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Message non luPosté :30 sept. 2004, 14:24 
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Autrement dit, si ce n'est pas Ranucci qui a placé le couteau dans la tourbe. Qui d'autre que les enquêteurs a pu le faire et le deviner alors qu'il est enfoncé aussi profond ?

Personne.


Autrement dit comment se fait-il que les enquêteurs peuvent apprendre de la bouche de Ranucci quelque chose que manifestement il n'a pas fait ? Dans un lieu précisément qui se retrouve sur le PV des aveux ?


Sinon qu'il l'aurait fait eux-mêmes ?


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Message non luPosté :01 oct. 2004, 09:38 
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Bonjour Gihel,

Ranucci a un opinel.

Pour les gendarmes, effectivement, on peut tuer avec un opinel.

Alors pourquoi ce Virginia-inox.

Il sort bien de quelque part.

Ranucci ne tue pas avec son Opinel, ça lui sert pour le pique-nique.

S'il veut tuer, il lui faut un autre couteau.

Son Opinel est peut-être connu de son entourage.

Je ne pense pas qu'il soit parti avec 36 couteaux.

Il part pas à la guerre, mais boire et faire la fête.

Alors, il en achète un.

Il tue

Et va cacher le couteau.

Ni vu, ni connu.


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Message non luPosté :01 oct. 2004, 10:59 
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Mais Christian Ranucci n'est pas parti "boire et faire la fête", je ne comprends pas ce que vous dites là. Il est parti, officiellement sans but, officieusement avec le souhait sans doute d'aller voir son père.

Que viennent faire les gendarmes là-dedans ? C'est la sûreté de Marseille qui enregistre les aveux.

L'opinel ne sert pas pour le pique-nique, il se trouve normalement dans la boîte à outil.


Oui, mais je veux bien qu'il ait acheté un couteau. Seulement, lui a une réponse à vous faire : le dimanche, les magasins sont fermés, alors, il est impossible d'acheter un couteau, et le lundi de Pentecôte aussi.

De plus la question, c'est, pourquoi ne lui a-t-on jamais demandé d'où provenait ce couteau. Et ça c'est un signe que rien ne va.

Le ni-vu, ni-connu, il s'adresse en fait à la sûreté. Pas vraiment à Christian Ranucci.


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Message non luPosté :01 oct. 2004, 11:56 
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Ranucci veut visiter l'arrière pays avec sa mère qui ne veut pas venir avec lui.

Finalement, il boit dans les bars de Marseille.

Ranucci voulait en voir du monde!

Son père, son copain Bienvenutti, je crois.

Bon, et alors.

Il va quand même pas tuer une gamine parce qu'il n'a pas vu son père ou je ne sais trop quoi.

Pour les gendarmes, ok, excusez-moi, je me suis trompée.

L'Opinel: pique-nique ou boîte à outil, il est dans la voiture.

Le dimanche dans le Sud, en période estivale, beaucoup de magasins sont ouverts.. à vérifier....

La provenance du couteau:

C'est qu'un couteau.

Ranucci ne se promenait pas avec une bombe.

Et il dit que ce couteau est à lui.

On va pas lui demander un ticket de caisse. lolo


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Message non luPosté :01 oct. 2004, 20:58 
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Mais enfin, c'est un poignard automatique qu'il transporte selon l'accusation. La moindre des choses c'est tout de même de lui demander ce qu'il faisait avec une arme pareille. Donc ce n'est pas une bombe peut-être, mais enfin on ne se ballade pas tous les jours avec un couteau automatique à double lame dans sa poche, à moins d'être chef de bande ou de réseau maffieux. Je crois qu'il faut que nous allions regarder à nouveau la photo de ce couteau.

En effet, à mon humble avis, ce n'est pas "qu'un couteau" comme vous dites. On prend une arme de ce genre quand on a envie de dézinguer ou de se défendre.

Il ne s'agit pas de lui demander le ticket de caisse. Il s'agit de lui demander dans quelle circonstance il a acquis cette arme et pour quel usage. Savoir ce qu'il comptait en faire au moment où il l'a acheté. Toutes questions que les enquêteurs n'ont pas posées. Tiens comme c'est bizarre.

Et donc dans ces cas là, on présente l'arme à la personne. Et on lui demande deux ou trois petites choses.

A tout hasard...


