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 Sujet du message : Le "viol"
Message non luPosté :20 nov. 2005, 14:36 
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Le 6 juin dans ses aveux Ranucci déclare : Je réaffirme que je n'avais pas de mauvaises intentions lorsque j'ai pris l'enfant et qu'elle n'a subi aucune violence de caractère sexuel de ma part.

Dans un bordereau au greffe du 17 Juillet 1974 en référence au PV n° 828/SCN du 6 Juin 1974 on peut trouver le scellé 167/8 : un slip rayé blanc et rouge, portant les inscriptions "STATURE 126 - 8 ans - COTON"

L'enfant a donc été déshabillé et un viol éventuel aurait été rapidement constaté.

Par conséquent Ranucci n'a rien appris aux enquêteurs en affirmant que l'enfant n'avait subit aucune violence sexuelle.

Les enquêteurs n'auraient-ils pas pu souffler cet élément à Ranucci pendant ses aveux?

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 Sujet du message : Re: Le "viol"
Message non luPosté :20 nov. 2005, 15:43 
Forcément que l’enfant a été déshabillée à un certain moment, ne serait-ce que pour les besoins de l’autopsie. Et il eut été incongru de l’enterrer avec les vêtements qu’elle portait le 03 juin.

Par ailleurs, il existe des violences sexuelles susceptibles d’être exercées sans qu’il soit nécessaire d’enlever les sous-vêtements de la victime.

En bref, je ne vois pas très bien où vous voulez en venir.


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Message non luPosté :20 nov. 2005, 16:04 
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On tire souvent du texte des aveux de Ranucci, suivant lesquels il affirme n'avoir fait subir aucune agression sexuelle à la victime, la certitude que Ranucci (il ne pouvait pas l'inventer s'il n'était pas là au moment du crime) est coupable.

Or, l'existence du PV démontre qu'une observation au moins partielle a été effectué sur le corps de la victime.

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Message non luPosté :20 nov. 2005, 18:37 
Ranucci ne nous a jamais habitués à nous livrer des confidences sur ces faits et gestes délictueux sans y avoir été contraint et forcé. Jusqu'à l’échafaud, il a toujours nié avoir négligé de marquer l’arrêt au carrefour de la Pomme et, selon les versions, il omet de détailler les circonstances exactes du meurtre (Ranucci coupable), d’admettre sa visite chez son père à Allauch (Ranucci innocent) ou d’évoquer la responsabilité d’un autre homme dans l’enlèvement et le meurtre de la fillette (la thèse qui recueille mes suffrages).

Par ailleurs, je vous rappelle que les techniques de l’époque étaient assez rudimentaires et ne permettaient pas de déterminer sur les vêtements de l’enfant des indices similaires à ceux que Kenneth Starr a été en mesure de déterminer des années plus tard en faisant analyser la robe de Monica Lewinski.

[J’espère avoir ainsi répondu indirectement à la question que vous me posiez en http://dossierranucci.org/phpBB2/viewto ... 3885#23885 avec candeur ou par facétie.]


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Message non luPosté :21 nov. 2005, 20:56 
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Citation :
[...]Par ailleurs, je vous rappelle que les techniques de l’époque étaient assez rudimentaires et ne permettaient pas de déterminer sur les vêtements de l’enfant des indices [...]
Je trouve bien dommage que le pantalon de CR n'ait pas été gardé pour y faire des tests ADN sur les appositions de sang. Si au bout de quelques années les pièces des scellés sont détruites, les tests ADN existent eux depuis le début des années 1990, soit depuis 15 ans environ.
Depuis quand le pantalon a t-il été détruit ? Si c'est après 1990 et que rien n'a été fait dessus, ça retire un élément de plus à charge ou à décharge envers CR. Même si son sort était déjà réglé depuis bien longtemps.


