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 Sujet du message : TRACES DANS LA GALERIE ???
Message non luPosté :17 oct. 2012, 10:46 
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Enregistré le :05 sept. 2012, 10:20
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LES TRACES ???

nous avons enfin eu accés à la documentation générale et en remercions ludivine.
nous savons fort bien quelles sont les difficultés a rèunir ses piéces puisqu'il s'agit de documents extrait du ou des dossiers des avocats principalement.

malheureusement il y manque des pièces photographique qui pour nous sont tout simplement capitales!
en effet le 5 juin 1974 les gendarmes de greasque ont tirés sept photographies du sol et des traces dans la galerie de la champignognière.
ses photos peuvent peut être encore parlés et rèsoudre d'une manière définitive une grande partie du dossier!

en effet,soit elles ne nous apportent rien ( manque de détails , qualité horrible et inexploitable etc...etc...)
mais a ce niveau c'est qui risque rien n'a rien.

Soit elles prouvent de manière formelles et incontestable que CR a bien effectué le changement de sa roue arrière gauche dans la galerie,
( une trace entrante légérement surdimensionnée du pneu qui est a plat et une trace sortante de la roue de secours qui d'ailleur n'a pas le même dessin que les autres pneus " ...un miracle pour nous ce fait...!" enfin un..!)

cette constatation prouverai quoi : ?

d'abord que toute la partie des aveux au niveau du changement de roue est fausse!
que son rècapitulatif ( je me suis reveiller au fond d'une galerie etc...etc...) est probablement a un certain pourcentage vrai !
que l'idée que développe perrault dans le pullover rouge tient la route!
la voie vers l'innocence est toujours possible.
les photos des gendarmes ne sont pas contestable devant une cour ou conseil en rèvision!

Soit elles prouvent de manière formelles et incontestable que le changement de roue c'est bien effectué avant l'entrée dans la galerie.
( roue arrière gauche du véhicule avec le même dessin en ligne d'entrée et de sortie )

cette constatation prouverai quoi : ?

d'abord dixit la totalité du rècapitulatif ainsi que du livre de perrault puisque leurs bases même reposent sur le fait de l'évanouissement et du réveil dans la galerie!
ce ne serait pas la meilleur des nouvelles vers l'innocence.

il faut comprendre que nous traivaillons à charge et a décharge sans aucuns partis pris.
cela va être très difficile de prouver l'innocence ou la culpabilité mais pas impossible.

nous demandons aux habitués du site ainsi qu'a ludivine s'il y a la moindre possibilité d'accés a ses sept photographies?
la vérité......seule la vérité compte!
merçi

phidek,raphael et x


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 Sujet du message : Re: TRACES DANS LA GALERIE ???
Message non luPosté :17 oct. 2012, 17:08 
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Enregistré le :12 août 2006, 13:18
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bonjour Phildek
Citation :
Conformément à vos instructions et suite à la demande citée en référence, j'ai l'honneur de vous rendre compte de ce qui suit:
Le 5 juin 1974, les militaires de la Brigade des Recherches de la Gendarmerie d'Aubagne (13) découvraient, près d'une champignonnière, au lieu dit "La Pomme", Commune de Peypin, le cadavre de la jeune Rambla Marie Dolores, enlevée devant son domicile à Marseille, le 3 juin 1974.
Au cours de leurs investigations, ces dernieres relevaient des traces de pneumatiques appartenant au véhicule ayant servi à l'enlevement. Des moulages de ces traces étaient effectués et placés sous scellés n°6 et n°7 et nous étaient transmis pour comparaison.
L'auteur de ce crime, Ranucci Christian, étant identifié, son véhicule Peugeot 304 coupé, immatriculé 1369 SG 06, était ramené à l'hôtel de police de Marseille pour examen.
A la demande de Monsieur le Commissaire Principal Alessandra de la sûreté urbaine de Marseille, nous avons procédé à un examen approfondi du véhicule.
Les recherches d'empreintes digitales se sont révélées négatives.