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Message non luPosté :01 oct. 2004, 21:00 
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Mais à un moment, il faut arrêter avec ce copain Benvenutti, ce n'est qu'une manoeuvre des enquêteurs pour essayer de donner un peu de cohérence à des aveux qui en manquent beaucoup.

A mon avis, ce qu'il avait en tête, c'était surtout de voir son père. Le reste... Seulement ça, les enquêteurs n'ont jamais compris...


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Message non luPosté :01 oct. 2004, 21:40 
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Il est interdit de se promener avec un couteau à cran d'arrêt.

Vous pouvez l'acheter, en avoir un chez vous, mais pas dehors.

J'ai demandé. lolo


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Message non luPosté :01 oct. 2004, 21:45 
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C'est qui qui parle de Bienvenutti, c'est quand même pas les policiers.

Ils ne connaissent quand même pas tous les copains des inculpés.

C'est bien Ranucci qui en parle.

Tiens pour parler d'autre chose, Perrault est sur Thalassa, à l'instant. lolo


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Message non luPosté :02 oct. 2004, 00:09 
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Il est interdit de se promener avec un couteau à cran d'arrêt.

Vous pouvez l'acheter, en avoir un chez vous, mais pas dehors.

J'ai demandé. lolo

Ben oui bien sûr et c'est pour ça que l'affaire ne colle pas. Surtout on ne lui montre jamais ce couteau. Surtout qu'il ne dise jamais : mais je n'ai jamais eu ce genre d'arme, je ne suis pas un loubard et je ne joue pas dans West Side Story.

Non, on maintient le flou et on lui laisse entendre qu'il s'agit de l'opinel.

Et donc ce qui voudrait dire qu'il a découvert cette arme lors du procès.

C'est une arme qui ne lui correspond pas du tout.

Et c'est pour cela qu'il ne s'agit pas d'un ticket de caisse, on ne trouve pas cela chez l'épicier du coin.


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Message non luPosté :02 oct. 2004, 09:18 
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C'a n'est pas ce que laisse entendre Ranucci dans son recapitulatif.

Il dit qu'on a voulu que cette arme soit sienne.

Donc, il a vu ce couteau ou on lui a montré.

Il n'y a pas de confusion entre l'Opinel et le Virginia-inox.

Autre chose, qui n'est qu'un détail:

dans ses aveux, après l'accident, ne pouvant aller bien loin, il s'est arrêté sur le bord de la route et a vu un chemin fermé par une barrière rouge et blanche.

Il l'a ouverte et est entré.

Dans son récapitulatif, après s'être réveillé embourbé dans la champi, il est parti en quête d'aide et vit une barrière rouge et blanche et la leva pour pouvoir sortir, une fois sa voiture désembourbée.

Pas très important, mais encore un point discordant.


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Message non luPosté :02 oct. 2004, 10:59 
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Bien sûr que c'est important et ce n'est pas pendant ses aveux qu'il raconte cela, mais bien avant dans la nuit. Donc il faut faire attention de ne pas s'embrouiller en mélangeant les étapes.


Pour ce qui concerne le couteau, voilà ce qu'il raconte dans son récapitulatif après le procès : "Il y eut aussi ce couteau. J'avais accepté de reconnaître cet homicide et il avait été commis avec cette arme, je l'ai donc acceptée comme mienne. Or, je n'ai jamais possédé, ni désiré posséder, de telles armes. Certes, le dimanche 2, la veille, j'avais bu, mais pas assez pour être ivre mort et amnésique, je crois qu'il m'en eût resté quelques souvenirs si je l'avais acheté pendant le week-end, comme je l'avais tout d'abord pensé. Il ne me fallut pas moins de plusieurs semaines pour que je comprisse que cela était impossible : c'était dimanche, et lundi était férié vu la Pentecôte, donc les magasins étaient fermés, donc pas pu l'acheter, donc mes souvenirs étaient donc fidèles."

On ne peut pas faire comme ci les "plusieurs semaines" dont il parle s'appliquaient à la date des aveux. Il est possible aussi qu'elle s'applique au procès. Et que cela puisse signifier : il m'a fallu plusieurs semaines après le procès pour comprendre que je n'avais pas pu acheter une arme de cette nature le week-end.

Pour être clair, il faudrait avoir le texte sous les yeux de chacune de ses comparutions devant le juge d'instruction pour savoir si le juge lui a montré à un moment ou à un autre le couteau.

