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Message non luPosté :04 févr. 2009, 13:20 
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Vous n'avez donc jamais lu le procès-verbal de Maurice Monnin. Dommage, ça évite de dire des bétises.


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 13:22 
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Et est-ce que vous savez qu'il existe un procès-verbal d'interrogatoire de CR, P.V bien caché par Gilles Perrault et Le Forsonney, où la juge demande à CR où il a acheté l'Opinel et le couteau à cran d'arrêt?


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 13:31 
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Citation :
Et est-ce que vous savez qu'il existe un procès-verbal d'interrogatoire de CR, P.V bien caché par Gilles Perrault et Le Forsonney, où la juge demande à CR où il a acheté l'Opinel et le couteau à cran d'arrêt?
Ne vous inquietez pas, j'ai d'ailleurs retranscrit moi même ce PV sur le forum. :wink:
Vous pourrez le vérifier dès ce soir.

_________________
"ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort."
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Message non luPosté :04 févr. 2009, 13:40 
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Arlaten, faut pas vous exciter comme ça ! Lisez plutôt la page 96 du POR
Le détecteur ne détecte rien. Plus exactement, il repère un bric-à-brac de ferrailles rouillées et de détritus métalliques où abondent les boîtes de conserve, mais point de couteau à cran d’arrêt. Le contremaître de la champignonnière, Henri Guazzone, assiste à l’opération et admire son organisation: le capitaine Gras est en liaison radiotéléphonique permanente avec le bureau du commissaire Alessandra à l’Evêché. « Les gendarmes demandaient tout le temps des précisions, nous dira M. Guazzone :"

J'ai un petit avantage sur vous, c'est que j'ai rencontré au moins dix personnes qui étaient sur place.
Alors, parler d'imagination, je pense que ce terme est réservé à ceux qui n'enquêtent pas et s'imaginent des choses derrière leur petit clavier.
Les policiers ne voulaient pas que les gendarmes cherchent le couteau car ils comptaient le faire avec CR en prolongation de GAV.
Mais les gendarmes voulaient le trouver eux-meme. Ne sachant pas où il était, ils ont commencé à chercher sur le lieux du crime en allant vers la champignonnière.
Ce n'est que lorsque les policiers ont su qu'ils n'avaient pas de prolongation de GAV que les gendarmes ont cherché sur le tas de tourbe comme l'atteste le P.V de Monnin et tous les rapports ou P.V de Gras.
Je vous quitte, je vois que vous ne connaissez vos classiques.

Et le vrai criminel, où vous en êtes ? Toujours pas trouvé ?


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 14:10 
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[quote="Gérard B"]
Les policiers ne voulaient pas que les gendarmes cherchent le couteau car ils comptaient le faire avec CR en prolongation de GAV.
Mais les gendarmes voulaient le trouver eux-meme. Ne sachant pas où il était, ils ont commencé à chercher sur le lieux du crime en allant vers la champignonnière.
Ce n'est que lorsque les policiers ont su qu'ils n'avaient pas de prolongation de GAV que les gendarmes ont cherché sur le tas de tourbe comme l'atteste le P.V de Monnin et tous les rapports ou P.V de Gras.
quote]

Bonjour Mr Bouladou, existe-t-il un ou des documents dans le dossier attestant de la demande et du refus de prolongation de GAV ?

Laissons de côté cette bonne vieille guerre des polices, of course


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 16:01 
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Enregistré le :17 nov. 2007, 16:31
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Citation :
Le contremaître de la champignonnière, Henri Guazzone, assiste à l’opération et admire son organisation: le capitaine Gras est en liaison radiotéléphonique permanente avec le bureau du commissaire Alessandra à l’Evêché. « Les gendarmes demandaient tout le temps des précisions, nous dira M. Guazzone :"
Citation :
Les policiers ne voulaient pas que les gendarmes cherchent le couteau car ils comptaient le faire avec CR en prolongation de GAV.
Mais les gendarmes voulaient le trouver eux-meme. Ne sachant pas où il était, ils ont commencé à chercher sur le lieux du crime en allant vers la champignonnière.
Comment faites-vous pour coller ces deux passages sans y voir une contradiction?
Les policiers auraient participé malgré eux à une admirable organisation de la gendarmerie? Ces derniers, auraient-ils osé flouer la police?