EXAMEN DES PNEUMATIQUES

Le véhicule de Ranucci Christian est équipé, lors de notre examen, de pneus KLEBER V10, de dimensions 145 SR 14, sur trois roues: avant gauche, avant droite, arrière droite
La roue arrière gauche, celle du côté accidenté, porte un pneu rechapé, marque KLEBER V10 GT, 145 HR 14, mais dont la bande de roulement présente des sculptures d'un dessin totalement différent de celui de la marque précitée.
Ces quatre pneus sont en bon état et ne présentent pas de défauts caractéristiques (coupures, arrachement de la bande de roulement).
Le coffre de la Peugeot 304 renferme une zone sur laquelle est monté un pneu KLEBER V10, 145 SR 14, de mêmes dimensions et dessins que ceux équipant les roues avant gauche, avant droite et arrière droite.
Ce pneu est crevé et présente sur tout le pourtout de sa face externe des coupures longitudinales parallèles.

COMPARAISON

L'examen des moulages effectués sur les lieux permet de constater que:
1) Le moulage constituant le scellé n° 7 présente un dessin et des dimensions de même nature que les pneus montés sur les roues avant gauche, avant droite et arrière droite de la peugeot 304 coupé de Ranucci Christian, lors de nos constatations techniques.
2) Le moulage constituant le scellé n°6 présente un dessin et des dimensions de même nature que le pneu monté sur la roue arrière gauche du véhicule de Ranucci Christian.

Les deux moulages ne font apparaitre aucun défaut caractéristique (coupure, arrachement...) permettant d'individualiser les pneumatiques ayant provoqué les traces qui ont fait l'objet de ces moulages.

voila ce que nous savons apres expertise, pas de trace de la roue accidentée, le changement aurait ete fait avant.
je pensais au vue des declarations de Mr Guazzone (rammuci reparant son aile une fois sortie de la galerie) que CR changeait sa roue juste apres ...

meme si l ont trouverait trace des 2 pneux (endommage et remplace) en quoi la theorie de l assoupissement serait plus vrai que ce qu il dira le 05 juin
Citation :
Après avoir roulé environ un kilomètre, ayant un pneu qui touchait la carrosserie, je me suis arrêté sur le bord de la route pour réparer. A cet endroit, un chemin se trouvait sur ma droite, fermé par une barrière (tube en fer de couleur blanche et rouge). Je suis descendu de voiture pour ouvrir cette barrière et, après être remonté en voiture, j'ai dirigé celle-ci dans le chemin. Après avoir parcouru quelques centaines de mètres, je me suis arrêté pour effectuer la réparation que je n'avais pu faire au bord de la route.
La réparation effectuée, j'ai voulu repartir mais j'ai constaté que j'étais embourbé
. Je me trouvais dans une sorte de trou ou bas-fond de terrain

ou qu il repetera le 06 juin a 01:30
Citation :
En effet, ma roue arrière gauche sentait le brûlé, car le tôle enfoncée au cours du choc frottait sur le pneumatique.
Après avoir immobilisé ma voiture, j'ai soulevé une barrière qui fermait un chemin, puis j'ai repris le volant et j'ai conduit ma voiture sur trois cent mètres dans le chemin se trouvant derrière la barrière.
J’ai voulu changer finalement la roue. Je l’ai changée.
J’ai voulu repartir mais mon véhicule s’est enlisé.

Il était garé à l’entrée d’une galerie.
Pendant deux ou trois heures, j’ai essayé mais en vain de sortir mon véhicule de cette galerie , mais les roues patinaient.
il n avoue pas, il reconnait juste l accident et la façon dont il s est retrouvé bloqué...
il change sa roue ds la galerie...

dans les aveux a aucun moment il change la roue...
il dit seulement
Citation :
J’ai déjà expliqué dans ma précédente déclaration la façon dont je suis sorti de la champignonnière.

n oubliez pas une chose totu de meme, il n y a pas de releve d empreinte ds la voiture, donc pour croire au "passager clandestin" il faut aussi envisager que CR ou le passager fasse le grand menage...
CR n ayant aucune raison de le faire apres son evanouissement......


