Citation :
Dante, m'avez vous lu de près. Martinez a noté le numéro, mais n'en est pas sûr
il envoie les Aubert vérifier.
Existe t'il quelque chose de contradictoire à supposer que les Aubert arrivant devant une voiture qui est la simca sont distraits par l'étrange manège de cet homme qui monte dans le talus, ils oublient alors de regarder le numéro puis mentent en disant à Martinez "oui, c'est le bon".
Je vois bien que c'est tiré par les cheveux.
Mais ça expliquerait tout!!!
et je rappelle que je suis entièrement d'accord avec vous, Cell
* d'une part Martinez n'est pas sûr du n° qu'il a relevé (une fois il dit qu'il a les lettres, une autre fois une autre partie), mais au final, si on additionne le tout, il avait le n° tout entier ; ce qu'il voulait c'était une "confirmation"
* ensuite, on a les Aubert qui lui "confirment" le n° ; jamais il n'est dit qu'ils lui "donnent" le n°
* d'autre part, quand on relève une suite de caractères (lettres + chiffres), on a besoin de noter qq part cette suite ; or, là, on a rien qui indiquent que M ou Mme Aubert ont noté le n° sur un papier, sur la paume de la main, ou référence à un moyen mnémotechnique ou le réciter le long du chemin, rien de précisé pour se souvenir de cette suite de caractères
* M Martinez parle toujours d'une 204 dans ses premières déclarations ; si M Aubert s'était un tant soit peu approché de la voiture, et si celle-ci avait été la 304, il aurait vu en gros sur le capot avant, et en retrait sur le côté sur le coffre à l'arrière un "304" d'inscrit sur la tôle, ce qui lui aurait permis de préciser à M Martinez "au fait, ce n'est pas une "204", mais une "304"
