle, je crois.
Encore un exemple. Avec un "je crois" quelle analyse psychologique de l'histoire sexuelle de quelqu'un voulez-vous faire?
Tenez une donnée: Ranucci a eu des relations sexuelles suivies avec la soeur du fils adoptif de Mme Mathon. Jeune fille qui d'ailleurs a toujours été amoureuse de lui et n'a jamais pu croire à sa culpabilité.
Soeur du fils adoptif de sa mère, ça ressemble à inceste, non?

Auteur :  jacquesdevillejuif [15 avr. 2009, 21:03 ]
Sujet du message : 

Citation :
[...]

Encore un exemple. Avec un "je crois" quelle analyse psychologique de l'histoire sexuelle de quelqu'un voulez-vous faire?
Tenez une donnée: Ranucci a eu des relations sexuelles suivies avec la soeur du fils adoptif de Mme Mathon. Jeune fille qui d'ailleurs a toujours été amoureuse de lui et n'a jamais pu croire à sa culpabilité.
Soeur du fils adoptif de sa mère, ça ressemble à inceste, non?
Elle n'a pas été élevée comme sa soeur et n'a en + pas de lien réel ,donc ça ne peut pas s'apparenter à de l'inceste ...

Auteur :  cell [15 avr. 2009, 21:44 ]
Sujet du message : 

Citation :
[...]

Encore un exemple. Avec un "je crois" quelle analyse psychologique de l'histoire sexuelle de quelqu'un voulez-vous faire?
Tenez une donnée: Ranucci a eu des relations sexuelles suivies avec la soeur du fils adoptif de Mme Mathon. Jeune fille qui d'ailleurs a toujours été amoureuse de lui et n'a jamais pu croire à sa culpabilité.
Soeur du fils adoptif de sa mère, ça ressemble à inceste, non?
Je crois : pour trancher avec la prétention ambiante. Quand on n'a pas la référence précise, on écrit "je crois".
"Ranucci a eu"... on sait, on sait.
Inceste : n'importe quoi. Les mots ont un sens, savez vous. Mère célibataire ne veut pas dire mariée divorcé!! Et enfant gardé durant quelques années ne signifie pas fils adoptif. Votre religion positiviste du fait vire à l'adoration de l'équivoque.

Rien de ce qui est contre ne vaut quoi que ce soit. Proposez donc une analyse psychologique qui corrige celle que je suggère. Je ne doute pas que vous puissiez brillament faire avancer les choses.

Auteur :  Jacques B. [15 avr. 2009, 22:07 ]
Sujet du message : 

Exactement. Quand on ne sait pas on emploie "je crois" et on ne commence pas toute une série de spéculations vaseuses que l'on auto-qualifie d'analyse psychologique.
On peut spéculer sur des faits bien sûr, mais pas sur la psychologie de quelqu'un pour expliquer ses gestes par rapport aux faits déjà spéculés, car c'est spéculer deux fois, l'une sur l'autre, l'une enlisant l'autre, etc...

Je savais bien que vous alliez me ranger du côté de chez Comte, dès que j'ai lu votre étrange conception de la psychanalyse. Enfin, passons...

Tant qu'à faire repassez le sujet de la famille Bod'j. Ça facilite quand-même un peu de parler de faits, des fois.

Auteur :  cell [15 avr. 2009, 22:21 ]
Sujet du message : 

Vous ne savez pas lire : "je crois" porte sur la référence.

"spéculations vaseuses" : tant que vous voulez! Mais chiche. Essayez donc d'aligner trois phrases sur ce sujet. Allez y.

A moins que pour vous toute considération de psychanalyse ne soit par définition vaseuse. Si vous en êtes là je veux bien vous donner des cours.

Auteur :  Jacques B. [15 avr. 2009, 22:28 ]
Sujet du message : 

Voilà, qui n'adhère pas à votre vision de la psychanalyse est obligatoirement un détracteur de celle-ci. Des cours? Merci, mais franchement, je ne prends de cours que de qui peut m'enseigner quelque chose.