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Message non luPosté :22 nov. 2005, 06:30 
Citation :
Je trouve bien dommage que le pantalon de CR n'ait pas été gardé pour y faire des tests ADN sur les appositions de sang. Si au bout de quelques années les pièces des scellés sont détruites, les tests ADN existent eux depuis le début des années 1990, soit depuis 15 ans environ.
Mais c’est Hibernatus que vous nous racontez là ! Je sais bien que certaines personnes fortunées, arrivées au dernier stade de la maladie, souhaitent se faire congeler en espérant que quelqu’un les réveillera lorsque la médecine permettra de les guérir, mais telle n’est pas l’attitude de la justice. Non seulement elle ne pouvait se douter d’une telle évolution de la technologie en si peu de temps, mais surtout, il s’agissait d’une affaire classée. Afin d’éviter que les greffes ne se transforment progressivement en une succursale du marché aux puces de Saint-Ouen, la loi prévoit que, passé un certain délai, on se débarrasse des pièces à conviction, même si leur valeur est subséquemment estimée à une fortune, comme la statuette dans l’affaire Didier Imbert / Daniel Filipacchi.
Citation :
Depuis quand le pantalon a t-il été détruit ? Si c'est après 1990 et que rien n'a été fait dessus, ça retire un élément de plus à charge ou à décharge envers CR.
Ceci dit, il n’est pas exclu que certains greffiers un peu collectionneurs, aient été tentés par quelque « souvenir » au moment d’enfourner le pantalon dans la chaudière, et qu’on finisse par retrouver ce pantalon au fond d’un grenier.
Citation :
Même si son sort était déjà réglé depuis bien longtemps.
... ou « le short en est jeté » comme on dit dans les camps de naturistes.


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Message non luPosté :22 nov. 2005, 07:36 
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Citation :
Citation :
Je trouve bien dommage que le pantalon de CR n'ait pas été gardé pour y faire des tests ADN sur les appositions de sang. Si au bout de quelques années les pièces des scellés sont détruites, les tests ADN existent eux depuis le début des années 1990, soit depuis 15 ans environ.
Mais c’est Hibernatus que vous nous racontez là ! Je sais bien que certaines personnes fortunées, arrivées au dernier stade de la maladie, souhaitent se faire congeler en espérant que quelqu’un les réveillera lorsque la médecine permettra de les guérir, mais telle n’est pas l’attitude de la justice. Non seulement elle ne pouvait se douter d’une telle évolution de la technologie en si peu de temps, mais surtout, il s’agissait d’une affaire classée. Afin d’éviter que les greffes ne se transforment progressivement en une succursale du marché aux puces de Saint-Ouen, la loi prévoit que, passé un certain délai, on se débarrasse des pièces à conviction, même si leur valeur est subséquemment estimée à une fortune, comme la statuette dans l’affaire Didier Imbert / Daniel Filipacchi.
Non ce n'est pas Hibernatus que je vous raconte là !
Les tests ADN ont permis de lever des doutes sur certaines affaires même bien des années plus tard (le petit Louis XVII, par exemple). C'est pour cela que je trouve dommage que des tests ne puissent plus être pratiqués sur le pantalon de CR.
Citation :
Citation :
Depuis quand le pantalon a t-il été détruit ? Si c'est après 1990 et que rien n'a été fait dessus, ça retire un élément de plus à charge ou à décharge envers CR.
Ceci dit, il n’est pas exclu que certains greffiers un peu collectionneurs, aient été tentés par quelque « souvenir » au moment d’enfourner le pantalon dans la chaudière, et qu’on finisse par retrouver ce pantalon au fond d’un grenier.
Ca ne répond pas à ma question...
Citation :
Citation :
Même si son sort était déjà réglé depuis bien longtemps.
... ou « le short en est jeté » comme on dit dans les camps de naturistes.
A bon, on y dit ça ? Je ne le savais pas, nous ne fréquentons pas les mêmes endroits :wink:


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Message non luPosté :22 nov. 2005, 07:52 
Citation :
Les tests ADN ont permis de lever des doutes sur certaines affaires même bien des années plus tard (le petit Louis XVII, par exemple). C'est pour cela que je trouve dommage que des tests ne puissent plus être pratiqués sur le pantalon de CR.
Nous sommes d'accord sur ce point, comme sur bien d'autres.


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Message non luPosté :22 nov. 2005, 20:31 
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Un autre affaire qui parle des tests ADN, effectués presque un siècle après les faits : : http://abonnes.lemonde.fr/web/article/0 ... 523,0.html (lien un peu long à la détente)


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 Sujet du message :
Message non luPosté :22 nov. 2005, 20:56 
Citation :
lien un peu long à la détente
Surtout pour les non-abonnés au “Monde” ! Je reproduis donc l’article en question :

La mort du fromager Mouttet, affaire classée
LE MONDE | 21.11.05 | 14h46 • Mis à jour le 21.11.05 | 15h20