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 16:15 
Citation :
Et est-ce que vous savez qu'il existe un procès-verbal d'interrogatoire de CR, P.V bien caché par Gilles Perrault et Le Forsonney, où la juge demande à CR où il a acheté l'Opinel et le couteau à cran d'arrêt?
il s'agit probablement de l'audition du 26 juin 74 où l'on peut lire :
"S.I: En ce qui concerne les couteaux que j'avais au moment des faits, l'un sur moi et l'autre dans la voiture, je ne sais plus où je les avais achetés, j'avais du acheter l'opinel en Allemagne ainsi que tous les militaires le faisaient, j'avais acheté le couteau automatique il y a plusieurs mois à Nice ou en Allemagne, je ne sais plus dans quel magasin."

Ce qui est étonnant, c'est que cette information n'a même pas été vérifiée par les policiers et pourtant c'est bien ce que la juge a demandé dans une commission rogatoire en date du 7 juin 74 adressée au doyen des juges d'instruction à Nice.
Dans le PV de réponse faite par M Moschetti (inspecteur à Nice) à Mlle Di Marino en date du 24 juin 74, absolument rien sur les couteaux (Opinel et couteau automatique), aucune information.
On est bien en droit de penser qu'ils n'ont rien trouvé du tout à charge à ce sujet, sinon ils ne se seraient pas gênés pour en informer la juge.


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 17:35 
Citation :
Les policiers ne voulaient pas que les gendarmes cherchent le couteau car ils comptaient le faire avec CR en prolongation de GAV.
Mais les gendarmes voulaient le trouver eux-meme. Ne sachant pas où il était, ils ont commencé à chercher sur le lieux du crime en allant vers la champignonnière.
Ce n'est que lorsque les policiers ont su qu'ils n'avaient pas de prolongation de GAV que les gendarmes ont cherché sur le tas de tourbe comme l'atteste le P.V de Monnin et tous les rapports ou P.V de Gras.
Alors là, c’est le scoop. Vous admettez (parce que vous ne pouvez pas faire autrement) que les gendarmes ont commencé les recherches sur le lieu du crime.

Citation :
Je vous quitte, je vois que vous ne connaissez vos classiques.
Et vous, vous oubliez ce que vous avez écrit sur le sujet.
Je vais vous le rappeler.

Sur ce forum :

Citation :
Les gendarmes n'ont jamais commencé à chercher le couteau à deux kilomètres, c'est encotre une anerie que raconte Gilles Perrault.
Citation :
6) Les gendarmes n’ont jamais commencé à chercher le couteau à partir du lieu du crime, ni ailleurs, autrement que sur le tas de tourbe lorsqu’ils en ont reçu l’ordre. D’abord parce qu’ils n’avaient pas mission de le faire et parce que cela était ridicule.
Citation :
Cette théorie des gendarmes qui commencent à chercher ailleurs que sur le tas de tourbe est débile (désolé d’être obligé d’employer ce mot sans arrêt) parce que CR avait avoué en début de ses aveux qu’il était dans le tas de tourbe.
Citation :
Les policiers pensaient obtenir une prolongation de garde à vue pour aller chercher le couteau avec lui et ce que n'est qu'à dix sept heures trente, lorsqu'ils ont su que Mlle DI MARINO refusait de donner cette prolongation qu'ils ont demandé aux gendarmes de chercher.
Dans votre deuxième livre :
Citation :
Le deuxième argument présenté par Gilles Perrault est que, selon lui, les gendarmes auraient commencé à chercher le couteau dans les sous-bois au début du chemin menant à la champignonnière.
Ceci n'est pas du tout conforme au procès-verbal établi par l'adjudant Monnin : « À dix-sept heures trente, nous nous transportons sur un terre-plein précédant l'accès à la champignonnière... » Il n'est pas fait mention dans le reste de la procédure d'une recherche qui aurait été faite ailleurs.
Les personnes présentes qui ont assisté aux recherches des gendarmes ont bien vu ceux-ci commencer leurs recherches du couteau devant la champignonnière, comme cela est indiqué sur le procès-verbal des enquêteurs.
Donc nous y sommes, les gendarmes commencent les recherches à l’heure que dit Monnin (17h30), sur le lieu de crime. Ils passent donc le plus clair de leur temps à rechercher ailleurs que dans le tas de tourbe. Quand nous voyons la dimension de la zone de recherche par rapport aux 170 m2 de la plateforme où se trouve la tourbe, ils n’ont pas du passer beaucoup de temps sur le tas de tourbe.
Et là, bingo, avec une curieuse information supplémentaire, ils trouvent le couteau « assez rapidement ».

