Ah ok, alors autant dire que le lien entre l'affaire dont tu parles et Ranucci tient dans l'épaisseur d'un papier cigarette...
Je ne reproche pas bien sûr d'en parler...Mais bon, moi cette affaire dugué ne m'a pas beaucoup convaincu que CR était pédophile, pas plus que l'affaire Papallardo...

moi non plus joaquin je ne vois aucun lien avec ranucci car les époques ne coresponde pas. de plus je vois mal dugué conservé dans c'est archives le non de ranucci apres sa condanation,c'est une piste qui peut donc etres esclut dans sont principe de non concordence de datte.

J'ai tendance à penser la même chose : Dugué se fait connaître plus tard. Seulement, n'ayant pas encore accès aux mots exacts de l'article du "Crapouillot", je trouve difficile d'écarter cette piste, sous prétexte qu'elle ne semble pas intéressante. C'est exactement ce qu'on reproche aux policiers à propos de l'homme au pull-over rouge, non ? Nous ne pouvons rien écarter par principe.

30 numéros sont sortis dans la période en question, et moins d'une cinquantaine entre juin 1974 et février 1985... dont le numéro 73 intitulé "Les pédophiles" en janvier 1984.

Voila encore un exemple flagrant de notre difficulté a communiquer; je ne conclus pas de maniere definitive puisque je ne fais que m'interroger.
Chercher la petite bete quoi.

[...]


Mais la théorie de CR - dans l'hypothèse où il serait coupable et aurait tué MDL juste avant l'accident - qui aurait pris la fuite pour s'arrêter pile devant le Lieu du crime, avec l'intention de mieux cacher le corps, alors qu'il se savait probablement poursuivi et pouvait de toute manière être vu par tous les automobilistes qui passaient, ne me paraît pas plus crédible.
C'était se dénoncer lui-même alors que sa seule chance d'échapper à l'accusation de meurtre était de prendre la fuite.

D’après une source, Jacques Dugué aurait fourni ses photos pédocriminelles entre autres à un revendeur du nom de Sokolovski. Une enquête de police aurait débouché sur la découverte de cadavres d’enfants enterrés dans le jardin du pavillon à Saint-Ouen de cet homme, ainsi que d’un carnet d’adresse. Ce dernier aurait notamment contenu le nom de Christian Ranucci, l’un des derniers condamnés à la peine de mort de l’Histoire de France. Il avait écopé de cette peine pour avoir assassiné une enfant apparemment sans autre mobile que le sadisme. Sokolovski quant à lui n’aurais jamais été inquiété malgré les découvertes macabres le concernant (5).

Je pense donc, que toute cette histoire du carnet est à catégoriser comme fabulation.