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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :11 déc. 2016, 22:28 
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MAIS QUI EST DONC ''L'autre'' R. D* C***** ?

Voici le document sur lequel je me suis appuyé pour essayer de poursuivre mes investigations dans une direction qui me semble pertinente
A noter qu'à partir de là je quitte tout ce qui est document issue de l'Indicateur Marseillais
Fichier(s) joint(s) :
Liste des DC par nom alpha (Indicateur 74 ou 75).JPG


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :22 déc. 2016, 01:24 
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Citation :
Pat 31 :
...Voici le document sur lequel je me suis appuyé pour essayer de poursuivre mes investigations dans une direction qui me semble pertinente...
A partir de là, la logique aurait voulu que je commence à m'intéresser à l'entreprise '' Les Transports DC'' et à son propriétaire ou gérant.
Mais, je décide de laisser entre parenthèse cela pour essayer de trouver une réponse se ramenant à quelque chose de bien particulier que j'ai eu en tête depuis le début où j'ai entrepris de m'intéresser à ''l'autre RDC''.
Pour cela, il me fallait contacter un champignonniste. Lorsque j'en ai trouver un, un de ceux qui cultivent encore dans des galeries souterraines, je rédige rapidement sur un papier ce que je vais lui dire, et je compose son numéro.
Citation :
Retranscription de la conversation téléphonique entre Pat 31 et le champignonniste B.Z. :
Pat 31 : « Bonjour, je suis Monsieur P.L. De T. . Je vous contacte parce que je m'intéresse à la culture du champignon. J'aurais deux questions à vous poser. » 
Monsieur B.Z. «?????? »
Pat 31 : « Voilà, je sais que le champignon, c'est quelque chose de très fragile. Dès qu'on l'a cueilli, il faut aller le transporter, tant qu'il est frais, vers son lieu de vente. Mais, je suppose, que concernant le champignon, même si le lieu de livraison est assez proche, il vaut mieux le transporter par camion frigorifique. Est-ce que vous pourriez me confirmer que j'ai raison ? »
Monsieur B.Z. «  Oui, c'est par camions frigorifiques que le champignon est transporté. »
Pat 31 : « J'en viens à ma deuxième question ... Je sais que dans les années 1970, les camions frigorifiques existaient déjà, même si ce véhicule était tout de même moins ''banalisé'' qu'aujourd'hui. Est ce qu'à cette époque, le champignon était également transporté par camion réfrigérés ? »
Monsieur B.Z. «  Ouh là ... C'est qu'à ce moment là j'étais tout jeune. Je ne faisait pas ce que je fais aujourd'hui.Je ne peut pas vous dire. ... Probablement. »
Pat 31 : «  Je vous remercie. Passez une bonne fin de journée »
monsieur B .Z. « Bonne journée à vous aussi »


