Citation :
Même si c'est pris au sérieux, cela ne confirme pas que le lien est certain. C'est bien l'appel de Martinez qui entraine la déclenchement du dispositif important. Il n'est que la troisième personne qui pense que peut être.......
On ne passe pas de rien à un tel dispositif. C'est bien parce qu'on a déjà cherché avec les "moyens du bord" et que rien n'a été trouvé, que l'on va carrément reprendre les recherches avec des moyens conséquents.
Citation :
J'aime bien : 'Il n'est que la troisième personne qui pense que peut être.......' Pas très perspicaces les pandores de Gréasque tout de même …. Admettons … ou pas! Toujours est-il que tout paraît s'éclaircir quand l'important dispositif est mis en place : le lien est fait par Gras et ses supérieurs.
Non, le lien
CERTAIN n'est pas fait.
Citation :
Non, c'est ce que vous croyez, mais cela ne correspond pas à la réalité. On ne prévient pas le parquet pour un délit de fuite. Parce qu' à ce moment là, le conducteur de la 304 n'est accusé de façon certaine, que de cela.
Citation :
Vous plaisantez ? L'important dispositif mis en place n'est pas pour un délit de fuite mais parce que son auteur est soupçonné d'enlèvement d'une enfant et il y a suspicion d'abandon possible de la petite dans la colline suite à l'arrêt au bord de la route qui a suivi le délit de fuite après l'accident.
Cela est vrai, mais on ne parle pas de ça. Contrairement à ce que vous avez écrit:
"
Gras et ses supérieurs, tous OPJ se devaient de prévenir le Parquet au début des recherches.",
le capitaine Gras n'était pas tenu de prévenir le parquet, puisque aucun lien
certain n'est établi entre le conducteur du véhicule et l'enlèvement. Donc, je maintiens que l'on ne prévient pas le parquet pour un simple délit de fuite.
Citation :
D'autre part, le capitaine n'a appris qu’une information était ouverte par Melle DI MARINO que lorsqu'il a appelé le procureur, donc après la découverte du corps.
Citation :
Vous plaisantez encore? Il me semble qu'un avis de recherche a été communiqué à toutes les forces de police et gendarmerie depuis la veille au moins, dès le lundi?
Je ne plaisante pas puisque c'est écrit en toutes lettres dans le PV de synthèse du capitaine. Il vous semble................c'est possible, mais si avis de recherche il y a eu, il ne devait pas indiquer de prévenir le procureur ou Melle Di Marino.
Citation :
Vous affirmez, mais vous ne démontrez rien. Madame la juge s'occupe d'un enlèvement sur Marseille. Au début des recherches, rien ne permet d'avoir la certitude que l'enfant est dans les environs. La juge ne va donc pas gérer le délit de fuite. Elle n'aurait donc rien fait de plus.
Citation :
C'est une piste, suffisamment sérieuse pour mettre en place un important dispositif. Au début des recherches le conducteur est suspecté par les gendarmes d'avoir un lien avec l'affaire d'enlèvement. Prévenue la juge pouvait se tenir prête tout au long du déroulement des recherches.
En clair, cela veut dire qu'elle ne faisait rien et qu'elle attendait d'autres informations. Là, l'affaire n'a pas avancé d'un pouce.
Citation :
Ainsi à 15h50, à la découverte du corps, un dispositif policier muni d'une commission rogatoire pouvait s'assurer du suspect dans l'attente des enquêteurs marseillais déjà en route.
Surement pas. A 15h50 le procureur et la juge ne sont toujours pas prévenu. Les enquêteurs marseillais déjà en route............la belle blague. Les policiers ont pris du retard pour une question d'organisation interne au service. Le problème n'a aucune raison de disparaître. La juge n'aurait eu pas plus de raison de demander à des policiers niçois d'intercepter Ranucci.
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Si les recherches n'étaient pas concluantes le conducteur/suspect était appréhendé pour le délit de fuite par les gendarmes niçois avant un interrogatoire plus poussé.
Quand ?
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Pour les recherches de la brigades de Greasque, j'ai montré que les postulats que vous utilisez sont erronées. Vous n'avez rien répondu.
Si Martinez n'avait pas appelé Greasque le 5 juin, cela grossirait son mensonge à Bouladou. Il évoquerait un appel aux autorités alors qu'en fait, il n'aurait appelé personne.
Non, Martinez a bien appelé la gendarmerie de Greasque le 5 juin et d'ailleurs vous le savez bien:
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Voyons ! Si Martinez livre sa version au commandant de la Brigade de Brignoles il parle bien à une autorité, non ?
J'ai parlé d'un appel, pas d'un dialogue. Un appel téléphonique, imaginaire vers Alessandra et bien réel à la gendarmerie de Greasque.
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Surtout si ce dernier lui dit qu'il fait suivre en toute urgence, ce qu'il fait d'ailleurs...... avec efficacité au vu de l'important dispositif mis en place et à son résultat.
Bien sûr, vous ne pouvez pas prouver vos dires. Vous n'avez aucune "source". Brignoles est dans le Var. C'est suffisant pour apprécier l'impossibilité de votre fable.
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C'est à un commandant de gendarmerie que Martinez viendrait faire son récit avec son CPE.
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C'est ce qu'aurait dit Martinez à Bouladou et c'est certainement faux. En 1974, le chef de la gendarmerie de Brignole ne pouvait pas être plus gradé que celui d'Aubagne qui n'était que capitaine. Il n'y a pas grand chose de vrai dans ce que Martinez est sensé avoir dit à Bouladou.
Citation :
???? Est-ce que Martinez dit que le commandant de la Compagnie de Brignoles était commandant ?
Je n'ai pas le livre de Bouladou sous les yeux....
Alors vous auriez du vous abstenir. Tel que vous l'avait écrit et tel que soit disant Martinez le raconte, il ne s'agit pas de l'action de commander mais bien du grade de commandant.
Citation :
Quand bien même ? Maréchal des Logis-chef ? Adjudant-chef ? Major? Lieutenant ? Il est commandant.
Oui, mais il n'est pas "un" commandant, au sens du grade.