Auteur :  Ludivine [15 avr. 2009, 23:23 ]
Sujet du message : 

Hé bien, c'est convivial et calme par ici!! mmad:
échanges d'aimabilités, ironies en séries, propos acerbes...dites donc, si vous aviez décidé d'ecrire le couteau serré entre les dents, vous ne vous y prendriez pas autrement non?
Si on revenait au sujet de départ?
(lequel n'était pas , je le rappelle, les théories psychologiques de cell....)

Auteur :  jpasc95 [16 avr. 2009, 06:02 ]
Sujet du message : 

toutefois ludivine, nous pouvons reconnaitre qu'il y avait une certaine élégance dans le prononcé des urbanités

C'est ce que j'appelle un début de dialogue social.

Auteur :  Adelayde [16 avr. 2009, 10:52 ]
Sujet du message : 

Jacques B a écrit : « Tenez une donnée: Ranucci a eu des relations sexuelles suivies avec la soeur du fils adoptif de Mme Mathon. Jeune fille qui d'ailleurs a toujours été amoureuse de lui et n'a jamais pu croire à sa culpabilité. »
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Si Monique, la jeune fille en question, avait réellement :
- été amoureuse de Ranucci d’abord,
- persuadée de son innocence ensuite,
son témoignage aurait été capital pour la défense lors du procès ! Or il se trouve que ladite Monique n’a pas témoigné. Est-ce parce qu’elle ne l’a pas souhaité alors même que la vie de l’homme « aimé » est en jeu ? Est-ce parce qu’elle l’a souhaité mais que Lombard, Le Forsonney et Fraticelli ont estimé que ce témoignage ne pouvait que desservir leur client ? La question reste posée…

Quel est le comportement de Monique, l’amoureuse, la persuadée de l’innocence ?
1) Elle pose un congé pour assister, en tant que spectatrice, au deuxième jour du procès : celui où le verdict de mort est prononcé, celui de la curée ! Perrault souligne « Elle est très déçue de n’avoir pas réussi à échanger un seul regard avec Christian ».
Je comprends que ce dernier n'ait pas souhaité croiser son regard.
2) A partir du moment où Ranucci est un mort en sursis, elle lui écrit des lettres enflammées !

Etrange...

Auteur :  Henri [16 avr. 2009, 12:38 ]
Sujet du message :  Re: "proprement"

Citation :
En somme, si je résume et si je sais lire, pour avoir fait part de ma perplexité devant cet adverbe
1) je m'entends dire que "ce n'est pas rien, c'est deux fois rien". Autrement dit je suis perplexe sans raisons, alors que si vous lisez cette phrase à cent personnes, cent vous répondront que c'est une énormité
2) En appeler à la bonne foi est transformé en prendre en otage!!!
3) après quoi "j'insinue".
4) après quoi vient la mitrailleuse : "calomnie", "élucubrations", "présomption", "conviction".. Rien que ça.
5) Moins agressif "méthodologie viciée" (alors que je fais part d'une interrogation), et "problème avec le calcul des générations"...

Le moins qu'on puisse dire est que ça ne s'efforce pas beaucoup à la courtoisie et à la convivialité.

Croyez moi sur parole, Henri, Jacques B, je suis TRES fort pour manier les formes les plus vexatoires d'ironie. Mais précisément je ne veux pas jouer à ça, ne serait ce que par respect pour celle qui conduit ce site. Donc je ne commence pas. Et vous demande une nouvelle fois de parler avec cordialité, faute de le faire amicalement.
Aucune forme vexatoire d'ironie pour ma part !
Je vous ai dit ce que j'en pensais ni plus ni moins et j'ai argumenté mon point de vue, y compris avec mes réponses à Adelayde.
La courtoisie et la convivialité n'ont rien à voir là dedans.
Doit-on faire semblant d'être d'accord avec vous pour y souscrire ?