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :24 déc. 2016, 02:18 
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Il est sûr qu’il me fallait au moins l’avis de deux autres cultivateurs de champignons.
Mais que c’est dur de pouvoir joindre quelqu’un qui cultive le champignon. Un nombre incalculable de cultivateur de champignons que j’ai essayé de joindre par téléphone ne répondent pas. J’ai même laissé un message sur le répondeur d’une de ces personne, et il ne m’a toujours pas répondu.
J’ai qu’en même réussi à avoir un autre cultivateur de champignon. C’est surprenant, mais je lui ai débité pratiquement mots à mots les phrases que j’avais dit à B.Z., et il a réagit quasiment pareil.
Citation :
Retranscription de la conversation téléphonique entre Pat 31 et le champignonniste L.B. :
Pat 31 : « Bonjour, je suis Monsieur P.L. De T. . Je vous contacte parce que je m'intéresse à la culture du champignon. J'aurais deux questions à vous poser. »
Monsieur L.B. «?????? »
Pat 31 : « Voilà, je sais que le champignon, c'est quelque chose de très fragile. Dès qu'on l'a cueilli, il faut aller le transporter, tant qu'il est frais, vers son lieu de vente. Mais, je suppose, que concernant le champignon, même si le lieu de livraison est assez proche, il vaut mieux le transporter par camion frigorifique. Est-ce que vous pourriez me confirmer que j'ai raison ? »
Monsieur L.B. « Tout à fait, il faut que le produit puisse garder toute sa fraîcheur »
Pat 31 : « J'en viens à ma deuxième question ... Je sais que dans les années 1970, les camions frigorifiques existaient déjà, même si ce véhicule était tout de même moins ''banalisé'' qu'aujourd'hui. Est ce qu'à cette époque, le champignon était également transporté par camion réfrigérés ? »
Monsieur L.B. « Là dessus, je ne peut rien vous dire, car je ne faisais pas ce travail à l’époque. »
Pat 31 : « Je vous remercie. Passez une bonne fin de journée »
Monsieur L.B. « Vous aussi. Au revoir »
Ceci dit, en attendant de pouvoir joindre un troisième cultivateur de champignons qui pourrait me confirmer le ‘’...probablement’’ de B.Z.’’, je me suis dit qu’il y avait peut-être quelque chose qui traînait sur le web concernant la culture du champignon dans les Bouches du Rhône. Quelque chose sur ce sujet et dont personne ne serait arrivé à tombé dessus. Le web c’est pas une toile, c’est un labyrinthe immense, pour peu qu’on cherche quelque chose de pas trop commun et que l’on pose les mauvaises questions aux moteurs de recherche. Evidemment je partais plutôt avec l’idée que je ne trouverait pas ce que je voulais, certainement parce qu’il n’y avait certainement rien à trouver sur ce sujet.
Eh bé, bingo. A force de chercher, voilà que je tombe sur une interview de Monsieur Benali Rahou en personne qui parle bien sûr de la culture du champignon, mais en plus qui dit pas mal de choses sur la Champignonnière Midi-Provence.
Je vous retranscrit cette interview, au cas où certains ne pourraient ouvrir le lien ou auraient des difficultés à comprendre certains mots. Mais surtout parce que la première fois c’est bien de l’écouter, mais si on doit revenir sur ce que dit Bénali Rahou, c’est plus pratique alors de se référer au texte, plutôt que de devoir réouvrir le lien et de devoir le réécouter.
Je suis conscient que ce document sonore aurait plus surement sa place dans le sujet intitulé ‘’ La champignonnière : l’entreprise,les personnes,l’évolution. ‘’ et j’espère que Ludivine ne m’en tiendra pas rigueur. Car pour moi se document m’a servi pour la démarche que j’ai entreprise sur ce fil.
Citation :
Retranscription de l’interview de Benali Rahou par la ‘’Voix du Patrimoine’’ au sujet de la ‘’Champignonnière Midi Provence’’ et de la culture du champignon dans les Bouches du Rhône :
Bénali Rahou:
« Oui, j'ai travaillé quelques temps ; Je conduisais les tracteurs agricoles avec les remorques. Et puis on allait descendre le fumier en bas. On le mettait en place. On faisait des corps de meules. On les ensemençait. Et puis on allait en haut chercher les champignons une fois qu'ils étaient à maturité, c'est à dire toutes les trois semaines.
Mais à l'origine, c'est bien le ciment prompt de la Valentine que l'on fabriquait ici. Tout ça à base de terre calcaire que nous avons, qui est la pierre de ciment que l'on allait d'abord extraire en surface sur des carrières, et beaucoup plus tard en profondeur, dans les galeries où on suivait les failles de roches. Les Champignonnières il y en a une à Peynier, il y en avait deux à Roquevaire, une ici, une au croisement de la Valentine et une à l'entrée de la zone industrielle de Valdonne.
Dans ces vieux bâtiments, il y avait des champignonnières toujours pareilles. A l'époque c'était des galeris pour exploiter la pierre à ciment. C'est des galeries qui font trois mètres de large, même pas deux mètres de haut, … deux mètres cinquante de haut. Et après on arrive sur des grandes chambres. On appelle ça des caves. Mais c'est immense. Et c'est tenu que par quelques piliers. En gros on a une température constante de quatorze degrés environ. Mais ce qui était un peu néfaste pour les champignons, c'était des courants d'air qu'il fallait capter, canaliser.
Faut savoir que pour cette culture, tout ce qui était mécanique, ne représentait, je pense, que dix pour cent du travail. Tout le reste était du travail manuel. On employait beaucoup de femmes. Dans cette champignonnière, dans les années 70, 80, et au début des années 90, il avait soixante dix bonhommes. Les trois quart, c'était des employés agricoles qui arrivaient du Maroc avec des contrats. Finis, ils repartaient. Et puis c'était d'autres qui venaient.
Ici on a livré pratiquement touts les grandes surfaces de la région, alors que cela avait démarré que par des petites ventes sur les épiceries locales. A l'époque, vous savez qu'il y avait tout le temps deux ou trois épiceries par village au moins.
Ça c'est arrêté il y a une quinzaine d'années. Il faut savoir qu'ici on a pas su évoluer dans l'exploitation du champignon, à la différence des hollandais. Les hollandais, ils pouvais produire pour telles dates à telles dates. Ils pouvaient vraiment contrôler ce que nous on a jamais pu faire ici. On était vraiment trop tributaire des aléas.
Comme les galeries de la champignonnière, puisquelles ne sont plus entretenues, elles s'effondrent fatalement. »

