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Presse régionale de l'époque (extraits)
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Auteur :  Danou [27 août 2006, 16:51 ]
Sujet du message : 

J'ai le vertige. Il y a tout ce qu'on veut dans ces relevés de presse. A boire, à manger, tout et le contraire de tout.

Ce qui m'a le plus estomaquée, c'est la déclaration de "Mme Martinez" (Claude Bonafos). Voilà maintenant que, sans bouger du carrefour où sa voiture était accidentée, elle a quand même trouvé le moyen de voir CR et la fillette s'enfuyant dans les fourrés à 700 m de là.

Je pense que le journaliste a dû faire une confusion et prête à "Mme Martinez" ce que déclare avoir vu Mme Aubert.

Si tous les autres témoignages sont aussi fiables ..

C'est le problème des articles de journaux, qui sont toujours écrits dans l'urgence, par des journalistes qui ont une obligation de livraison, de résultats et autant que possible de scoop. Ils écrivent comme ils peuvent à partir du peu qu'ils ont pu glaner, et à partir de rien s'ils n'ont rien.

Auteur :  joaquin [27 août 2006, 18:19 ]
Sujet du message : 

Ce que j'ai remarqué, c'est que les articles du méridional sont très sujets à caution, parce qu'ils ont dramatisé à l'extrême cet évènement (le méridional était un journal très engagé à droite à l'époque : il tenait parfois des propos que même J.M. Lepen n'oserait pas tenir aujourd'hui !)
Hormi l'exemple flagrant du témoignage de Madame Martinez, voici quelques autres petites gourdes.

Quand CR avoue, il dit : je suis un homme, un vrai, pas un impuissant... (je doute qu'il ait jamais tenu de tels propos)
puis : la petite MD m'a demandé d'aller chercher son chien noir (!!)

Et ceci concernant les pièces découvertes dans la voiture

"Au départ, Christian niait toute implication, mais "au fil des heures, les preuves s'accumulaient. Les services spécialisés de la police fouillaient la 304 grise. Ils découvraient d'abord une touffe de cheveux. Rapidement, l'analyse concluait qu'il s'agissait des cheveux de Marie-Dolorès. Dans la malle, les enquêteurs trouvaient un pantalon, un chandail, une chemise. Tous ces vêtements étaient souillés de boue et de sang. Là encore, le laboratoire confirmait les soupçons : c'était le sang de la petite Marie-Dolorès. Dans le fond de la malle se trouvaient encore un peignoir, un parapluie, et un martinet à longues lanières."

Les journalistes du méridional sont allés plus vite que la musique :-)

La marseillaise et le provençal sont un brin plus objectif, mais le mieux, comme le ferait tout bon journaliste ou enquêteur, c'est de recouper plusieurs sources.

Auteur :  bruno1 [27 août 2006, 18:51 ]
Sujet du message : 

Témoignage de Madame Martinez :
"C'était donc elle, l'enfant enlevée ? Ah, ça alors !" dit-elle aux journalistes. Elle poursuit :
"Près de Gréasque, tandis qu'on roulait, une andouille nous a doublés en roulant à vive allure. Il a grillé un stop en provoquant un accident, a fait un tête-à-queue, puis s'est immobilisé. Ensuite, j'ai vu un homme sortir de la voiture (une 304 peugeot) en tenant une enfant par les mains. Je n'ai pas bien vu cet enfant. Dans la voiture, il m'a semblé reconnaître un garçon. Et puis, le gars et l'enfant se sont dirigés vers une colline. Mon mari, qui était coincé sur son siège, n'a pu sortir de la voiture pour courir après eux."

je comprend mieux pourquoi elle a etait sencurrée par la polices, elle a dut mal apprendre sa leçon si l'article et réel

Auteur :  joaquin [27 août 2006, 21:49 ]
Sujet du message : 

L'article est réel, bien entendu, je l'ai sous les yeux. Maintenant, est-ce Madame Martinez qui a raconté des conneries ou le journaliste ? le mystère demeure...