L'enquête criminelle avait commencé en 1913. Elle vient seulement d'être résolue après un rebondissement inattendu : la découverte des restes de la victime — un maigre tas d'os — sur le territoire de la commune de Gresse-en-Vercors (Isère), entre deux couches de rochers, au fond d'une faille géologique de 30 mètres d'un accès difficile. C'est en avril qu'un groupe de spéléologues amateurs de Grenoble, en exploration dans la zone du lieu-dit Le Rocher du Château Vert, a fait la découverte macabre, permettant aux gendarmes de La Tronche de rouvrir l'enquête sur la disparition de Jean-Henri Mouttet, employé dans une fromagerie locale, ouverte il y a quatre-vingt-douze ans.
Aux côtés du squelette gisant dans cette grotte, les spéléologues de la gendarmerie nationale ont exhumé une pipe, une étoffe en lambeaux, une semelle de chaussure à clous et un porte-monnaie contenant treize pièces, des napoléons et des francs frappés entre 1880 et 1913. Ces indices ont permis une avancée spectaculaire, grâce notamment à une analyse de l'ADN des ossements.
Agé de 30 ans à l'époque, Jean-Henri Mouttet a été tué lors d'une bagarre avec Léopold Girard, un berger de 30 ans lui aussi et originaire, comme lui, de Gresse-en-Vercors. Les deux hommes en pinçaient pour la même jeune fille, Léoncie Bernard, morte de vieillesse il y a dix ans. Le 8 octobre 1913 au soir, plusieurs témoins les avaient vus en découdre à la sortie d'un café. Après cette rixe, plus personne n'avait eu la moindre nouvelle de Mouttet. Suicide ? Fuite ? Meurtre ? La rumeur d'un crime s'était répandue dans la vallée, où tout le monde savait que Jean-Henri et Léopold aimaient la même jeune fille.
Chargé à l'époque d'enquêter sur cette disparition, le maréchal des logis Régis Cuchet avait fait état, dans son rapport, des soupçons qui pesaient sur Girard. Enquêteur scrupuleux, le gendarme avait parfaitement reconstitué les circonstances du drame. A ses yeux, le mobile ne faisait guère de doutes, mais l'absence de cadavre l'avait empêché d'interpeller le suspect numéro un.
En 1914, la première guerre mondiale mobilisant les hommes du village, le gendarme avait interrompu ses investigations et classé le dossier Mouttet. Quant au meurtrier suspecté, il est décédé, deux ans plus tard, dans un hôpital militaire de la Marne, des suites d'une blessure de guerre. Agonisant sur son lit de souffrance, il aurait confié son secret sur la disparition de Mouttet à l'un de ses proches, mais sans préciser l'endroit où il avait abandonné le corps. Le site où il a été découvert est situé à deux heures de marche du lieu de la querelle, à 1 500 mètres d'altitude, au bout d'un sentier de berger, sur le flanc des montagnes qui surplombent la vallée.
Près d'un siècle après les faits, le capitaine Vincent Corbel, de la gendarmerie de La Mure, n'est pas peu fier. Il a enfin réussi à élucider l'énigme. "Une enquête d'environnement auprès des habitants de la région et les techniques d'investigation scientifiques modernes nous ont permis de résoudre cette histoire", explique-t-il. Comme dans toute enquête criminelle, le corps de la victime et les indices prélevés alentour ont été expertisés au laboratoire scientifique de la gendarmerie nationale à Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.
C'est l'analyse de l'ADN des ossements qui a permis d'établir à coup sûr l'identité de la victime, mais la mémoire encore vivace des anciens de Gresse-en-Vercors a facilité le travail des enquêteurs. En effet, malgré le quasi-siècle écoulé depuis le drame, le fantôme de Mouttet hante toujours le village. "Les anciens se souvenaient de l'histoire et nous ont orientés vers l'un des petits-neveux de Jean-Henri Mouttet, André Mouttet, grâce auquel nous avons pu comparer l'ADN", explique le capitaine Corbel. M. Mouttet avait conservé le livret militaire de son ancêtre, document qui révélait la claudication dont il était affecté et que les expertises menées sur le squelette ont décelée. Désormais, le parquet de Grenoble va pouvoir constater formellement le décès de Jean-Henri Mouttet.

Yves Bordenave
Article paru dans l'édition du 22.11.05


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Message non luPosté :26 nov. 2005, 09:58 
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Par ailleurs, je vous rappelle que les techniques de l’époque étaient assez rudimentaires et ne permettaient pas de déterminer sur les vêtements de l’enfant des indices similaires à ceux que Kenneth Starr a été en mesure de déterminer des années plus tard en faisant analyser la robe de Monica Lewinski.
Pourtant de nos jours avec les nouvelles techniques, dans certains cas, rien ne prouve que le "propriétaire" de l'ADN retrouvé sur la victime soit le coupable du crime.