http://voixdupatrimoine.net/Champignonn ... vence.html


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :25 déc. 2016, 00:58 
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Très intéressant votre document Pat 31, seul dommage le manque de dates de la personne interrogée, du moins pas suffisamment précises.

_________________
Image


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :27 déc. 2016, 00:13 
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Citation :
Anne :
Voilà ce que j'ai trouvé en lieu et place de l'ancienne champi :
RAHOU TRAVAUX PUBLICS LOCATIONS
Sigle : RTPL
Za de Valdonne Lotissement d'activites
13124 PEYPIN
4312A - Travaux de terrassement courants et travaux préparatoires
Citation :
Ludivine :
Bon, sur ce point: premières réponses...
date de création: 1999
gérant: RAHOU David
né le 19/01/1978 à AUBAGNE
Nº SIRET : 424448363 00012
4/5 salariés

Citation :
Anne :
… seul dommage le manque de dates de la personne interrogée, du moins pas suffisamment précises ….

Bénali Rahou c’est le fils qui est né avant les événements et David Rahou c’est son frère ?????


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :27 déc. 2016, 10:44 
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Citation :
Pat 31:
Bénali Rahou c’est le fils qui est né avant les événements et David Rahou c’est son frère ?????
Après des recherche j'en déduirais que la famille Rahou serais composé de la mère, du père Mohamed Ben Ali Rahou (et non Bénali comme je l'ai écrit et de leur fils David Ben Ali Rahou. Donc il n'y aurait pas de deuxième fils Rahou. En espérant que j'ai tout bon.


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :28 déc. 2016, 01:57 
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J'insiste.
Je viens de lire sur le Web que ''Bénali'' (et donc je prend le contre-pied de ce que je viens de dire dans mon post précédent) peut-être aussi bien un prénom qu'un nom. J’ai vu également qu’existaient les nom(s) prénom(s) Mohamed Bénali Rahou, sans que je puisse savoir si ‘’Bénali’’ Formait un prénom composé avec ‘’Mohamed’’ ou bien un nom composé avec ‘’Rahou’’.

J'ai regardé les deux dépositions de Mohamed Rahou
Citation :
Extrait de la déposition de Mohamed Rahou du 05 juin1974 :
…avons fait comparaitre devant nous, à quinze heures, Monsieur Rahou Mohamed, né en 1920 en Algérie…
Citation :
Extrait de la déposition du 10 juin de Mohamed Rahou :
… je me nomme Rahou Mohamed, âgé de 54 ans, profession mineur …
Donc le prénom de la personne interviewée est Bénali. Donc cette personne interviewée ne peut pas être David Rahou né en 1978, qui d’après ce que j’ai compris, serait le fils de Mohamed Rahou. Donc, ce Bénali Rahou qui a travaillé à la champignonnière comme ouvrier, quel lien a-t-il avec la famille Rahou ?


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :03 janv. 2017, 22:14 
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MAIS QUI EST DONC ''L'autre'' R. D* C***** ? (suite)

Conscient déjà , qu’aux vues de certaine choses dites par Monsieur Bénali Rahou dans son interview, je serais certainement amené à me replonger dans l’univers de la Champignonnière Midi-Provence, je sais maintenant qu’il faut que j’arrive à en savoir un peu plus sur ‘’l’autre’’ RDC et son entreprise.