Auteur :  Jayce [28 août 2006, 11:13 ]
Sujet du message : 

Il me semblait qu'elle a toujours affirmé avoir vu un Ranucci seul dans sa 304... Il est fort possible que ce soit une erreur de journaliste... Ils ont l'habitude de retrancrire des déclarations qui n'en sont pas vraiment, genre juste une phrase balancée en sortant de l'hôtel de police par exemple. La presse se voit parfois un peu plus belle qu'elle ne l'est réellement, c'est pas nouveau.

Auteur :  Marc D. [05 sept. 2006, 02:30 ]
Sujet du message : 

Je découvre les derniers extraits (je rattrape peu à peu mon retard de lecture, puisque je n'étais pas là du 23 au 30 août environ). Merci pour tout ça, Joaquin. Est-ce qu'il serait possible d'avoir les articles (dans leur intégralité) sous la forme de scans ?

Auteur :  joaquin [05 sept. 2006, 10:32 ]
Sujet du message : 

Citation :
Je découvre les derniers extraits (je rattrape peu à peu mon retard de lecture, puisque je n'étais pas là du 23 au 30 août environ). Merci pour tout ça, Joaquin. Est-ce qu'il serait possible d'avoir les articles (dans leur intégralité) sous la forme de scans ?
La marseillaise, tu peux avoir les 5 exemplaires (du 4/06/74 au 08/06/74) pour 7 euros environ. Simplement en leur passant un coup de fil.
Pour le provençal (ils font payer assez chers leurs archives), c'est plus compliqué, et pour moi, ça fait quand même pas mal de boulot de scanner tout ça... PLus je garantis pas la qualité finale, because c'est vraiment écrit tout petit (les articles que j'ai sont déjà probablement scannés).

Sinon, reste à leur acheter : pour l'affaire Ranucci (les faits), ça m'a couté la modique somme de 80 euros (pour le Provençal et le Méridional).

Auteur :  Djanet [07 sept. 2006, 10:59 ]
Sujet du message : 

On peut aussi trouver des articles de journaux sur le nouveau site d'archives de google :

http://news.google.com/archivesearch

Je n'ai pas encore épluché les articles mais ils sont peut-être plus intéressants que le nouveau livre de Gilles Perrault :wink:

Auteur :  joaquin [18 sept. 2006, 15:21 ]
Sujet du message : 

Voici une partie du "cahier" dont j'avais parlé : les deux premiers chapitres

1 - Une synthèse des faits, la plus succincte et la plus neutre possible
2 - Extraits de la presse régionale de l'époque (les faits) : je l'ai déjà mise par "morceaux" : ici elle est complète

http://joaquin.gonzalez.free.fr/ranucci ... resse.html

Pour la synthèse, vous êtes autorisé (et c'est même conseillé) à me donner votre avis : je voudrais que cette partie soit la plus neutre possible, et je ne voudrais pas que Bouladou me dise quelques années après : ton truc comporte 300 erreurs :cry:
Les culpabilistes sont particulièrement bienvenus (bien qu'agnostique, j'ai une petite tendance innocentiste, et certains extraits sont peut être orientés...)
Ainsi, on pourra dire qu'on aura fait oeuvre collective

Dans le 3eme chapitre, j'expose les différentes thèses (innocentistes, culpabilistes, complicistes) eu égard à la chronologie des faits. (j'ai pas encore terminé !)

PS : je n'ai aucunement l'intention de me faire éditer ! (ce sont des documents pour vous et pour moi, en espérant qu'ils soient quelque peu utile.

Auteur :  joaquin [18 sept. 2006, 15:24 ]
Sujet du message : 

Pour les remarques, essayez tout de même d'être le plus objectif possible. Si vous me dites par exemple : tu as tout de même mis le témoignage de Spinelli alors qu'il a peut-être rien vu, ça ne sera pas recevable. Le témoignage de Spinelli existe, et on ne peut le balancer aux orties d'un revers de main.
Dans le 3eme chapitre, je ferai part des doutes des uns et des autres sur les différents témoignages. Et là on pourra discuter !!