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Message non luPosté :26 nov. 2005, 10:42 
Citation :
Citation :
Par ailleurs, je vous rappelle que les techniques de l’époque étaient assez rudimentaires et ne permettaient pas de déterminer sur les vêtements de l’enfant des indices similaires à ceux que Kenneth Starr a été en mesure de déterminer des années plus tard en faisant analyser la robe de Monica Lewinski.
Pourtant de nos jours avec les nouvelles techniques, dans certains cas, rien ne prouve que le "propriétaire" de l'ADN retrouvé sur la victime soit le coupable du crime.
Le fait de trouver des traces d’ADN d’un suspect sur une scène de crime ne prouve jamais la culpabilité dudit suspect. Ca prouve simplement qu’il a été présent sur la scène du crime à un certain moment. Dans nos pays démocratiques, c’est à la justice (pas aux experts) à déterminer la responsabilité des prévenus (ou des accusés s’il s’agit d’une cour d’assises). Le fait qu’on ait retrouvé un gant taché du sang de la victime dans le jardin d’OJ Simpson ne l’a-t’il pas empêché d’être acquitté ?

Il existe aussi des badauds qui découvrent des cadavres ou des mourants au bord de la route (à la suite d’un accident de la circulation, par exemple) et qui ne trouvent rien d’autre de plus intelligent à faire que de les violer. [Ne rigolez pas, ce que je vous raconte est un fait réel].


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Message non luPosté :26 nov. 2005, 11:11 
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Citation :
Le fait de trouver des traces d’ADN d’un suspect sur une scène de crime ne prouve jamais la culpabilité dudit suspect. Ca prouve simplement qu’il a été présent sur la scène du crime à un certain moment.
C'est bien ce que je voulais dire, je vous donne un autre exemple :
Une fille est retrouvée chez elle violée et égorgée.
Si elle a eu une relation sexuelle avec son petit ami et qu'une heure après un autre type passe, la viole avec un préservatif et l'égorge ensuite, les tests ADN auront pour résultat qu'il s'agit du petit ami de la victime, pourtant, il sera innocent du viol autant que du crime.
Citation :
Dans nos pays démocratiques, c’est à la justice (pas aux experts) à déterminer la responsabilité des prévenus (ou des accusés s’il s’agit d’une cour d’assises).
C'est vrai, les analyses sont là pour aider les enquêteurs sur certains points, pas pour faire leur travail !
Citation :
Il existe aussi des badauds qui découvrent des cadavres ou des mourants au bord de la route (à la suite d’un accident de la circulation, par exemple) et qui ne trouvent rien d’autre de plus intelligent à faire que de les violer. [Ne rigolez pas, ce que je vous raconte est un fait réel].
Je vous crois, il y en a même qui se font engager dans les morgues pour assouvir leur plaisir sur les cadavres, on appelle ça des nécrophiles.
J'ai parfois du mal à comprendre toutes les complexités de la race humaine...


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 Sujet du message : Re: Le "viol"
Message non luPosté :28 nov. 2005, 16:32 
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Par ailleurs, il existe des violences sexuelles susceptibles d’être exercées sans qu’il soit nécessaire d’enlever les sous-vêtements de la victime.
Si elle a subi d'autres violences on ne peut pas dire que Ranucci apprenne quelquechose aux enquêteurs étant donné qu'elles n'ont pas pu être découvertes par l'enquête(comme ça a été dit plus loin)

On peut se demander ce qu'apprend Ranucci aux enquêteurs et qui aurait un lien avec l'affaire

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 Sujet du message : Re: Le "viol"
Message non luPosté :28 nov. 2005, 17:24 
Citation :
Citation :
Par ailleurs, il existe des violences sexuelles susceptibles d’être exercées sans qu’il soit nécessaire d’enlever les sous-vêtements de la victime.
Si elle a subi d'autres violences on ne peut pas dire que Ranucci apprenne quelquechose aux enquêteurs étant donné qu'elles n'ont pas pu être découvertes par l'enquête(comme ça a été dit plus loin)

On peut se demander ce qu'apprend Ranucci aux enquêteurs et qui aurait un lien avec l'affaire
S'il(s) a(ont) fait des choses inavouables qui ont échappé aux enquêteurs, il(s) n'a(ont) aucune raison de s'en vanter.


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