C'est facile, il y a eu cinq comparutions. On élimine déjà la première, puisque c'est durant cette comparution que l'on cherche l'arme. Donc on parle de quelque chose qui n'est pas là et en plus on écrit d'abord "opinel" puis on raye pour inscrire dans la marge "automatique".

Et durant les autres comparutions ? A-t-on présenté le couteau ?


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Message non luPosté :02 oct. 2004, 11:11 
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La façon dont Maître Le Forsonney raconte l'épisode du couteau, avant le procès me semble tout de même très indicative : "Quand je lui ai dit, avant l'audience des assises, "on va avoir un problème avec votre couteau, s'il est bien à vous", il m'a regardé avec le même air de convivialité que vous en me disant: "oui, c'est vrai, vous avez raison, je vais dire qu'il n'est pas à moi". Je lui ai alors dit: "attendez, ce n'est pas ce que je vous dis, mais cela ne vous gêne pas?". Et il m'a répondu: "oui, mais je n'en sais rien... Mais vous avez raison, il vaut mieux dire qu'il n'est pas à moi.""

Donc c'est qu'on ne lui avait pas montré, et qu'à cet instant il n'a pas encore fait le raisonnement dont il parle : mais je n'ai pas pu l'acheter car c'était férié.

La façon dont c'est expliqué, on a l'impression qu'il sait déjà que ce n'est pas l'opinel, mais s'il avait vu le couteau, il aurait dit, non Maître Le Forsonney, un cran d'arrêt comme cela, je n'aurais jamais acheté cela.


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Message non luPosté :02 oct. 2004, 13:04 
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Bien sûr que c'est important et ce n'est pas pendant ses aveux qu'il raconte cela, mais bien avant dans la nuit. Donc il faut faire attention de ne pas s'embrouiller en mélangeant les étapes.


Pour ce qui concerne le couteau, voilà ce qu'il raconte dans son récapitulatif après le procès : "Il y eut aussi ce couteau. J'avais accepté de reconnaître cet homicide et il avait été commis avec cette arme, je l'ai donc acceptée comme mienne. Or, je n'ai jamais possédé, ni désiré posséder, de telles armes. Certes, le dimanche 2, la veille, j'avais bu, mais pas assez pour être ivre mort et amnésique, je crois qu'il m'en eût resté quelques souvenirs si je l'avais acheté pendant le week-end, comme je l'avais tout d'abord pensé. Il ne me fallut pas moins de plusieurs semaines pour que je comprisse que cela était impossible :
c'était dimanche, et lundi était férié vu la Pentecôte, donc les magasins étaient fermés, donc pas pu l'acheter, donc mes souvenirs étaient donc fidèles

On ne peut pas faire comme ci les "plusieurs semaines" dont il parle s'appliquaient à la date des aveux. Il est possible aussi qu'elle s'applique au procès. Et que cela puisse signifier : il m'a fallu plusieurs semaines après le procès pour comprendre que je n'avais pas pu acheter une arme de cette nature le week-end.

Pour être clair, il faudrait avoir le texte sous les yeux de chacune de ses comparutions devant le juge d'instruction pour savoir si le juge lui a montré à un moment ou à un autre le couteau.

C'est facile, il y a eu cinq comparutions. On élimine déjà la première, puisque c'est durant cette comparution que l'on cherche l'arme. Donc on parle de quelque chose qui n'est pas là et en plus on écrit d'abord "opinel" puis on raye pour inscrire dans la marge "automatique".

Et durant les autres comparutions ? A-t-on présenté le couteau ?
oui, c'est exact, Gihel, désolée.

Lors de ses aveux, Ranucci ne parle pas de cette barrière.

Cependant, quelque chose me chiffonne.

Le 6 juin, en début d'après-midi, lorsqu'il avoue, il doit avoir appuyé sur le bouton de son couteau et d'avoir poignardé la petite.

Donc, il parle d'un couteau à cran d'arrêt. lolo


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Message non luPosté :02 oct. 2004, 13:29 
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Ce n'est pas ça le problème, le problème c'est qu'il dit qu'il sort l'arme de sa poche comme on sort un lapin d'un chapeau.

1/ Il ne la décrit pas. Or c'est ce qu'un policier normalement constitué fait faire.

