Oui çà s'éclaire. Petit à petit je le conçois, mais ça s'éclaire.

Au fait, toutes proportions gardées, quel est le rectangle qui est plus grand que l’autre ?
Celui du croquis ou celui du cadastre ?
Je suis sûr que certains s’étant déjà posé la question ils ont depuis longtemps la réponse en tête. En ce qui me concerne, je dois avouer que jusqu’à présent j’étais bien en peine de trancher.
Pour répondre, j’ai pris une certaine voie, qui m’a évité de faire des calculs
Laissez-moi au moins vous décrire très brièvement comment j’ai procédé avec Photoshop, car autrement on va se demander si je n’ai pas fait n’importe quoi, juste pour poster quelque chose.

- Pour le ‘’croquis calqué’’, j’ai simplement copier celui qui est en photo, épinglé sur une planche de bois. Pour plus de précision et de présentation, je l’ai collé alors dans un document vierge de photoshop aux dimensions d’une feuille A.
Le tout en faisant l’hypothèse hautement probable que le croquis a été calqué sur une feuille aux dimensions 21 x 29,7

- Pour le rectangle du cadastre, j’ai créé également un autre document vierge de dimensions 21 x 29,7 cm. Ensuite j’ai poursuivi en établissant un autre document vierge, mais de dimensions 2 x 6,4 cm, en le délimitant d’un contour noir. Ensuite j’ai collé ce petit rectangle dans le rectangle vierge représentant ma feuille blanche A.

Voici les deux documents côte à côte
Donc ceux qui ont reproduit le rectangle du cadastre sur le ‘’croquis calqué’’ ont opéré par agrandissement et non par réduction.

A suivre …

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bonjour Anne ,
oui, se serait bien ;
je lis vos mess ,je les trouvent toujours interressants

,
maril

La forfaiture avérée du plan calqué n'est pas la seule. Il y en a au moins une autre, preuve à l'appui, ... ou plutôt témoin à l'appui.
Sans vouloir déborder du sujet qui est le plan, je poursuis juste par une interrogation et après j'arrête. Puisque qu'on a les PV de Monsieur Martel et du père des fillettes Constantino, où est passé celui de Madame Mattéi ? Et le PV de Saint Just ? Les deux ont dû disparaître plus tard.

Exit donc les paroles de Collard que je citent de mémoire: « L'histoire de Madame Mattei ça pu le faux témoignage. Elle et Madame Mathon, qui connaissait l'épisode des Cerisiers, se sont rencontré aux Baumettes et c'est là qu'elle a inventé cette histoire, moyennant de l'argent venant de cette dernière.»
Car le 04 juin, les policiers n'ont aucune raison de ne pas croire à l'histoire de Madame Mattéi, et elle, n'a aucune raison d'aller leur raconter quelque chose qui ne s'est jamais passé.
D'ailleurs, il y a quatre ans j'étais descendu également à Marseille, et aux archives des Bouches du Rhône, j'avais épluché les trois quotidiens de Marseille, et si je me souviens bien, dans ceux du 02, 03 et 04 juin, il n'est nullement fait mention de l'épisode des Cerisiers. Le 04 juin, comment Madame Mathon aurait pu t'elle inventer une histoire s'étant passée à l'autre bout de la ville?

Je me suis mal exprimé. j'aurais dû dire : '' Comment Madame Mattei aurait-elle pu s'inspirer d'une histoire s'étant passé à l'autre bout de la ville pour inventer un épisode n'ayant jamais eu lieu dans sa cité ? ''

bonjour Pat 31
vous écrivez : "où est passé celui de Mme Mattei? et le PV de ST Just ?

le PV st Juste concerne qui Pat ?

Ok avec vous Pat Mme Mattei était UN TEMOIN !! (elle n'avait tout simplement pas l'aplomb de Mam Aubert )

Avant d'être convoqué à l'Evêcher, Madame Mattéi est allé déposer plainte au commissariat le plus proche de chez elle et situé dans le quartier Saint Just.

ok Pat , merci pour la réponse

En 74, pour avoir un extrait du cadastre, il n'était pas question de photocopies des feuilles du cadastre. C'est certain.
Prise de vue par un système photographique monté sur 2 axes perpendiculaires et mise au point (agrandissement ou réduction) de l'objectif.
Ensuite tirage sur film transparent pour diazographie.
Il y a surtout eu un archivage du cadastre sur micro fiches, je ne trouve pas à partir de quelle année mais c'est loin d'être récent, il suffisait de choisit la bonne fiche et sélectionner la zone concernée pour en obtenir un tirage cadré selon ce qui était demandé.
Ensuite tirage du cliché obtenu.
Côté micro-fiches, ça fonctionne encore comme ça. On ne sort pas les feuilles du cadastre pour les passer ds la photocopieuse, c'était déjà le cas du tps où Bouladou... Je ne crois pas qu'on ait jamais photocopié les feuilles cadastrales.
Donc son extrait du cadastre a forcément la bonne orientation. Par contre, on s'étonne qu'il en soit de même pour le croquis de CR, à 1 ou 2 ° près.
Infos que vous pouvez vérifier côté cadastre ou archives, si besoin.

Mince, j'ai répondu aux messages de la page 19 (Moraucon etc...)
Toutes mes confuses.

Précisions...
"Les microfiches cadastrales sont désormais remplacées par le logiciel auto-exécutable de consultation VisuDGFiP version cadastre."
Depuis quelle année ? 2004 semblerait-il (?). Mais de façon progressive. Sauf mécompréhension de ma part, il semblerait que les Bouches-du-Rhône fassent partie des départements concernés par la troisième vague de versement (échelonnement des versements de la matrice cadastrale aux Archives départementales).
Mais avant cela et depuis la fin des années 1980, les initiatives de numérisation du plan cadastral se sont succédées pour atteindre un régime de croisière au cours des années 2000 *.
Sous quelle forme ?
On parle de PCI image et de PCI vecteur, (le PCI étant le Plan Cadastral Informatisé).
"Le PCI Vecteur regroupe les feuilles qui ont été numérisées et couvre l'essentiel du territoire. Le PCI Image regroupe les feuilles qui n'ont été que scannées, et complète la couverture."
Donc, entre les microfiches et la numérisation, je suis un peu dubitative sur le fait que G. Bouladou ait pu photographier un plan papier !? Vers 2004 croyait-il se souvenir... au service du cadastre.
Je peux essayer de creuser encore, notamment en m'adressant à un monsieur d'un certain àge qui a bcp travaillé sur la numérisation de documents officiels...

(* "Quelques tentatives de numérisation vectorielle ont eu lieu durant les années 1980, mais les technologies balbutiantes, les coûts élevés et l'absence de convention avec la DGI n'ont pas permis de pérenniser ces initiatives.
Elles consistaient souvent, dans un souci d'économie budgétaire, à vectoriser les bâtiments et les amorces de parcelles en bord de voie notamment (on parlait alors, de couches A0 ou A0+ pour qualifier ces couches plus ou moins complètes).
Le véritable essor de la vectorisation du Plan Cadastral date du début des années 1990, avec la signature des premières conventions entre la DGI et certaines collectivités locales désireuses de disposer d'un référentiel géographique pour assoir le SIG qu'elles mettaient en place au même moment dans leurs structures.")

Reste cette couleur rose des bâtiments, actuellement c'est en jaune...