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Message non luPosté :25 avr. 2005, 16:32 
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ca ne veut pas dire que l'on puisse l'identifier dans une file ou un groupe de personnes qui attendent devant les parloirs des baumettes


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 17:02 
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Ca cancanne dans la file : "Mme Mattei vous avez vu la bas c'est la mère de l'assassin de la petite Rambla..."


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 17:57 
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Je suis pas sur que ca "cancanne" tant que cà dans ces occasions
Quand vous allez voir quelqu'un qui est emprisonné ,serait'il innocent selon vous, vous ne cancannez pas a tout vent que vous allez rendre visite a votre fils qui est soupsonné d'avoir massacré une gamine de 8 ans
Vous vous faites tout petit dans la file, les parloirs des baumettes c'était quand méme pas la gare st-charles ou les halles


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 17:59 
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Et puis ca voudrait dire que mathon et matteï étaient côte a côte pour qu'elles puissent se parler
Comme par hasard
encore un...décidémment !


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 18:18 
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André,
Vous faites encore semblant de ne pas comprendre ?
Webrider n'a jamais dit que Mme Mathon allait claironner qu'elle était la mère de Ranucci, le suspect accusé du meurtre de la petite.
Donc ce que vous dites là est hors de propos : "Quand vous allez voir quelqu'un qui est emprisonné ,serait'il innocent selon vous, vous ne cancannez pas a tout vent que vous allez rendre visite a votre fils qui est soupsonné d'avoir massacré une gamine de 8 ans"

Il vise d'autres personnes, gardiens, autres personnes rendant visite ("dans la file", comme il dit), qui parleraient de Mme Mathon sans sa présence évidemment, dans son dos, et que Mme Mattéi pourrait entendre, soit parce qu'elle participe à la discussion soit parce qu'elle est à coté.. alors, svp, déformez pas. Sciemment qui plus est, puisque vous déformez toujours pour aller ds le sens de vos convictions...

Votre dernier post est par conséquent hors jeu.. jamais Webrider ne dit que Mme Mattei et Mme Mathon doivent se trouver cote à cote.. à nouveau vous déformez les propos d'autrui pr les tourner en dérision.
Votre tactique, toujours la même en somme, comme une signature..


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 18:22 
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Je précise avant qu'on me reprenne que je n'ai aucune idée de la facon dont ces deux dames se sont rencontrées..
Simplement, je comprends ce que Webrider veut dire et que son hypothèse n'est pas délirante. Et qu'on ne peut pas la rejeter sous prétexte qu'elle est à l'encontre de sa propre théorie.

Une rencontre fortuite est tout à fait envisageable, même si on peut se dire "quel coup de bol".. en même temps, y a pas 36 prisons à Marseille.


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 18:32 
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Gilles Perrault écrit dans le POR que c'est matteï qui prend l'initiative de parler a mathon (lors d'une visite aux baumettes)
Elle lui dit qu'elle ne comprend pourquoi ranucci est encore en prison puisque c'est un autre type qui a fait le coup
d'ou le POR, la simca,le chien noir...

reste alors a expliquer comment elle peut connaitre mathon ...photos? mouais...
Tiens, une question.

Comment Mme Mattei a t elle pu rencontrer effectivement Mme Mathon ?

A priori, vous ne croyez pas à l'histoire de Gilles Perrault, enfin, l'histoire de Mme Mathon plutôt, qd elle dit qu'elle se sont croisées par hasard à la prison des Baumettes.
Malgré tout, elles se sont rencontrées.
Selon vous ce n'est pas fortuit, c'est donc à l'initiative de Mme Mathon, c'est bien celà ? Comment Mme Mathon aurait elle pu avoir connaissance de l'existence de Mme Mattei ? Qd bien même l'histoire de Mme Mattei à propos du POR serait pure fantaisie (si on admet la corruption), le fait est qu'elle a qd même déposé plainte pr qq chose, même si ce qq chose n'a rien à voir avec un quelconque POR ou satyre..
Donc la question est : comment Mme Mathon a t elle pu découvrir l'existence de Mme Mattei ?


