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Message non luPosté :12 oct. 2006, 15:06 
Je vous confirme la sortie du livre de G.Bouladou aujourd'hui.
Personnellemnt je l'ai trouvé a la FNAC.
A suivre...


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Message non luPosté :12 oct. 2006, 15:08 
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Je vous confirme la sortie du livre de G.Bouladou aujourd'hui.
Personnellemnt je l'ai trouvé a la FNAC.
A suivre...
Féliciations Claude. :wink:
Personnellement, je l'ai commandé sur amazon.fr.
Je pense qu'ils ne vont pas tarder à  me l'expédier.


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Message non luPosté :12 oct. 2006, 17:58 
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justement Claude, vu comment est ecrit la deposition ou en tout cas ce que Jpasc a eu la gentillesse de retranscrire, c'est bien Mlle Dimarino qui dicte a son greffier la deposition...la seule phrase qui dit CR lors de cette confrontation est :"je ne suis d accord avec rien...."
donc elle change la deposition et le "fait" parler en son nom...

c'est invraissemblable de penser que CR decide de ne plsu parler, puis qqs instants plus tard acceptent la suite....non c'est uen certitude c'est bien Mlle dimarino quidicte au greffier....
Premiêrement, ce que j'avais cité était exactement le même texte, mais délesté des interventions de Perrault, qui ne sont là  que pour rendre la lecture plus vivante. Perrault n'était pas là  et ne sait pas qui a dit quoi.

Deuxiêmement, comment pouvez-vous attribuer le début seulement à  Ranucci, si vous tenez compte de la présentation par Perrault, puisque celui fait précéder la longue déclaration finale par les mots : "Christian Ranucci déclara alors" ?

Il n'y a aucune incohérence à  ne pas vouloir parler puis à  parler, car tout est expliqué : il ne veut pas parler sans ses avocats ; mais madame Di Marino refuse de les appeler et de les attendre (ce qui est son droit, même Perrault nous le confirme, car elle les a convoqués et ils ne sont pas venus), et précise à  Ranucci que c'est sa derniêre occasion pour s'exprimer avant le procês ; aprês réflexion, IL CONSENT DONC à€ PARLER. Rien d'anormal là -dedans, tout au contraire. Il donne sa version : il ne pense pas être coupable. Alors elle demande pour chaque point du dossier s'il est d'accord ou pas et il donne sa version, PUIS SIGNE. Cette déclaration est donc la sienne. Rien ni personne ne pouvait l'obliger à  parler, et rien ni personne ne pouvait l'obliger à  signer.
Marc, je reconnais mon erreur, j aurais du tout de suite verifier ds le pull over rouge...j ai ete mis en erreur par la ponctuation oublie lors du recopiage...en effet c'est bien dapres le bouquin, CR qui parle...

toute mes excuses


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Message non luPosté :12 oct. 2006, 18:11 
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Marc, je reconnais mon erreur, j aurais du tout de suite verifier ds le pull over rouge...j ai ete mis en erreur par la ponctuation oublie lors du recopiage...en effet c'est bien dapres le bouquin, CR qui parle...

toute mes excuses
Merci de l'admettre. Cependant, on peut tout à  fait défendre l'idée que ces paroles ont été imposées à  Ranucci, puisque que c'est Perrault, seulement, qui nous dit que c'est Ranucci qui parle, et il n'était pas là  pour le savoir. Ce qu'il faut surtout retenir, c'est que ces paroles sont mises dans la bouche de Ranucci sur le PV et qu'il a signé. C'est tout.

Mais je ne crois pas à  une manoeuvre de madame Di Marino, car Ranucci commence par contester, puis finalement cêde sur un tas de points qui sont en fait les éléments à  charge. Elle serait vraiment forte si elle avait réussi à  faire signer ça à  quelqu'un qui rejetait tous ces éléments dans un premier temps. Quand il dit qu'il n'est d'accord sur rien, il veut parler d'aprês moi de sa culpabilité, à  laquelle il ne croit plus, et de tous les éléments négatifs sur sa personnalité qui se trouvent dans les rapports qu'elle vient de lui lire.