Quand vous avouez que vous avez tué, on vous demande avec quelle arme. Vous dites un pistolet.

Le policier vous demande : il était comment. Et comme vous avouez vous dites : un manhurin 735 à canon scié (je dis au hasard, pour exemple...) Or là, il n'y a rien, rien de rien de rien.

Il ne dit pas : c'est un couteau que j'ai acheté il y a un an, qui est comme ça, je m'en servais pour ceci ou cela. Non, strictement aucune question.

2/ On ne l'emmène pas sur les lieux. Ca n'a pas de sens.

Non non, la solution est simple : ils ont découvert cette arme dans la voiture de Christian Ranucci, lors de la première fouille. Ils ne l'ont pas écrit sur le PV récapitulatif. Mais quand ce PV récapitulatif, d'ailleurs surchargé de la mention du pantalon, a-t-il été rédigé ? C'est une question.

Ils se sont demandés ce qu'ils allaient en faire. Ont-ils demandé à Ranucci, au moment de commencer à rédiger les aveux, comment il avait tué la petite et comme il ne savait pas, ils se sont rendus compte que rien ne collait plus.

Ils se sont dit : comment on introduit l'arme ? Problème, si l'on lui montre l'arme en lui disant : "on vient de trouver cela dans la voiture est-ce qu'elle vous appartient ?"

Il va répondre non à tous les coups, je ne sais pas comment elle a atterri dans la voiture.


Donc ils auront perdu.

Le mieux, c'est d'aller la cacher dans le tas de tourbe, de faire avouer à Ranucci qu'il l'a jetée là-bas et passez muscade.

C'est vraisemblablement ce qui s'est passé.


Ce qu'on lui fait dire lors des aveux, c'est n'importe quoi. Il doit être dans un état de fatigue et de déréliction totale. Il a signé ce qu'on voulait, mais ce n'est pas une personne consciente et sure de ses actes qui signe. C'est un type tabassé, en état total de manque de sommeil.

Donc les aveux : poubelle.

D'autant plus que s'y rajoute l'épisode chez le juge d'instruction, là encore plus de fatigue, il est aux environ de 18h. Mais cette juge doit lui poser la question : vous aviez un couteau. Il était comment ? Ben c'était un opinel. Et elle marque opinel la pauvre. Elle ne sait pas encore le tripatouillage.

Et puis arrive 19h, le Ranucci doit être complètement dans le cirage. On doit lui annoncer au cours de l'interrogatoire qu'on vient de retrouver le couteau automatique dans le tas de fumier (les heures correspondent). Alors elle doit dire au policier : "ah oui, l'opinel !". Réponse du policier : Ah ben non madame le juge, ce n'est pas un opinel, c'est un couteau à cran d'arrêt !!!

Ah bon alors je me suis trompé, ouh lala et derechef, elle corrige le PV. Ben voilà, passez muscade. Le tour est joué.


Bravo la justice.


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Message non luPosté :14 oct. 2004, 10:32 
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Je vais donc changer complètement ma version et il faut désormais penser que la gendarmerie a bien été partie prenante dans cette affaire.

Les deux photos de l'opinel, et du couteau automatique semblent indiquer plutôt qu'il a été remis aux policiers le soir du 5 une série d'objets par les gendarmes, dont les pierres, le pull, et en fait le couteau.

Le couteau que l'on a découvert le 5, enfoncé dans de la tourbe.

Voilà ce qui a dû se passer : les enquêteurs de la sûreté ont reproché aux gendarmes d'avoir retiré le couteau enfoncé dans la tourbe à vingt centimètres de profondeur lors de la découverte du corps, le 5 dans l'après-midi, en disant ceci : vous nous empêchez de démontrer que c'est Ranucci qui l'y a placé, c'était à lui de nous indiquer l'endroit. Maintenant, il va refuser de le faire, cela n'aura plus aucun sens.

Alors on vous redonne le couteau et vous allez faire semblant de le retrouver puisque Ranucci vient de nous avouer où il l'avait enterré et que par suite de votre bétise on ne peut pas le confirmer.

Donc on ramène le couteau pendant que le capitaine Gras cherche ailleurs et on le replace exactement où il se trouvait : enfoncé dans la tourbe à vingt centimètres de profondeur et le capitaine le retire comme il avait été procédé la veille, exactement de la même façon.


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