Auteur :  joaquin [18 sept. 2006, 15:28 ]
Sujet du message : 

Enfin, dans la partie synthèse, je ne traite que des faits concernant l'enlèvement et le meurtre de Marie-Dolorès : ne soyez donc pas surpris si vous ne trouvez pas les témoignages Mattéi, Martel, papallardo , etc etc

Auteur :  Henri [18 sept. 2006, 15:41 ]
Sujet du message : 

Merci Joaquin

Auteur :  claude [18 sept. 2006, 16:16 ]
Sujet du message : 

Merci pour ce sacré boulot Joaquin.

Auteur :  joaquin [05 oct. 2006, 10:30 ]
Sujet du message :  Extraits de presse (Dauphiné Libéré) : Romero/Janvier

QUELQUES EXTRAITS DU DAUPHINE LIBERE CONCERNANT L AFFAIRE JANVIER/ROMERO

LE 19 mars 1983

Jeudi, vers 19h45, trois enfants âgés respectivement de 8, 6 et 2 ans, demeurant rue du Docteur Roux à  Saint Martin d'heres étaient partis à  la demande de leur pêre, J B Janvier, chercher des cigarettes avenue de Valmy. L'achat fut effectué. L'ainé et le dernier des garçons rejoignirent leur domicile. Par contre, Ludovic, le cadet, âgé de 6 ans, se fit attendre.
.... Les enfants auraient été abordés par un homme porteur d'un casque de moto qui leur a proposé des bonbons s'ils l'aidaient à  retrouver son chien. Au retour, de ses deux frêres, Ludovic, qui était resté avec l'inconnu, avait disparu.

Le 26/03/1983

Signalement de l'individu :
taille : 1m60-1m65
corpulence : forte, tête ronde
vêtements : anorak sombre, casque bleu avec des bandes réfléchissantes rouges.

Le 11/03/1985

un squelette trouvé dans une galerie du Vercors et un autre enlêvement.

Enlêvement de Grégory Dubrulle perpétré dans la soirée du 9 juillet 1983 alors qu'il jouait devant le domicile de ses parents, rue Adrien Ricard à  Grenoble. Par miracle, Gregory, qui avait à  l'époque 8 ans, fut retrouvé en piteux état le lendemain, sur une décharge sauvage, dans la montée du col de la Placette. Il avait reçu notamment un violent coup sur la tête. Il avait affirmé aux enquêteurs que son ravisseur utilisait une Mercedês marron.

Le 25/05/1985

Inculpation d'Antoine-guy Romero, 35 ans, pour enlêvement de Ludovic Janvier le 17 mars 1983 à  Saint Martin d'hêres.
Maitre Michel Prud'homme, l'avocat d'Antoine Romero, s'est aussi refusé à  tout commentaire sur le fond de l'affaire. Mais, répondant en quelque sorte au communiqué du parquet, il nous a fait cette déclaration : "A mon avis, il y a dans le dossier autant d'éléments à  charge que d'éléments à  décharge..."
Le magistrat instructeur entre dans la phase la plus délicate de son enquête. Connaissant son sérieux, on peut imaginer que ce n'est pas sans raisons qu'elle a pris la décision d'inculper Romero alors que ce dernier - les parents Janvier nous ont révélé - n'a pourtant pas été reconnu par Jérôme, le grand frêre de Ludovic.