En fait, ceux qui s'amusent à  étudier les variations des déclarations des Aubert devraient passer plus de temps à  étudier les variations de Ranucci sur chaque point du dossier. J'y vois, moi, la construction progressive d'un mensonge, jusqu'à  atteindre l'invraisemblable dont parle Fraticelli.


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Message non luPosté :13 oct. 2006, 01:46 
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Merci de l'admettre. Cependant, on peut tout à  fait défendre l'idée que ces paroles ont été imposées à  Ranucci, puisque que c'est Perrault, seulement, qui nous dit que c'est Ranucci qui parle, et il n'était pas là  pour le savoir. Ce qu'il faut surtout retenir, c'est que ces paroles sont mises dans la bouche de Ranucci sur le PV et qu'il a signé. C'est tout.
Sans avocat...


Citation :
Mais je ne crois pas à  une manoeuvre de madame Di Marino, car Ranucci commence par contester, puis finalement cêde sur un tas de points qui sont en fait les éléments à  charge. Elle serait vraiment forte si elle avait réussi à  faire signer ça à  quelqu'un qui rejetait tous ces éléments dans un premier temps. Quand il dit qu'il n'est d'accord sur rien, il veut parler d'aprês moi de sa culpabilité, à  laquelle il ne croit plus, et de tous les éléments négatifs sur sa personnalité qui se trouvent dans les rapports qu'elle vient de lui lire.
Et à  ce moment là  elle lui dit qu'il est obligé de répondre parce que de toute façon c'est la derniêre fois qu'il la voit. La manoeuvre est pourtant complêtement claire. Aussi claire que le nez au milieu de la figure.
Citation :
En fait, ceux qui s'amusent à  étudier les variations des déclarations des Aubert devraient passer plus de temps à  étudier les variations de Ranucci sur chaque point du dossier. J'y vois, moi, la construction progressive d'un mensonge, jusqu'à  atteindre l'invraisemblable dont parle Fraticelli.
Ce n'est pas du même ordre. La manoeuvre de la juge consiste à  lui présenter une à  une les piêces du dossier en lui rappelant qu'il les a signées et d'appuyer des éléments à  charge dont elle ne vérifie jamais elle-même s'ils sont pertinents.

Elle présente le plan : elle dit c'est vous qui l'avez signé et dessiné. Il ne peut pas répopndre non, même si on a guidé sa main.

Donc elle dit : vous vous êtes bien rendu à  cet endroit, donc vous êtes venu à  Marseille. Boom premiêre piêce du dossier qu'on fait tenir.

Mais c'est dégueulasse, il n'y a pas d'avocat. On se croirait en Tchécoslovaquie en 52.

Et puis elle recommence avec le couteau : elle lui montre les aveux, puis le pv de découverte en lui démontrant que lui suit l'autre (alors que la preuve est truquée, et elle le sait, il ne faut pas se faire d'illusion), et donc elle n'a aucun mal à  lui démontrer qu'il ne peut pas nier être le propriétaire, le serpent se mord la queue. Mais surtout elle ne lui pose aucune question sur la provenance de ce couteau et le fait qu'il le détienne à  ce moment là .

_________________
L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.


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Message non luPosté :13 oct. 2006, 02:23 
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Donc au début, il prétend tout contester, puis il reconnait quasiment tout (il n'exclut même pas l'hypothêse de sa culpabilité ; il n'y croit plus, c'est tout) ?

Ranucci était tout à  fait en mesure de contester tous ces éléments à  charge si jamais il en avait eu envie ; et il n'était même pas obligé de fournir la moindre explication. Il lui suffisait de dire : "non, ça n'est pas mon plan, ça n'est pas mon couteau", et qu'il s'expliquerait au procês.


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Message non luPosté :13 oct. 2006, 02:55 
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Il l'a sûrement dit, mais la juge ne l'a pas écrit. Elle écrit ce qu'elle veut et il n'y a pas d'avocat, c'est encore plus cool.