Je voudrais dire qu’évidemment, quand je parle de quelque chose, c’est qu’au moment où je vous le dis, j’ai déjà embrayé sur une ou plusieurs autres choses. A l’heure actuelle, il me semble que là où j’en suis, ça me semble être ‘’du lourd’’, même du ‘’très lourd’’, contrairement aux nombreuses autres fois où j’ai été amené à proposer certaines pistes. Mais me connaissant, moi qui m’enflamme vite, bien que j’essaye de me contrôler(et j’arrive à y arriver), peut-être que lorsque vous lirez les résultats actuels de mes investigations, vous aurez tout au contraire l’impression qu’en encore une fois, je vous sert du ‘’vent en bouteille’’.

Et donc, j’attaque bille en tête en téléphonant à nouveau, mais cette fois-ci à une dame habitant Marseille. Pas la peine de vous la présenter, puisque cela va être dit lors de la conversation que j’ai eu avec elle.
Citation :
Retranscription de la conversation téléphonique entre Pat 31 et Madame M-N. B. :

Pat 31 : « Bonjour Madame. Je suis Monsieur P. L . de T. Je me permet de vous téléphoner parce que je m’intéresse à l’évolution des transports de marchandises à Marseille des année 70 jusqu’à aujourd’hui. Pour cela, j’ai choisi certaines entreprises marseillaises qui existaient dans les années 70 et j’étudie ce qu’elles sont devenues jusqu’à maintenant.
J’en viens au fait. Je sais que là où vous habitez, vivait avant vous un Monsieur nommé RDC et qu’il s’occupait d’une entreprise de transport qui s’appelait ‘’Les Transports RDC’’. J’aurais, si vous le voulez bien quelques questions à vous poser au sujet de cette entreprise et de ce Monsieur. »

Madame M-N. B. : « ???????? ».

Pat 31 : « Voilà, j’aimerais savoir si vous savez ce que les camions de Monsieur RDC transportaient ? »

Madame M-N. B. : « Ce que je sais, c’est que cette personne a travaillé d’abord dans l’entreprise que vous me dîtes, puis il est allé chez Mercédès, puis en 1994 ou 1995, je me rappelle plus exactement, il est parti à la retraite et est allé s’installer à Bandol. »

Pat 31 : « Est-ce que vous connaissez son adresse à Bandol ? »

Madame M-N. B. : « Non, mais de toutes façons, ce monsieur est probablement mort à l’heure actuelle, car il était déjà âgé quant il est parti à Bandol. »

Pat 31 : « J’en reviens à ma première question. Quel type de marchandises transportaient les camions de Monsieur RDC ? »

Madame M-N. B. : « Ils livraient de l’alimentation dans les grandes surfaces des alentours »

Pat 31 : « Mais tous ce que vous dites, c’est Monsieur RDC qui vous l’a dit ?

Madame M-N. B. : « Non, c’est ma voisine. »

Pat 31 : « Votre voisine, ce serait possible que je lui parle pour qu’elle m’en dise un peu plus sur ce Monsieur et son entreprise. ? »

Madame M-N. B. : « C'est-à-dire que ma voisine, c’est une femme qui est très âgé et très malade. »

Pat 31 : « Dans ce cas, est-ce que vous savez autre chose sur ce Monsieur où son entreprise et que je ne vous aurez pas demandé ? »

Madame M-N. B. : « Je sais qu’il a un fils et une fille »

Pat 31 : « En tous cas, je vous remercie de votre gentillesse et d’avoir pris le temps de répondre à mes interrogations. Je pense n’avoir rien oublié. Si c’était le cas, je serais certainement amené à vous re-téléphoner. »

Madame M-N. B. : « « ???????? »

Pat 31 : « Au revoir et merci. »

Madame M-N. B. : « Je vous en pris. »


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :04 janv. 2017, 00:52 
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Bon travaille Pat31 ;
Non , vous ne " servez pas du vent en bouteille" comme vous dites et il semblerait bien que le "très lourd" pointe son nez !