Le 26/05/1985

Emprisonnement d'Antoine Romero, 35 ans, un Grenoblois connu pour ses fréquentations homosexuelles.
Selon les parents de Ludovic, deux témoins accusent Romero.
Il est à  noter que le suspect n'était pas connu des services de police sinon pour avoir participé il y a bien longtemps, mais on ne peut l'ignorer, à  des agressions précisément dirigées contre des homosexuels.
il faudrait, à  cet égard, se garder de toute confusion entre Antoine et ses frêres. Deux d'entre eux ont eu maille à  partir avec la justice : trafic de drogue pour l'un ; alors que l'autre dit "bébé" est impliqué dans une importante affaire criminelle d'associations de malfaiteurs. Un troisiême, André, est três honorablement connu à  Grenoble où il a fondé l'association sportive de village Olympique.
On sait qu'Antoine Romero était aussi une figure des milieux sportifs pour avoir fait de la boxe à  Fontaine (d'où le surnom de "la boxeuse" que lui ont donné des noctambules d'un genre particulier, et pour s'être intéressé, comme éducateur ou entraineur, aux jeunes boxeurs et footballeurs de la Villeneuve.

21/06/85

Une autre image de Guy Romero.

Un comité de soutien pour Romero, de 150 personnes, dont M. Raymond Espagnac, ancien sénateur, ancien vice-président du conseil général et ancien adjoint au maire chargé des sports, qui fit une déclaration três mesurée : " Nous ne sommes pas avec ceux qui enlêvent les enfants : is doivent être punis. S'il n'y a pas de preuves contre Roméro, il doit être libéré. Ou alors, il faut nous prouver qu'il est responsable de cet enlêvement. Dans ce cas, notre comité n'aura qu'à  enregistrer et devra mettre un terme à  son existence. " Sur la personnalité de Roméro, qu'il a bien connu, M. Espagnac fut três élogieux.
L'instruction de l'affaire suit son cours dans le plus grand secret.

03/07/85

Grêve de la faim entreprise par le détenu (Roméro)
Ce comité, qui compte 150 personnes, milite en faveur de la mise en liberté pure et simple d'Antoine-Guy Roméro, dont il ne cesse de proclamer la totale innocence.

06/07/85

Romero remis en liberté

09/07/85

Des révélations importantes attendues.

Des précisions du parquet : l'intéressé est remis en liberté mais reste inculpé, les charges relevées à  son encontre demeurant en état les mêmes.

10/07/85

Révélations de Roméro :
Le toxicomane écroué à  la prison de Valence est à  l'origine de l'arrestation et de l'inculpation de Roméro. Le prisonnier a tenu à  témoigner deux ans et demi aprês les faits, en déclarant aux policiers qu'à  une date qui pouvait correspondre à  celle de l'enlêvement de Ludovic, il avait rencontré un personnage qu'il a reconnu comme étant Guy Roméro couvert de sang au volant de sa voiture, dont une couverture sur les siêges également ensanglantés. Ce témoignage était confirmé par un autre témoin retrouvé à  Paris, qui fut avec lui (Roméro) colleur d'affiches.
Roméro a encore lancé : "c'est une machination, un complot" (comprenons entre ces mots qu'il met en cause ses anciens amis colleurs d'affiches. Car aprês avoir soutenu un parti politique, il est ensuite devenu membre d'un autre, opposé bien sûr.

15/08/86

Antoine-Guy Romero inculpé d'attentat à  la pudeur sur une fillette de 5 ans
Les faits se dont déroulés le 9 août dernier, dans le quartier Teisseire à  Grenoble, où demeure la famille de Romero. Ce samedi dernier, Antoine-Guy Roméro a accosté Sabrina, une enfant de cinq ans en lui promettant des "sous". La petite fille a tout naturellement suivi Roméro dans une allée de l'immeuble et c'est une fois à  l'intérieur qu'il a fait quelques attouchements sur Sabrina avant de la laisser partir. L'enfant, horrifiée, est allée en pleurs conter sa mésaventure à  sa maman. Le lendemain des faits, Sabrina qui accompagnait sa mêre dans le quartier, a immédiatement reconnu Romero, comme étant son agresseur : "c'est lui" s'est-elle écriée en le voyant s'enfuir. Deux ménagêres du quartier Teisseire qui faisaient également leurs amplettes l'ont immédiatement identifié : Lui, c'est bien Roméro, ont-elles affirmé à  la maman de Sabrina.