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Message non luPosté :13 oct. 2006, 03:02 
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Il l'a sûrement dit, mais la juge ne l'a pas écrit. Elle écrit ce qu'elle veut et il n'y a pas d'avocat, c'est encore plus cool.
Ce qui est vraiment cool, c'est que Ranucci, en 1974, signe absolument toutes les conneries qu'on lui donne à  signer.

Je ne suis jamais allé à  Marseille, j'ai dormi à  Salernes, le sang c'est de la terre, non finalement c'est sûrement le sang de la petite parce que je l'ai tuée, voici l'endroit où j'ai caché l'arme du crime, et un plan des lieux où j'ai enlevé l'enfant... des mois plus tard : je ne me souviens de rien et je ne pense pas être coupable, mais le plan et le couteau, c'est à  moi.

Tout, il signe absolument tout. Pourtant, les psychiatres l'ont considéré comme responsable de ses actes. C'est bizarre. Il a pourtant l'air de planer.


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Message non luPosté :13 oct. 2006, 03:13 
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Il a vingt ans le pauvre et pas d'avocat. Tout cela ne vaut pas.

Pour une autre affaire j'ai été interrogé pendant deux heures par les gendarmes, qui ont rédigé un PV.

Je n'étais pas dans la même position que Ranucci parce que moi je savais que l'accusation de diffamation portant sur une publication de plus de trois mois, l'affaire était prescrite et qu'on ne pouvait rien contre moi. Ils m'ont fait suer sur des histoires de convocation de conseil d'administration (pour démontrer que j'avais pris moi-même la décision de publication, sans passer par le CA).

Et quand ils ont rédigé le PV, il y avait une monstruosité dedans : comme quoi les conseils d'administration n'étaient pas dûment convoqués. Ce qui était parfaitement faux.

J'ai lu la chose, je l'ai vu. Et j'ai laissé tomber, tellement au bout de deux heures ils m'avaient fatigué. Donc si quelqu'un tombe sur ce PV, il se demandera comment j'ai pu signer une pareille ânerie que les conseils d'administration n'étaient pas dûment convoqués alors que je possêde les lettres qui démontrent le contraire.

Eh bien Ranucci, on lui dit de signer en lui disant que de toute façon, il n'y aura jamais d'enquête. Ben il ne peut rien faire. Il signe, et de toute façon il y a marqué : je ne suis d'accord sur rien, ce qui signifie en droit qu'il n'est pas d'accord avec ce qui suit et qui provient du dossier.

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Message non luPosté :13 oct. 2006, 21:01 
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J'ai lu la chose, je l'ai vu. Et j'ai laissé tomber, tellement au bout de deux heures ils m'avaient fatigué.
D'accord, mais là  il risquait sa tête, quand même. à€ moins d'être un benêt, il n'avait pas à  signer ça s'il n'était pas d'accord. Selon moi, tout ce qui est dans ce PV du 27 décembre 1974, il l'assume, puisqu'il le signe. Vous avez assumé une bêtise dans un PV mais elle ne portait pas autant à  conséquence que pour Ranucci de dire qu'il avait bien dessiné le plan et indiqué où se trouvait le couteau.
Citation :
Donc si quelqu'un tombe sur ce PV, il se demandera comment j'ai pu signer une pareille ânerie que les conseils d'administration n'étaient pas dûment convoqués alors que je possêde les lettres qui démontrent le contraire.
Oui, mais Ranucci n'a rien, absolument rien, pour contredire les affirmations qu'il a signées. Dans votre cas, vous ne risquiez rien à  admettre une ânerie.
Citation :
de toute façon il y a marqué : je ne suis d'accord sur rien, ce qui signifie en droit qu'il n'est pas d'accord avec ce qui suit et qui provient du dossier.
Absolument pas. Ce qu'il dit à  ce moment-là  concerne ce qui vient d'être dit (rapport des psychiatres, etc), et non ce qui suit. Ce qui suit est à  la premiêre personne, c'est lui qui s'exprime et il signe.


