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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:30 
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comme celui de MD !! quel bonheur et quelle chance à exploiter pour l'accusation !!
Et qu'avez vous à dire sur cela ?
Est-ce une coïncidence?
Ranucci a t-il coupé des tranches de rosbeef pendant son pique-nique avec?
et vous, comment pouvez vous affirmer que c'est celui de MD ?
vous portez des accusations graves sans apporter la moindre preuve formelle.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:35 
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Vous n'avez rien démontré du tout. Vous avez posé comme certitude ce qui n'est rien qu'une hypothèse. On ne sait même pas avec certitude si ce couteau appartenait à Ranucci ...
Citation :
"Mlle Di Marino (la juge d’instruction NDLR) lui montre ensuite le couteau à cran d’arrêt transmis par le capitaine Gras. « Ce couteau m’appartient, je le reconnais, c’est le couteau dont je me suis servi pour frapper la fillette ». Quant au couteau Opinel trouvé dans le coffre de sa Peugeot, Ranucci répond qu’il faisait partie de la trousse à outils livrée avec la voiture."



Christian Ranucci a donc, d’une part, eu les 2 couteaux sous les yeux lors de cette audition par la juge d’instruction, et, d’autre part, reconnu formellement le couteau à cran d’arrêt comme étant l’arme du crime.






Concernant la propriété du couteau :



Voilà ce que dit Christian Ranucci à la juge d’instruction lors de l’interrogatoire récapitulatif (la dernière audition par la juge d’instruction avant renvoi à la chambre d’accusation) le 27 décembre 1974 :



« Si j’ai reconnu les faits, c’est parce j’y étais forcé. En effet, à Marseille où l’on m’a transporté, on m’a dit qu’il y avait des témoins et des charges matérielles contre moi. Forcé par la logique et ne me souvenant de rien, j’ai tout reconnu.

Je reconnais par contre que c’est bien moi qui ai indiqué aux enquêteurs à quel endroit était le couteau m’appartenant et que vous m’avez montré lorsqu’il a été retrouvé. Mais par contre, je ne sais pas ce que j’ai pu faire avec ce couteau. Je ne me souviens pas d’avoir enlevé quiconque ; je ne me souviens pas avoir mortellement frappé quiconque. »



Voilà ce que Jean-François Le Forsonney (avocat de Christian Ranucci) rapporte d’un échange qu’il a eu avec Christian Ranucci peu avant son procès aux assises en 1976, ce dernier lui a dit alors :

« C’est vrai, peut-être vaut-il mieux mentir mais, vous, je ne peux vous cacher la vérité, ce couteau m’appartient. »


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:37 
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et vous, comment pouvez vous affirmer que c'est celui de MD ?
vous portez des accusations graves sans apporter la moindre preuve formelle.
Citation :
Concernant l’analyse du couteau :

Voici ce qui figure dans le rapport d’expertise du Dr Vuillet, qui a aussi procédé à l’examen médical de Christian Ranucci après sa garde à vue :

« …le couteau du scellé n°8, la pierre du scellé n°3, la pierre du scellé n°5[…] et le pantalon de Ranucci Christian sont souillés de sang humain du groupe A, qui est également le groupe sanguin de la victime Rambla Maria-Dolorès… »

Cependant, il faut rappeler que Christina Ranucci est aussi du groupe sanguin A.

Le Dr Vuillet a conclu, lors de l’examen médical de Christian Ranucci le 6 juin 1974, que ce dernier n’avait « aucune trace de blessure susceptible d’avoir saigné le jour du crime. »

Le sang qui tâche le couteau appartenait donc bien à la petite victime.
Oseriez-vous insinuer que je viole la présomption d'innocence?


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:38 
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comme celui de MD !! quel bonheur et quelle chance à exploiter pour l'accusation !!
Et qu'avez vous à dire sur cela ?
Est-ce une coïncidence?
Ranucci a t-il coupé des tranches de rosbeef pendant son pique-nique avec?
Tant que ce ne peut être démontré, ce ne peut être qu'une possibilité, pas une certitude...


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:40 
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Vous n'avez rien démontré du tout. Vous avez posé comme certitude ce qui n'est rien qu'une hypothèse. On ne sait même pas avec certitude si ce couteau appartenait à Ranucci ...
Citation :
"Mlle Di Marino (la juge d’instruction NDLR) lui montre ensuite le couteau à cran d’arrêt transmis par le capitaine Gras. « Ce couteau m’appartient, je le reconnais, c’est le couteau dont je me suis servi pour frapper la fillette ». Quant au couteau Opinel trouvé dans le coffre de sa Peugeot, Ranucci répond qu’il faisait partie de la trousse à outils livrée avec la voiture."