Dans tout cela, vous ne nous dites pas comment les gendarmes ont pu savoir qu’il y avait un couteau à chercher, si les policiers ne voulaient pas qu’ils le cherchent.

Citation :
J'ai un petit avantage sur vous, c'est que j'ai rencontré au moins dix personnes qui étaient sur place.
Si vous pensez que c'est un avantage, n'oubliez pas alors de remercier les personnes présentes qui ont assisté aux recherches des gendarmes et qui vous ont donné des informations erronées.


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 17:41 
Citation :
Et le vrai criminel, où vous en êtes ? Toujours pas trouvé ?
Vous devez confondre avec une autre personne. Je n’ai jamais écrit quoique ce soit, qui puisse laisser penser que j’étais à la recherche du vrai criminel.


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 19:54 
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Vous confondez tout et c'est fatiguant. Lorsque Guazzone indique que les gendarmes sont en relation avec l'Evêché, c'est après qu'ils aient été chargés de trouver le couteau donc après 17 h 30.

Comment savaient ils avant qu'il y'avait un couteau à chercher ? Parce qu'il y'avait un gendarme qui faisait le relais dans les couloirs de l'Evêché et qui a appris en même temps que les policiers que la fillette avait été tuée à coups de couteau. (si vous lisez la presse du 4 juin elle ne parle que de blessures par pierres, pas par coups de couteau )

En ce qui concerne la mention de fin de garde à vue, Porte aurait dû mentionner que la juge n'accordait pas la prolongation mais cela n'est pas prévu par le C.P.P.et il n'y pas faute. Par contre si la prolong avait été accordée, il aurait fallu remplir un imprimé sur lequel figure la demande de prolongation, les motifs de la demande et sous quel numéro du registre du secrétariat de l'instruction elle a été accordée.


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 20:14 
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Enregistré le :17 nov. 2007, 16:31
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Citation :
Vous confondez tout et c'est fatiguant. Lorsque Guazzone indique que les gendarmes sont en relation avec l'Evêché, c'est après qu'ils aient été chargés de trouver le couteau donc après 17 h 30.

Comment savaient ils avant qu'il y'avait un couteau à chercher ? Parce qu'il y'avait un gendarme qui faisait le relais dans les couloirs de l'Evêché et qui a appris en même temps que les policiers que la fillette avait été tuée à coups de couteau. (si vous lisez la presse du 4 juin elle ne parle que de blessures par pierres, pas par coups de couteau ).
Voilà une explication rationelle. Pourquoi avoir attendu si longtemps pour la donner?
Malheureusement le Cap. Gras signe dans le PV. 610/2,
Citation :
- Recherches et découverte du couteau : le 6 juin 1974, suivant les instructions reçues , nous recherchons le couteau ayant servi à Ranucci pour perpétrer son crime.
Il n'est pas question de recherches motivées par sa seule iniciative sinon suivant les instructions reçues. La gendarmerie déplacerait une équipe munie d'un détecteur de métaux de sa propre iniciative et celà ne figurerait dans aucun rapport?
Si les recherches, d'abord par iniciative de la gendarmerie, se transforment en recherches dirigées par la police, cette iniciative figurerait quelque part. La gendarmerie ne déplace pas, sans en rapporter la cause, un effectif quel qu'il soit muni d'un détecteur de métaux.
Une fois de plus la gendarmerie a bon dos quand quelque chose gêne la police. Quel dommage que le Cap. Gras ne veuille plus parler et comme on le comprend.