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 18:43 
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le fait est qu'elle a qd même déposé plainte pr qq chose, même si ce qq chose n'a rien à voir avec un quelconque POR ou satyre..
Je demandes a voir la photocopie du dépot de plainte, et là je vous dirais ...oui c'est vrai


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 18:58 
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Pourquoi remettre en cause la rencontre telle qu'elle est décrite si vous n'avez pas pour hypothèse celle du complot orchestrée par Mme Mathon ?

Il faut bien d'une manière ou d'une autre qu'elles se rencontrent ces deux femmes. Donc, soit c'est fortuit, soit ce ne l'est pas et on a provoqué la rencontre.. y a pas trois solutions.

A moins de penser que Mme Mattei vienne proposer un marché à Mme Mathon "contre X milliers de francs, je vous fais un faux témoignage". Ce qui irait à l'encontre de la conclusion de Gérard Bouladou qui dit que Mme Mattei s'est laissé convaincre par Mme Mathon de l'innocence de CR.


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 19:06 
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Citation :
Ca cancanne dans la file : "Mme Mattei vous avez vu la bas c'est la mère de l'assassin de la petite Rambla..."
Je suis pas sur que ca "cancanne" tant que cà dans ces occasions
Quand vous allez voir quelqu'un qui est emprisonné ,serait'il innocent selon vous, vous ne cancannez pas a tout vent que vous allez rendre visite a votre fils qui est soupsonné d'avoir massacré une gamine de 8 ans
Vous vous faites tout petit dans la file, les parloirs des baumettes c'était quand méme pas la gare st-charles ou les halles
On voit que vous n'êtes jamais allé visiter quelqu'un en prison, je peux vous dire :

1/ qu'est-ce qu'on poireaute
2/ oui on a besoin de se parler, parce que ce n'est pas rigolo. Donc même à des inconnus, on échange et les gens vous parlent de leurs histoires et vous vous parlez des vôtres. Oui bien sûr les gens se parlent entre visiteurs.


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 19:42 
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Et puis ca voudrait dire que mathon et matteï étaient côte a côte pour qu'elles puissent se parler
Comme par hasard
encore un...décidémment !
L'attente devant l'entrée de la prison pour les parloirs, c'est tout de même pas la file à la Préfecture de Bobigny pour les cartes grises.


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 20:21 
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On voit que vous n'êtes jamais allé visiter quelqu'un en prison, je peux vous dire :

1/ qu'est-ce qu'on poireaute
2/ oui on a besoin de se parler, parce que ce n'est pas rigolo. Donc même à des inconnus, on échange et les gens vous parlent de leurs histoires et vous vous parlez des vôtres. Oui bien sûr les gens se parlent entre visiteurs.
Gihel...ce que je voulais exprimer c'est que on rend visite a son fils qui est soupconné d'un crime particuliérement abject on évite de le claironner sur les toits
Rien a voir avec quelqu'un qui rend visite a un voleur d'orange
c'est un simple avis, la prison ...connais pas


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 23:19 
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C'est une expérience...

Quand on arrive pour les parloirs, il faut attendre, et on attend dans de mauvaises conditions, on est dans l'espérance de celui que l'on va voir et qui est à l'intérieur. Quand les gens viennent régulièrement, ils finissent par se connaître et ils se parlent, le crime n'a plus beaucoup d'importance, vous allez voir quelqu'un qui souffre, qui est exigeant, parfois irascible, trop pressé, dans un certain état d'anxiété. Tout l'extérieur qu'il ne connaît plus pénètre d'un coup dans la taule. Et les visiteurs le sentent bien. Donc là on ne va pas trop se parler, mais les gens qui se connaissent échangent.