Christian Ranucci a donc, d’une part, eu les 2 couteaux sous les yeux lors de cette audition par la juge d’instruction, et, d’autre part, reconnu formellement le couteau à cran d’arrêt comme étant l’arme du crime.






Concernant la propriété du couteau :



Voilà ce que dit Christian Ranucci à la juge d’instruction lors de l’interrogatoire récapitulatif (la dernière audition par la juge d’instruction avant renvoi à la chambre d’accusation) le 27 décembre 1974 :



« Si j’ai reconnu les faits, c’est parce j’y étais forcé. En effet, à Marseille où l’on m’a transporté, on m’a dit qu’il y avait des témoins et des charges matérielles contre moi. Forcé par la logique et ne me souvenant de rien, j’ai tout reconnu.

Je reconnais par contre que c’est bien moi qui ai indiqué aux enquêteurs à quel endroit était le couteau m’appartenant et que vous m’avez montré lorsqu’il a été retrouvé. Mais par contre, je ne sais pas ce que j’ai pu faire avec ce couteau. Je ne me souviens pas d’avoir enlevé quiconque ; je ne me souviens pas avoir mortellement frappé quiconque. »



Voilà ce que Jean-François Le Forsonney (avocat de Christian Ranucci) rapporte d’un échange qu’il a eu avec Christian Ranucci peu avant son procès aux assises en 1976, ce dernier lui a dit alors :

« C’est vrai, peut-être vaut-il mieux mentir mais, vous, je ne peux vous cacher la vérité, ce couteau m’appartient. »
si c'est celui de MD, rien ne dit en plus que c'est forcément et absolument CR qui l'a poignardée.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:46 
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Vous n'avez rien démontré du tout. Vous avez posé comme certitude ce qui n'est rien qu'une hypothèse. On ne sait même pas avec certitude si ce couteau appartenait à Ranucci ...
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"Mlle Di Marino (la juge d’instruction NDLR) lui montre ensuite le couteau à cran d’arrêt transmis par le capitaine Gras. « Ce couteau m’appartient, je le reconnais, c’est le couteau dont je me suis servi pour frapper la fillette ». Quant au couteau Opinel trouvé dans le coffre de sa Peugeot, Ranucci répond qu’il faisait partie de la trousse à outils livrée avec la voiture."



Christian Ranucci a donc, d’une part, eu les 2 couteaux sous les yeux lors de cette audition par la juge d’instruction, et, d’autre part, reconnu formellement le couteau à cran d’arrêt comme étant l’arme du crime.






Concernant la propriété du couteau :



Voilà ce que dit Christian Ranucci à la juge d’instruction lors de l’interrogatoire récapitulatif (la dernière audition par la juge d’instruction avant renvoi à la chambre d’accusation) le 27 décembre 1974 :



« Si j’ai reconnu les faits, c’est parce j’y étais forcé. En effet, à Marseille où l’on m’a transporté, on m’a dit qu’il y avait des témoins et des charges matérielles contre moi. Forcé par la logique et ne me souvenant de rien, j’ai tout reconnu.

Je reconnais par contre que c’est bien moi qui ai indiqué aux enquêteurs à quel endroit était le couteau m’appartenant et que vous m’avez montré lorsqu’il a été retrouvé. Mais par contre, je ne sais pas ce que j’ai pu faire avec ce couteau. Je ne me souviens pas d’avoir enlevé quiconque ; je ne me souviens pas avoir mortellement frappé quiconque. »



Voilà ce que Jean-François Le Forsonney (avocat de Christian Ranucci) rapporte d’un échange qu’il a eu avec Christian Ranucci peu avant son procès aux assises en 1976, ce dernier lui a dit alors :

« C’est vrai, peut-être vaut-il mieux mentir mais, vous, je ne peux vous cacher la vérité, ce couteau m’appartient. »
On connait tout ca...

Il y manque la réponse au procès à la question du Président Antona, devant la Cour, pour la première fois devant témoins on a le couteau et Ranucci ensemble :

- Il est bien à vous ce couteau, Ranucci ?
- Négatif !

Et ensuite, dans le récapitulatif "je n'ai jamais possédé ni souhaité posséder une telle arme."

Tout dire, ou ne rien dire, Monsieur FF.

Donc, principe de précaution, je ne mettrai pas ma main au feu que le couteau V.Inox ait appartenu à Ranucci. Je vise ainsi à faire faire des économies à la Sécu.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:47 
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Tant que ce ne peut être démontré, ce ne peut être qu'une possibilité, pas une certitude...
S'il faut s'interdire de raisonner maintenant...