Auteur :  Henri [16 avr. 2009, 12:44 ]
Sujet du message : 

Citation :
Quant à la soi disant(e) (sic) approche psychologique, si vous n'en voulez pas, n'en dégoûtez pas les autres.
C'est à mon sens LA voie qui n'a pas été explorée. Je ne doute pas que mon talent soit très limité, mais c'est malgré tout utile.
L'approche psychologique n'a rien à apporter dans l'établissement des faits.
Ce n'est qu'après qu'elle doit entrer en scène.

LA seule et unique voie c'est le respect du dossier, largement suffisant pour connaître la vérité en ce qui concerne Christian Ranucci.

Auteur :  Henri [16 avr. 2009, 12:57 ]
Sujet du message : 

Citation :
A moins que pour vous toute considération de psychanalyse ne soit par définition vaseuse.
Sans aucun doute en ce qui concerne l'attribution d'un fait à son auteur.
Rien à faire, vous serez toujours dans la supputation si vous mettez la charrue avant les boeufs.

C'est tellement facile de recourir aux "données psychologiques" quand on a rien d'autre à proposer pour accuser quelqu'un.
Donc, pour moi, s'entêter comme vous le faites dans cette voie représente un réel danger pour la justice.

Auteur :  jpasc95 [16 avr. 2009, 13:14 ]
Sujet du message : 

cell,
je ne suis pas du tout d'accord avec vous quand vous dites que la phrase tirée des aveux de C Ranucci "ça allait vite" est à charge.

Les aveux sont, selon moi, extorqués de A à Z.
Le suspect n'a jamais eu son mot à dire, ni devant les policiers, ni devant la juge, ni devant les psychiatres.
Ils l'ont convaincu de sa culpabilité principalement à force de menace physique et de pression psychologique.
J'évoquerais aussi la peur et une certaine soumission face aux autorités.

Rappelons aussi que c'est surtout Mme Aubert qui a été accusatrice.
Si vous relisez l'interview de M Aubert dans le livre de G Bouladou, quand il évoque la virulence avec laquelle sa femme accuse C Ranucci dans le bureau du commissaire, lui-même semble avoir été surpris.
Selon moi, M Aubert n'était pas aussi catégorique quant à l'homme qu'il a vu s'enfuir dans la colline.

Auteur :  Jacques B. [16 avr. 2009, 14:19 ]
Sujet du message : 

Citation :
Jacques B a écrit : « Tenez une donnée: Ranucci a eu des relations sexuelles suivies avec la soeur du fils adoptif de Mme Mathon. Jeune fille qui d'ailleurs a toujours été amoureuse de lui et n'a jamais pu croire à sa culpabilité. »
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Si Monique, la jeune fille en question, avait réellement :
- été amoureuse de Ranucci d’abord,
- persuadée de son innocence ensuite,
son témoignage aurait été capital pour la défense lors du procès ! Or il se trouve que ladite Monique n’a pas témoigné. Est-ce parce qu’elle ne l’a pas souhaité alors même que la vie de l’homme « aimé » est en jeu ? Est-ce parce qu’elle l’a souhaité mais que Lombard, Le Forsonney et Fraticelli ont estimé que ce témoignage ne pouvait que desservir leur client ? La question reste posée…

Quel est le comportement de Monique, l’amoureuse, la persuadée de l’innocence ?
1) Elle pose un congé pour assister, en tant que spectatrice, au deuxième jour du procès : celui où le verdict de mort est prononcé, celui de la curée ! Perrault souligne « Elle est très déçue de n’avoir pas réussi à échanger un seul regard avec Christian ».
Je comprends que ce dernier n'ait pas souhaité croiser son regard.
2) A partir du moment où Ranucci est un mort en sursis, elle lui écrit des lettres enflammées !

Etrange...
Etrange, vous avez dit étrange. Comme c'est étrange.
Mais non madame ce n'est pas étrange. Nous savons tous qu'une femme délaissée est la chose la plus nuisible qui soit, seulement suppérée par le Phtirius inguinalis. De plus elle n'était méme pas de souche gauloise, c'est tout vous dire.

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