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Message non luPosté :14 oct. 2006, 01:40 
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Oui, mais Ranucci n'a rien, absolument rien, pour contredire les affirmations qu'il a signées. Dans votre cas, vous ne risquiez rien à  admettre une ânerie.
Je ne suis pas d'accord avec vous. Si jamais l'affaire n'avait pas été prescrite (la diffamation c'est trois mois et cela faisait plus de six mois que l'article avait été mis en ligne), cette phrase sur l'absence de convocation signifiait que j'étais seul responsable de la publication, et c'est moi qui me payait l'amende. En matiêre de diffamation les amendes et les dommages et intérêts peuvent se monter à  plusieurs izaines de milliers d'euros. Je vous dis cela comme ça. Donc cela avait une énorme importance et les gendarmes n'avaient pas écrit cela par hasard du tout. Je vous prie de croire qu'ils savaient ce qu'ils faisaient. La seule chose, c'est que je savais que c'était prescrit.
Citation :
de toute façon il y a marqué : je ne suis d'accord sur rien, ce qui signifie en droit qu'il n'est pas d'accord avec ce qui suit et qui provient du dossier.
Absolument pas. Ce qu'il dit à  ce moment-là  concerne ce qui vient d'être dit (rapport des psychiatres, etc), et non ce qui suit. Ce qui suit est à  la premiêre personne, c'est lui qui s'exprime et il signe.

Oui mais vous comprenez, ce n'est pas lui qui s'exprime, c'est un abus de langage, c'est la juge qui dicte. Et malgré ce qu'elle arrive à  dicter de scélérat à  la greffiêre, la phrase : "je ne suis d'accord sur rien" sous entend qu'il s'agit du dossier d'instruction dans son ensemble et s'applique bien évidemment à  l'ensemble de l'instruction. Ou alors je ne comprends pas le français.

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Message non luPosté :14 oct. 2006, 05:14 
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Oui mais vous comprenez, ce n'est pas lui qui s'exprime, c'est un abus de langage, c'est la juge qui dicte. Et malgré ce qu'elle arrive à  dicter de scélérat à  la greffiêre, la phrase : "je ne suis d'accord sur rien" sous entend qu'il s'agit du dossier d'instruction dans son ensemble et s'applique bien évidemment à  l'ensemble de l'instruction. Ou alors je ne comprends pas le français.
Je crois surtout que "je ne suis d'accord sur rien", c'est comme quand il dit qu'il n'est jamais allé à  Marseille pour dire qu'il ne s'y est pas rendu lors de son week-end : il exagêre. Comme quand il dit qu'il n'a jamais possédé un cran d'arrêt ni même souhaité posséder un tel objet. Il en rajoute toujours une couche quand il ment.


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Message non luPosté :14 oct. 2006, 14:15 
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Il n'y a rien dans la procédure qui permette d'affirmer que le couteau est à  lui. On ne sait pas d'où il vient ni quand il se le serait procuré. Partant de là , on a des PV bizarres et une mise en scêne. Non cette enquête ne sert pas l'accusation et partant de là , ce sont des affirmations sans preuve.

Est-ce un hasard si les avocats ne sont jamais là  quand on parle du couteau ?

_________________
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Message non luPosté :14 oct. 2006, 14:39 
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Citation :
Il n'y a rien dans la procédure qui permette d'affirmer que le couteau est à  lui. On ne sait pas d'où il vient ni quand il se le serait procuré. Partant de là , on a des PV bizarres et une mise en scêne. Non cette enquête ne sert pas l'accusation et partant de là , ce sont des affirmations sans preuve.

Est-ce un hasard si les avocats ne sont jamais là  quand on parle du couteau ?
salut gihel: pourquoi les avocats de Ranucci ne lui ont jamais demandé la provenance de ce couteau, s'il était à  lui ?


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Message non luPosté :14 oct. 2006, 14:51 
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Parce que c'était à  la juge de le faire. Mais effectivement, ils n'ont pas cherché à  aller plus loin dans la compréhension des choses. Parce qu'en France on dit que c'est le juge.

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