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :08 janv. 2017, 19:04 
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MAIS QUI EST DONC ''L'autre'' R. D* C***** ? (suite)
Ce que je cherche c'est s'il existe une relation entre la champignonnière et ''l'Entreprise RDC''. C'est ce que j'ai représenté avec le schéma ci-dessous qui est une réactualisation du dernier schéma que j'ai posté auparavant
Fichier(s) joint(s) :
Schéma relationnel (3-4).JPG
Pour l'instant, cette relation est en suspend ( gros point d'interrogation et traits discontinus). Si, éventuellement j'arrivais à découvrir qu'une telle relation existe, cela serait incroyable, vu le nombre d'entreprises de transports à Marseille dans les années 70.
Et nous aurions donc d'un côté de Marseille, à Saint Agnès E. Spinelli et RDC et d'un autre '' l'autre'' RDC (ou plutôt son entreprise) en relation avec la champignonnière.

Pour l'instant, je tape sur BFM Vérif le nom ''Entreprises RDC''.
Et effectivement, voilà en réponse, le type de page qui apparaît.
Fichier(s) joint(s) :
Transports RDC (0A).JPG
Agrandissons la partie intéressante
Fichier(s) joint(s) :
Transports RDC (0B).jpg
L'entreprise RDC a été créée en 1968. Elle s'est arrêté courant 2009. Son adresse était alors située dans le 12ème arrondissement.
Le code APE / NAF représente les activités du transport du fret de proximité. A cet instant je repense à ce que m'a dit Madame M-N. B.
Citation :
Retranscription de la conversation téléphonique entre Pat 31 et Madame M-N. B. :

Pat 31 : « J’en reviens à ma première question. Quel type de marchandises transportaient les camions de Monsieur RDC ? »

Madame M-N. B. : « Ils livraient de l’alimentation dans les grandes surfaces des alentours »
Apparemment cette personne ne m'aurait pas raconté des ''craques''. Le fret pourrait-être bien de l'alimentation pour les grandes surfaces et la proximité ce pourrait-être les alentours.

Voici le détail du code 4941B
Fichier(s) joint(s) :
Transports RDC (1A).JPG
Fichier(s) joint(s) :
Transports RDC (1B).JPG
Si on reviens au premier document montrant la page presque entière de ''BFM Vérif'' on aperçois plusieurs onglets. Seul un montre quelque chose: c'est l'onglet ''Documents légaux''.
Voici son contenu:
Fichier(s) joint(s) :
Transports RDC (0C).jpg
Je vois qu'avant le 14 02 2000 Le siège social des Transports RDC était ailleurs. Il serait certainement intéressant de savoir où, car BFM Vérif n'en a pas trace. Je vais essayer de chercher ........


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :08 janv. 2017, 21:31 
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Bonjour Pat31
Vous faites un travail énorme et intéressant .

Hier soir , je lisais sur : LIEUX du CRIME ="champignonnière , l'entreprise , l'évolution"
Les messages dates de 2008 .
Peut ètre que les relire vous donnerait des renseignements pour ici .
Du moins vous aider ?


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :10 janv. 2017, 21:11 
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Citation :
Maril85 :
Hier soir , je lisais sur : LIEUX du CRIME ="champignonnière , l'entreprise , l'évolution"
Les messages dates de 2008 .
Peut ètre que les relire vous donnerait des renseignements pour ici .
Du moins vous aider ?
J’avais déjà parcouru plusieurs fois les pages du sujet ‘’ La champignonnière, l’entreprise, l’évolution’’. J’y ai même posté quelques fois. Sur vos conseil, j’y suis qu’en même retourné. Bien m’en a pris, puisque j’ai repéré un lien, dont jusqu’à présent je n’avais pas fait grand cas et qu’avait mis Syd. Je l’ai ouvert et je suis tombé sur le document ci-dessous.
Fichier(s) joint(s) :
Fiche entreprise David Ben Ali Rahou.JPG
Maintenant tout s’éclaire par rapport à mes interrogations à propos de la personne qui a été ''interviewée'' par la ''Voix du Patrimoine'' . En fait,David Rahou a un deuxième prénom et il est composé, c’est Ben Ali. Donc la personne interviewé par la voix du patrimoine est David Rahou.
J'avais besoin de savoir tout simplement.Maintenant je sais.


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :10 janv. 2017, 21:46 
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Bonsoir Pat31
Tant mieux , que vous ayez eu ce renseignement .