Et puis après le parloir, on vous fait attendre parce que pendant ce temps là on fouille les prisonniers, à l'époque, il y avait une vitre de séparation, les parloirs n'étaient pas libres, mais même, il y avait des contrôles, puis vous passez des portiques, et là, il faut voir les gamins : ils vieillissent de dix ans d'un coup, tout le poids de la taule pèse sur eux, comme dirait Hugo, ils sont comme des petits Gavroches, ils portent les stygmates de la civilisations et on se dit, ces gamins, soient ils auront plus tard un sacré sens des responsabilités, soient ils souffrent tellement qu'ils sont promis à la délinquance future.

Tout le monde laisse quelqu'un à l'intérieur, et laisse quelqu'un qui souffre. Donc les gens ont besoin de se parler. On va vous proposer de vous raccompagner, on va parler de l'affaire, et la nature du crime ne compte plus, ce n'est plus cela qui est important. Il n'y a pas de caïdat entre les gens qui vont voir quelqu'un, pas de hiérarchie. Non, une souffrance partagée, une espèce de rage contenue face à l'impuissance.


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Message non luPosté :25 avr. 2005, 23:20 
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Souvent, on voit des femmes pleurer après un parloir.


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Message non luPosté :29 avr. 2005, 11:06 
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Citation :
Jack, écrivant sur mon livre, déclare : « Finalement on n’apprend rien de nouveau »
Vous êtes un sacré cachottier Jacques tout de même :
- Vous saviez que Alain AUBERT était responsable d’une société de dépannage et qu’il ne pouvait donc pas avoir confondu un coupé Peugeot 304 avec une Simca 1100. Gilles Perrault dans son livre dit qu’il n’était pas expert en voiture et qu’à deux mètres de celle-ci il aurait pu se tromper. Et vous ne nous l’avez pas dit.
Dont acte, c'est évidemment le coupé 304 peugeot immatriculé 1369 SG 06 qu'ils ont vu, la simca ne pouvait pas se trouver à cet endroit.
Citation :
- Vous saviez que le bâtonnier CHIAPPE avait fait signe à CR de ne pas mimer les gestes du crime et que ce serait le seul moment de la reconstitution où il prétendra ne se souvenir de rien. Et vous ne nous l’avez pas dit.
Cela n'enlève rien au caractère extrêmement sommaire de la reconstitution dont Jean-François Le Forsonney indique qu'elle n'a rien résolue, notamment en ce qui concerne les incohérences du témoignage Aubert : la portière conducteur était-elle bloquée et avait-elle été bloquée par l'accident ?
Citation :
- Vous saviez qu’il y’avait trois témoignages de voisines de Mme MATTEI qui attestaient que celle-ci avait fait un faux témoignage et que Mme Mathon proposait de l’argent à ceux qui diraient la même chose qu’elle. Et vous ne nous l’avez pas dit.
Ces témoignages sont concomittants à une plainte que Mme Mattéi dépose sans doute sur les demandes de Mme Matton pour faire réouvrir l'enquête en 1977. Les policiers qui interrogent alors ont pour mission de la clore, donc ils vont tout faire pour annuler le témoignage de Mme Mattéi. Mais il n'en reste pas moins que Mme Mattéi a été convoquée le 6 juin 1974 pour reconnaître Ranucci et donc qu'il ne peut y avoir aucun doute sur la réalité de ce qu'elle raconte au sujet de l'homme qui a tenté d'enlever sa fille et la copine de sa fille.
Elle n'a aucun intérêt à faire un faux témoignage, à moins d'être complètement maso et aimer se faire tabasser lors des procès d'assises.

Citation :
- Vous saviez que, selon Monsieur MARTINEZ, le gendarme qui a pris sa plainte a refusé de parler de l’enfant parce qu’il n’y avait au début qu’un simple délit de fuite et que Mlle Di Marino a refusé de prendre cela en compte quand il le lui a dit : « Ecoutez il y’a suffisamment de preuves contre RANUCCI et on ne va pas entamer une polémique avec les gendarmes ». Et vous ne nous l’avez pas dit.