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:47 
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si c'est celui de MD, rien ne dit en plus que c'est forcément et absolument CR qui l'a poignardée.
Ben oui, puisque c'est son couteau.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:48 
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Vous n'avez rien démontré du tout. Vous avez posé comme certitude ce qui n'est rien qu'une hypothèse. On ne sait même pas avec certitude si ce couteau appartenait à Ranucci ...
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"Mlle Di Marino (la juge d’instruction NDLR) lui montre ensuite le couteau à cran d’arrêt transmis par le capitaine Gras. « Ce couteau m’appartient, je le reconnais, c’est le couteau dont je me suis servi pour frapper la fillette ». Quant au couteau Opinel trouvé dans le coffre de sa Peugeot, Ranucci répond qu’il faisait partie de la trousse à outils livrée avec la voiture."



Christian Ranucci a donc, d’une part, eu les 2 couteaux sous les yeux lors de cette audition par la juge d’instruction, et, d’autre part, reconnu formellement le couteau à cran d’arrêt comme étant l’arme du crime.






Concernant la propriété du couteau :



Voilà ce que dit Christian Ranucci à la juge d’instruction lors de l’interrogatoire récapitulatif (la dernière audition par la juge d’instruction avant renvoi à la chambre d’accusation) le 27 décembre 1974 :



« Si j’ai reconnu les faits, c’est parce j’y étais forcé. En effet, à Marseille où l’on m’a transporté, on m’a dit qu’il y avait des témoins et des charges matérielles contre moi. Forcé par la logique et ne me souvenant de rien, j’ai tout reconnu.

Je reconnais par contre que c’est bien moi qui ai indiqué aux enquêteurs à quel endroit était le couteau m’appartenant et que vous m’avez montré lorsqu’il a été retrouvé. Mais par contre, je ne sais pas ce que j’ai pu faire avec ce couteau. Je ne me souviens pas d’avoir enlevé quiconque ; je ne me souviens pas avoir mortellement frappé quiconque. »



Voilà ce que Jean-François Le Forsonney (avocat de Christian Ranucci) rapporte d’un échange qu’il a eu avec Christian Ranucci peu avant son procès aux assises en 1976, ce dernier lui a dit alors :

« C’est vrai, peut-être vaut-il mieux mentir mais, vous, je ne peux vous cacher la vérité, ce couteau m’appartient. »
On connait tout ca...

Il y manque la réponse au procès à la question du Président Antona, devant la Cour, pour la première fois devant témoins on a le couteau et Ranucci ensemble :

- Il est bien à vous ce couteau, Ranucci ?
- Négatif !

Et ensuite, dans le récapitulatif "je n'ai jamais possédé ni souhaité posséder une telle arme."

Tout dire, ou ne rien dire, Monsieur FF.

Donc, principe de précaution, je ne mettrai pas ma main au feu que le couteau V.Inox ait appartenu à Ranucci. Je vise ainsi à faire faire des économies à la Sécu.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:51 
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Donc, principe de précaution, je ne mettrai pas ma main au feu
Le principe de précaution – qui n’a jamais prouvé son efficacité – contient une contradiction interne. Le principe de précaution exige donc de ne pas appliquer le principe de précaution.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:53 
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Donc, principe de précaution, je ne mettrai pas ma main au feu
Le principe de précaution – qui n’a jamais prouvé son efficacité – contient une contradiction interne. Le principe de précaution exige donc de ne pas appliquer le principe de précaution.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 10:56 
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Tant que ce ne peut être démontré, ce ne peut être qu'une possibilité, pas une certitude...
S'il faut s'interdire de raisonner maintenant...
Pour devenir une preuve, ce qui résulte du raisonnement doit être inattaquable. Il ne suffit pas de remplacer "raisonner" par "démontrer" pour que ca marche.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 11:00 
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Démontrez nous que le couteau n'est pas le sien avec autre chose que le négatif du procès.


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 11:05 
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Donc, principe de précaution, je ne mettrai pas ma main au feu
Le principe de précaution – qui n’a jamais prouvé son efficacité – contient une contradiction interne. Le principe de précaution exige donc de ne pas appliquer le principe de précaution.
Mais si, c'est prudentiel... Ce que vous êtes compliqué, FF, quand il s'agit de simplifier...


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Message non luPosté :10 févr. 2006, 11:09 
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Démontrez nous que le couteau n'est pas le sien avec autre chose que le négatif du procès.
Il n'y a que vous sur ce forum, mais vraiment que vous, pour soutenir qu'on ait à faire la preuve de l'innocence... La charge de la preuve dans tous les cas incombe à l'accusation...


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