La petite victime, invité à  reconnaitre Romero, n'a pas hésité une seule seconde en désignant parmi une belle parade de policiers en civil placés avec l'agresseur derriêre une glace sans tain.
Roméro nie les faits.

07/08/86
Gur Roméro emprisonné pour les fait du 9 aout.
Les deux frêres de Ludovic, âgés à  l'époque de 2 et 4 ans avaient plus ou moins reconnu en Roméro le ravisseur de l'enfant. Mais l'employé municipal grenoblois n'avait pas été inquiété longtemps.

07/10/86

Guy Roméro (emprisonné) poursuit sa grêve de la faim.

08/10/86

Guy Roméro libéré hier.
Antoine Guy Roméro, 36 ans, employé municipal à  Grenoble, a toujours clamé son innocence lors de ses démêlés avec la justice.
il devait sortir hier aprês midi, rstant cependant sous contrôle judiciaire. L'état de santé de guy Roméro a donc primé.

28/11/86

Affare Ludovic Janvier : non lieu pour Guy Roméro.
Antoine Guy Roméo vient de faire l'objet d'une ordonnance de non lieu au bénéfice du doute.
Guy Roméro étant toujours inculpé d'attentat à  la pudeur sur une fillette de 5 ans dans le cadre d'un autre dossier.

01/12/087 : procés de Guy Roméro (pour l'attentat à  la pudeur sur la fillette de 5 ans)

Avec le concours de personnalités politiques, qu'elles fussent de l'ancienne ou de l'actuelle majorité, Antoine Roméro croyait pouvoir se constituer le plus beau comité de soutien. Et comme cette immunité parlementaire allait cruellement lui faire défaut dês l'annonce de son incarcération le surlendemain des faits, d'autant qu'à  l'époque la justice n'ayant pas encore prononcé de non lieu dans l'affaire Ludovic Janvier, il s'est monté un alibi de derniêre minute en invoquant sa présence à  la piscine d'Eybens le samedi 9 aout.
Antoine Roméro pourtant s'en défend (de son inculpation) : " Pour l'affaire Ludovic Janvier, on m'a traité d'homosexuel. Mais moi, je connais tous les gosses. Je les aime.
Il a répondu par l'attaque : "Je suis un fugitif, un taureau qui attend la mort. La justice veut faire de moi un nouveau Ranucci."

Le tribunal a mis l'affaire en délibéré au 4 janvier.

05/01/88

jugement de relaxe de Roméro pour l'affaire d'attentat à  la pudeur.

22/04/88

Cour d'appel : Hier Roméro comparaissait devant la cour d'appel pour attentat à  la pudeur sur mineur de moins de 15 ans.
Il se défendit contre les accusations portées contre lui et tenta d'expliquer pourquoi certaines personnes, citées comme témoins, avaient du subir des pressions de sa famille.
La cour a mis l'affaire en délibéré et rendra son arrêt le 5 mai.

06/05/88

Un doute sérieux en sa faveur
La chambre correctionnelle de la cour d'appel a relaxé hier Antoine Roméro poursuivi pour attentat à  la pudeur sur une petite fille de cinq ans.

Auteur :  joaquin [05 oct. 2006, 10:34 ]
Sujet du message : 

Quelques commentaires personnels sur l'affaire

Evidemment, je ne peux montrer ici la photo de Guy Roméro... Je le décris donc briêvement : taille moyenne, apparemment assez costaud et sportif, tete ronde, brun (photo noir et blanc, je ne sais s'il a les cheveux noirs).

Ce qui m'étonne dans cette affaire, hormi le stratagême du chien perdu, c'est l'étrange allusion que Roméro fait sur l'affaire Ranucci.
Connaissait-il Ranucci ? Ce dernier a bien séjourné à  Grenoble durant son enfance et (ou) son adolescence, et dans la région grenobloise..J'ai demandé d'ailleurs dans un autre post si quelqu'un connaissait les dates de son séjour grenoblois.

En tout état, de cause, j'aimerais bien savoir ce que faisait Roméro en juin 1974...

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