Il n'en reste pas moins que si M. Martinez avait tout de suite parlé d'un enfant, on aurait retrouvé l'enfant le 4 et pas le 5. Les déclarations de Martinez ou de Aubert sont visiblement floues puisqu'elles n'enclenchent qu'une vague recherche de 4 pandores qui se déplacent le soir du 4 et le matin du 5 sans rien trouver.

Citation :
- Vous saviez que Alain AUBERT avait vu un gendarme à Roquevaire, juste après l’accident et que celui-ci lui avait répondu qu’il n’était pas de permanence, que c’était Auriol et qu’il répercuterait le renseignement. Et vous ne nous l’avez pas dit.
Le problème, c'est que c'est lui qui l'annonce trente ans après et que vous n'avez pas le témoigna ge du gendarme qui atteste de la véracité de cet épisode. Tandis que dans le même temps, Aubert nie avoir été en contact avec la gendarmerie, ce qui signifierait que Gras ne dit pas la vérité en le consignant dans son rapport. Ce qui est tout de même étonnant puisque ce snt les gendarmes qui diligentent une battue l'après-midi du 5, en disant que cela fait suite au coup de fil de Aubert que ce dernier nie par ailleurs.

Citation :
- Vous saviez que sur le schéma dessiné par RANUCCI devant les policiers, il y’avait marqué « Rue qui monte » « herbe » « direction prise par le garçon » et que tout cela, avec les autres éléments (murette, bâtiment, arrondis des angles de rues, etc…) correspond à ce qui se trouve sur le terrain alors que Gilles Perrault dit qu’il s’agit d’un simple gribouillis sans signification. Et vous ne nous l’avez pas dit.
Le dessin ne contient rien qui ne soit pas connu des enquêteurs au moment où il est réalisé. De plus il y manque cette chose fondamentale : la direction qu'aurait prise la voiture en direction du rond-point. Il y manque aussi le platane alors que c'est la première chose dont on parle lors de la reconstitution.

Citation :
- Vous saviez qu’il était impossible de se faire aux mains les piqures qu’avait RANUCCI sur les siennes à l’entrée de la champignonnière mais qu’en recouvrant le corps d’une fillette de 1 mètres d’argeras, on se les faisait forcément. Et vous ne nous l’avez pas dit.
Ranucci dit qu'il s'est aventuré assez loin de l'entrée du tunnel lorsqu'il s'est réveillé et il dit qu'il s'est servi de multiples choses pour se dégager.
Citation :
- Vous saviez que la date en haut de la fiche de scellé était la date du PV de référence de découverte du corps comme cela est marqué juste en dessous et non pas celle de la découverte du couteau. Contrairement au conte de PERRAULT. Et vous ne nous l’avez pas dit.
La fiche fait référence à un PV n°610/GREASQUE alors qu'elle aurait dû faire référence à un PV n°610/5, le PV qui relate la découverte du couteau. Ce qui est en soi déjà étrange.

De plus il n'est pas apparu le PV qui récapitule les objets saisis le 5 par les gendarmes, qui ne devrait contenir que 7 objets.
Citation :
- Vous saviez que dans la cité Sainte Agnès, le jour de la reconstitution : « Sur indication de l’inculpé, le conducteur du fourgon a fait un demi tour pour suivre le boulevard parallèle à la cité Sainte Agnès que RANUCCI avait emprunté après l’enlèvement pour sortir de Marseille », ce qui n’a jamais été attaqué par les avocats et qui montre clairement que CR savait parfaitement où il était et par où il fallait aller. Et vous ne nous l’avez pas dit.
Encore une fois, la juge fait inscrire par sa greffière ce qu'elle veut. les enquêteurs savaient parfaitement par où il fallait passer pour rejoindre la RN8bis. En revanche Ranucci ne peut indiquer l'endroit où il se serait arrêté pour fumer une cigarette.
Citation :
Et j’en passe.
Effectivement.


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