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 Sujet du message : Re: TRACES DANS LA GALERIE ???
Message non luPosté :17 oct. 2012, 20:21 
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Enregistré le :08 juil. 2008, 23:05
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Il est inconcevable qu'il ait reculé sa voiture dans la rampe conduisant dans le tunnel en marche arrière et en plus avec un pneu à plat, lacéré,. Nous savons qu'une descente étroite et en courbe en complique la manœuvre. Donc il a changé sa roue avant d'entreprendre cette descente.
La question est : dans quel but ?
Aussi inconsidéré que puisse paraître cet acte, puisque la voiture restera bloquée et l'obligera à aller demander du secours, nous pouvons penser que la décision n'a pas été prise à la légère, même avec une roue réparée il fallait aussi faire attention de ne pas heurter les parois. Probablement qu'une reconnaissance à pied à précéder la marche arrière, ce qui je l'admets rend d'autant plus incroyable le piège dans lequel il est tombé.
Je ne crois pas une seconde à un acte irréfléchi, style : j'arrive énervé et je m’engouffre de colère, de honte ou de rage, puisque nous savons qu'il s'est écoulé un certain temps entre son arrivée sur site et cette descente, le temps de la réparation, pas si aisée avec l'aile qui frottait.
Nous voyons qu'il est laconique sur les raisons pour lesquelles il est descendu: sa voiture était garée à l'entrée et elle a glissée !
Bien entendu c'est pipeau et c'est dommage que les enquêteurs n'ont pas été plus curieux et n'ont pas insisté pour en connaître les raisons.

Dans le couloir de la mort le jeune condamné en écrivant son récapitulatif délire sur un scénario qui essaye de concilier l'inconciliable. Il s'arrête au bord de la route, s'évanouit et se réveille au fond du trou.
Il semble qu'il admet la présence de sa voiture à proximité de l'endroit où un homme a escaladé le talus, scène vue par les Aubert, l'endroit qui semble bien être, dans son esprit, à l’aplomb du lieu du crime.
Il mixte la thèse de l'homme au pull over-rouge, déjà avancée au procès avec une histoire sans queue ni t...... Elle a le mérite, croit-il de faire le lien entre la scène aperçue par les  Aubert et la présence dans le tunnel du pull rouge, sauf que ranucci a oublié avoir dit a plusieurs reprises que justement s'il s'était arrêté au bord de la route c'est parce que sa roue frottait, que s’il s'est engagé sur le chemin, c'était dans l'intention de réparer, ce qu'il fit finalement. Pourtant nous savons de façon certaine cette réparation. En fait toutes ses explications données au début pour justifier sa fâcheuse posture se trouvent évaporées......
Gilles Perrault a repris cette fable............ imprudemment..., bêtement.
Enfin n'oublions pas que ce n'était pas à lui (ranucci) de prouver son innocence en trouvant le coupable mais bien à l'accusation de démontrer sa culpabilité....., de façon certaine.


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 Sujet du message : Re: TRACES DANS LA GALERIE ???
Message non luPosté :18 oct. 2012, 07:43 
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Enregistré le :05 sept. 2012, 10:20
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ce que nous voulons c'est simplement fermer des portes!
les 7 photographies de la galerie existent bien ( rien a voir avec des moulages ).
elle ne sont peut etre importantes que pour nous mais elles le sont !
elles sont rattachées au procés verbal n° 810 /greasque du 5 juin 1974


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 Sujet du message : Re: TRACES DANS LA GALERIE ???
Message non luPosté :19 oct. 2012, 18:16 
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Enregistré le :08 juil. 2008, 23:05
Messages :1694
Mais la porte n'a jamais été ouverte... sérieusement.
Cette histoire d'évanouissement au bord de la route et d'un réveil au fond de la galerie a été imaginée du fond de sa cellule par un gamin de 22 ans condamné à mort , ne lui donnons pas trop d'importance.

A ma connaissance il n'y a aucune preuve d'une implication d'une autre personne entre ces deux faits : l'arrêt après l'accident et l'épisode de la galerie : personne n'a signalé une simca 1100 dans les parages ni un homme portant un pull rouge au bord de la route ou à proximité de la champignonnière.
Maintenant reste le pull : Il n'a rien à voir avec cette affaire ou il a tout à voir et est arrivé là autrement.
Cette fable est un pis-aller pour faire mine de croire à une alternative à une séquence qui pourtant ne comporte guère de mystères. J'explique : ranucci quitte sa voiture emportant un paquet/enfant et escalade la colline (après tout il est peut-être malade?), il revient à sa voiture, s'engage dans le chemin, change sa roue et engouffre son coupé dans le trou.
Avec les raisons(tues) de son séjour à Marseille, la question pour faire avancer, est et demeure : « qu'est-il allé faire dans ce trou ? ».


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 Sujet du message : Re: TRACES DANS LA GALERIE ???
Message non luPosté :19 oct. 2012, 22:17 
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Enregistré le :10 oct. 2012, 23:22
Messages :4
et après les faits ??? pendant peut-être pas ... ce serait vraiment le pire des hasards, mais après ?? bien moins.


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