Je suis contente d'y avoir un ptit chouilla participéé :|


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :16 janv. 2017, 17:16 
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Je pense avoir fait pas mal de site du même ‘’acabit’’ que BFM TVérif’’, et je n’ ai pu trouvé que deux sites de plus qui donnent des infos sur Les Transports RDC.
Le premier est ‘’Entreprise.com’’ et le second est ‘’Sirène’’ qui est relié, d’après ce que j’ai cru comprendre à l’INSEE et ne donne d’infos que sur les entreprises qui n’existent plus. Au passage, peut-être pourrais-je arriver à récupérer, sur ce dernier site, des infos sur la champignonnière datant d’avant 1975. Pour l’instant je n’ai pas eu le temps de m’y atteler.
Ce que j’aimerais, personnellement, c’est d’avoir une vision assez complètent et juste de l’évolution des Transports RDC. Mais quand on compare les données de ces trois sites, si des évênements et des dates collent entre-eux, certains sont différents. Je pense qu’une grande partie de ceci vient du fait que les dernières mises à jour n’ont pas été faites à la même date suivant les sites.
Je vais essayer d’accélérer le pas, mais il faut dire qu’il y a une partie mise en forme avant de poster, qui me ‘’pèse’’ beaucoup en ce moment. Par contre, je suis toujours aussi motivé, avec en ligne de mire la vérité. Eh oui Monsieur Gérard Bouladou, je n’ai rien contre vous personnellement, mais désolé, pour moi la vérité vrai reste encore à écrire.
Donc ce que j’ai décidé de faire, comme dirait gihel, c’est de mettre en ordre et à plat les quelques documents (ils ne sont pas légion) de ces sites, pour mieux les comparer et en extirper une évolution de l’entreprise RDC qui collent le plus possible à ce qui c’est passé. Cela ne va pas prendre beaucoup de temps ni un très grand nombre de posts. (deux ou trois maxi).
Dans un premier temps, je donne juste les infos succintes avec le logo de ces deux sites.

Fichier(s) joint(s) :
Transports RDC (0 bis finish).JPG
Fichier(s) joint(s) :
Transports RDC (0 finish).JPG
Le document du site ‘’Sirene’’ est intéressant, puisqu’il montre que l’entreprise est constituée (tout au moins avant de disparaître) de deux établissements, qui sont géographiquement assez éloignés : un dans le 5ème arrondissement de Marseille et un autre sur la commune d’Aubagne.


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 Sujet du message : Re: témoignage d'E.Spinelli
Message non luPosté :18 janv. 2017, 16:49 
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MAIS QUI EST DONC ''L'autre'' R. D* C***** ? (suite)

Pour retrouver les grandes lignes de l’évolution de l’entreprise des Transports RDC, j’ai donc retenu les trois sites dont j’ai parlé dans mon dernier post, plus le site infogreffe .fr dont entre temps je me suis rappelé l’existence (de toutes façon, je n’ai pas trouvé d’autres sites où cette entreprise apparaissait).
Pratiquement tous les documents contenus dans ces quatre sites ont été utilisés.
Pour chaque documents présenté, j’ai entouré en rouge les infos qui m’ont permis de retracer le plus gros de l’histoire de cette entreprise.
Quand cela est pertinent, je n’ai pas hésité à mettre deux documents côte à côte pour apprécier les données semblables ou différentes.
D’emblée, il m’a semblé plus facile de retracer l’historique des Transports RDC en partant de la fin.
Quitte ensuite à faire un résumé /synthèse en partant du début.
Fichier(s) joint(s) :
Historique Transports RDC (1).JPG
Tout en bas des deux documents, on voit que l’entreprise vient de fermer. Les dates ne sont tout à fait les mêmes, mais la date du document de droite intervient juste après un jugement. A cette date, soit pendant l’année 2009, l’entreprise vient officiellement de disparaître.
En haut, les dates entourées de rouge sont également différentes, mais elles nous informent qu’un des deux établissements va incessamment être transféré d’un lieu vers un autre. La question est d’où vers où et est-ce l’établissement principal (le siège) ou bien l’établissement secondaire ? En jetant à nouveau un coup d'oeil sur les documents de mes deux derniers post avant celui-ci on peut déjà avancer l’idée qu’il s’agit certainement du siège et qu’il est parti courant 2000 du 5ème arrondissement pour aller s’implanter dans le 12ème
A suivre


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