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Message non luPosté :04 févr. 2009, 20:19 
Citation :
Vous confondez tout et c'est fatiguant.
Je ne confonds rien du tout. Je lis ce que vous écrivez et j’y trouve tout et son contraire.

Citation :
Lorsque Guazzone indique que les gendarmes sont en relation avec l'Evêché, c'est après qu'ils aient été chargés de trouver le couteau donc après 17 h 30.
Si les gendarmes ont commencé les recherches sur le lieu du crime, à 17h30,de leur propre initiative, ils ne pouvaient pas être en relation avec l’Evéché.
La scène décrite par Guazzone se passe vers le tas de tourbe.
Citation :
Comment savaient ils avant qu'il y'avait un couteau à chercher ? Parce qu'il y'avait un gendarme qui faisait le relais dans les couloirs de l'Evêché et qui a appris en même temps que les policiers que la fillette avait été tuée à coups de couteau. (si vous lisez la presse du 4 juin elle ne parle que de blessures par pierres, pas par coups de couteau )
La presse du 4 juin parlait des blessures de la gosse ? je crois que vous confondez…………..

Citation :
En ce qui concerne la mention de fin de garde à vue, Porte aurait dû mentionner que la juge n'accordait pas la prolongation mais cela n'est pas prévu par le C.P.P.et il n'y pas faute. Par contre si la prolong avait été accordée, il aurait fallu remplir un imprimé sur lequel figure la demande de prolongation, les motifs de la demande et sous quel numéro du registre du secrétariat de l'instruction elle a été accordée.
Vous avez raison. Rien ne prouve que la prolongation de GAV a été refusée. Ni qu’elle a été demandé d’ailleurs. Au contraire, le PV de 1er comparution de Melle la Juge, laisse penser qu’elle n’est pas au courant, au moment où elle reçoit Ranucci, que les gendarmes sont en train de chercher un deuxième couteau.


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Message non luPosté :05 févr. 2009, 07:49 
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Vous ne comprenez toujours rien. Et je ne vais pas perdre mon temps avec vous. Les gendarmes ont commencé les recherches sur le lieu du crime en début d'AM alors qu'on ne leur demandait pas de le faire.. Quand ils ont eu pour mission de chercher le couteau dans le tas de tourbe, ils y sont allés à 17 h 30.
Le Provençal du 6 juin ( erreur de date) (au hasard) MD retrouvée assassinée . Le meurtrier présumé (20 ans) arrêté à Nice et transféré dans la nuit à Marseille. Extraordinaire hasard : il a été identifié parce qu'il avait eu un accident de la route près de Peypin, une heure après le rap. Pris de panique, il s'était enfui dans la colline avec la fillette. On a découvert celle-ci hier étranglée (!) et le crane fracassé à coups de pierre."


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Message non luPosté :05 févr. 2009, 10:35 
Citation :
Les gendarmes ont commencé les recherches sur le lieu du crime en début d'AM
En début d'après midi, et pourquoi pas le matin pendant que vous y êtes ?
Vous avez toujours soutenu que Gilles Perrault mentait quand il avançait que les gendarmes avaient commencé les recherches ailleurs que vers le tas de tourbe.

Il s'avére aujourd'hui que Gilles Perrault avait raison, que vous aviez l'information et que vous avez donc trompé vos lecteurs.

Pourquoi vous croirait-on quand vous parlez de début d'après midi ?

D'autant qu'il y a matière à ne pas le croire.

Vous avez écrit (votre entretien avec le Dr Vuillet):
Citation :
M. Porte m'a téléphoné. Il m'a dit : « Qu'est-ce que c'est ? » Et je lui ai dit : « Mais ce n'est pas avec une pierre, c'est à coups de couteau. Elle a été piquée de quinze coups de couteau. » Et M. Porte me dit : « Je suis rentré dans le bureau et j'ai dit à Ranucci : - Qu'est-ce que tu as fait du couteau ? Alors que jusque-là, on tournait, on tournait en rond. Et Ranucci lui a dit : -Je l'ai enterré. » Alors, à partir de là... on lui a demandé à quel endroit ?
La scène se passe nécessairement au cours des aveux de Ranucci. Or quand nous lisons le PV des aveux, la discussion sur le couteau automatique et la façon donc Ranucci s’en est débarassé, n’apparaît qu’en fin de texte. En fin des aveux.
Ce qui montre bien que Porte n’a eu l’information que vers la fin de aveux et que cela ne se passe pas du tout en début d’après-midi.
Si en début d’après-midi Porte n’avait pas l’information, les gendarmes ne pouvaient pas l’avoir non plus.

Citation :
Vous ne comprenez toujours rien. Et je ne vais pas perdre mon temps avec vous
Justement, du temps je vais vous en faire gagner. Je connais les articles de journaux aussi bien que vous, et même peut être mieux que vous.
Pour exemple, vous ignorer ou faites semblant d’ignorer que dés le 5 au soir, les Aubert ont parlé du paquet à des journalistes et qu’un autre journaliste a eu, lui aussi, l’information concernant le paquet, dans l’après midi du 5, sur le lieu de la découverte du corps. Ceci prouve que l’histoire du paquet n’est pas une manipulation de gendarme et que les Aubert ont bien vu un paquet.
Donc, pour vous faire gagner du temps, ce n’est pas la peine de me recopier les articles de journaux.


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Message non luPosté :05 févr. 2009, 14:01 
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Enregistré le :17 nov. 2007, 16:31
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Citation :
Vous ne comprenez toujours rien.
C'est pour tout le monde? À qui le dites-vous?
Citation :
Les gendarmes ont commencé les recherches sur le lieu du crime en début d'AM alors qu'on ne leur demandait pas de le faire.. Quand ils ont eu pour mission de chercher le couteau dans le tas de tourbe, ils y sont allés à 17 h 30.
Est-ce une erreur ou vous affirmez que la gendarmerie a fait des recherches sur le Lieu du crime le 6 juin?
Citation :
Le 6 juin 1974, à 17 heures 30, sur réquisition de Monsieur le Commissaire Principal ALESSANDRA, chef de la Sureté Urbaine à Marseille, agissant lui-même sur Comission Rogatoire de Mlle DI MARINO, Juge d'Instruction à Marseille en date du 6 Juin 1974, suite aux aveux de RANUCCI, Christian, sur la comission du meurtre, il est procédé à un ratissage de la plateforme précédant l'entrée de la champignionière où RANUCCI a déclaré avoir jeté le poignard utilisé pour le meurte.
Dans ce PV il n'est nullement question de recherches le 6 juin autre part qu'à la champignionière et à partir de 17h30.
D'autre part ce PV est clair. La juge a saisi la Sureté et c'est le comissaire Alessandra qui requiert la gendarmerie pour effectuer les recherches. Ou accusez-vous la gendarmerie de s'être auto-saisie?
La Comission Rogatoire de la Juge est du 6 Juin et concernant les aveux, donc s'il y avait demande de prolongation de la GAV, je ne vois pas très bien le motif de ne pas la concéder. Une prolongation de 24 heures ne veut pas dire que Ranucci doit passer les 24 heures à l'Évêché et ne puisse être déféré dans l'heure qui suit la fin de la première GAV.
A moins que cette prolongation n'ait jamais été sollicitée car tout était clair et prévu.


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