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livres de G. BOULADOU et JF Le Forsonney
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Auteur :  Gihel [07 oct. 2006, 20:37 ]
Sujet du message : 

Citation :
Non, car cette nuit à  Salernes apparait dans un texte où Ranucci ne cêde sur rien d'autre, pas même sur les traces de sang qui en sont pourtant bien. Désolé, je ne crois pas qu'on pourrait lui imposer la nuit à  Salernes s'il prétend avoir picolé à  Marseille... de toute façon, il prétend ne jamais (il parle même dans l'absolu) s'être rendu à  Marseille, donc je ne crois, non, non, qu'il ait prétendu avoir picolé à  Marseille à  ce moment-là .
Lui dit qu'il a vainement essayé de le dire et que les policiers n'ont pas voulu le noter. Et comme il n'y a pas d'avocat en garde-à -vue, vous ne pouvez plus trancher. C'est la parole des policiers contre celle de Ranucci, et même pas puisque Alessandra dit à  Perrault que selon lui, Ranucci a passé la nuit à  Marseille.

La seule chose c'est qu'on sait qu'il était à  Marseille à  vingt heures ou aux environ, donc cela signifie qu'il serait passé à  Salernes, puis Marseille puis qu'il serait revenu à  Salernes ? Pour revenir une deuxiême fois à  Marseille. De toute façon cela ne colle pas aux aveux.

Auteur :  Marc D. [07 oct. 2006, 20:43 ]
Sujet du message : 

Citation :
Par contre Marc, vous évoquez les idres de ranucci au procês (l'acide..) pour le décridibiliser et généraliser ses mensonges
Il n'a pas besoin de moi pour ça ; il se décrédibilise três bien tout seul.

Mais c'est vrai, il peut três bien mentir au procês parce qu'il est acculé, qu'il soit coupable ou innocent. Mais justement, je disais qu'à  part au procês, il a toujours reconnu que le couteau était le sien et avait été trouvé sur ses indications, et qu'il était l'auteur du plan. Le fait qu'il ait nié cela au procês n'apporte rien. Quant au pantalon, il a toujours reconnu que c'était le sien, même au procês, et a proposé plusieurs explications concernant les taches de sang (taches de terre, blessures au genou) qui ne correspondent pas à  la réalité.

Auteur :  Marc D. [07 oct. 2006, 20:46 ]
Sujet du message : 

Citation :
"Je suis arrivé à  Marseille et j'ai pensé retrouver un camarade de l'armée qui se nomme Benvenutti et qui demeure avenue Alphonse-Daudet, n°51. Sans trop connaître Marseille, j'ai donc garé mon véhicule et je pensais aller me promener à  pied"

quand ranucci déssine le plan,il crois que par l'ogique l enlévement a eu lieu rue alphonse daudet car c'est la ou il dit avoir garré sa voiture pour allers voir un copain d'ailleurs sur sont plan il n'y a pas de non de rue car pour lui c'est la qu'il ai aller jamais il ne parle de la rue albe pourtant si il y ai restait un certain temps il aurais du sans souvenir.
Bruno, à  aucun moment il ne dit qu'il pense s'être garé rue Alphonse Daudet. C'est juste un prétexte pour expliquer sa présence dans une cité qu'il ne connait pas. Et dans le même texte, il dit qu'il a enlevé Marie-Dolorês, il ne faut pas l'oublier. ;)

Auteur :  Marc D. [07 oct. 2006, 20:51 ]
Sujet du message : 

Citation :
Sais-tu où habitait Benvenutti ?
51, rue Alphonse Daudet, d'aprês moi. ;) (C'est une rue, et non une avenue.)

Auteur :  Marc D. [07 oct. 2006, 20:54 ]
Sujet du message : 

Citation :
Coller ? Oui, mais plutôt en défaveur de CR, me semble-t-il. S'il n'est pas coupable, il faudrait alors admettre qu'il s'est trouvé par le plus malencontreux des hasards à  600 m de l'enlêvement de Marie-Dolorês RAMBLA et a arrêté sa voiture à  l'aplomb ou à  quelques mêtres du lieu où elle a été assassinée. Ca fait beaucoup de coïncidences tout de même.
Oui, mais il pouvait toujours nier ça aprês, puisque c'est dans les aveux. On pourrait dire que ce sont les policiers qui ont trouvé cette adresse dans son carnet et lui ont imposé cette visite à  son "pote" Benvenutti, parce que c'était dans le quartier.

Auteur :  joaquin [07 oct. 2006, 20:56 ]
Sujet du message : 

Marc D a dit :
Citation :
Mais justement, je disais qu'à  part au procês, il a toujours reconnu que le couteau était le sien et avait été trouvé sur ses indications, et qu'il était l'auteur du plan.
Pour le couteau ok, mais le plan ??

Auteur :  bruno1 [07 oct. 2006, 21:43 ]
Sujet du message : 

Citation :
Oui, mais il pouvait toujours nier ça aprês, puisque c'est dans les aveux. On pourrait dire que ce sont les policiers qui ont trouvé cette adresse dans son carnet et lui ont imposé cette visite à  son "pote" Benvenutti, parce que c'était dans le quartier.
il na aucune raison de revenir sur le plan, lui et branché sur alphonse daudet
il fait son plan naïvement la polices se cachent bien de lui dire que l'enlêvement a eu lieux rue albe a la cité ste agnés et comme son plan ne correspond pas tros,aprês la signature, quelques transformation et tour et joué le plan et bien fait par ranucci mais au départ il ne dessine pas le bonne endroit que la police voulaient

Auteur :  Aurelien [08 oct. 2006, 01:38 ]
Sujet du message : 

Citation :
Citation :
Par contre Marc, vous évoquez les idres de ranucci au procês (l'acide..) pour le décridibiliser et généraliser ses mensonges
Il n'a pas besoin de moi pour ça ; il se décrédibilise três bien tout seul.

Mais c'est vrai, il peut três bien mentir au procês parce qu'il est acculé, qu'il soit coupable ou innocent. Mais justement, je disais qu'à  part au procês, il a toujours reconnu que le couteau était le sien et avait été trouvé sur ses indications, et qu'il était l'auteur du plan. Le fait qu'il ait nié cela au procês n'apporte rien. Quant au pantalon, il a toujours reconnu que c'était le sien, même au procês, et a proposé plusieurs explications concernant les taches de sang (taches de terre, blessures au genou) qui ne correspondent pas à  la réalité.
je ne dis pas qu'il en a besoin..c'est un autre débat, je parlais de ce que vous disiez ;
mais je suis d'accord avec vous : ce qu'il nie au procês ne prouve ni n'apporte rien ; mais dans les deux sens ;
le couteau, je pense qu'il lui appartient, ça n'en fait pas le meurtrier pour autant ;
pareil pour le pantalon ; c'est bien le sien ; aprês qu'il l'ai porté le 3 juin, c'est une toute autre affaire ;

Auteur :  Marc D. [08 oct. 2006, 03:20 ]
Sujet du message : 

Citation :
Pour le couteau ok, mais le plan ??
Le plan, il nie en être l'auteur une seule fois : au procês. Dans son Récapitulatif, il n'en parle pas.

Auteur :  Marc D. [08 oct. 2006, 03:24 ]
Sujet du message : 

Citation :
il na aucune raison de revenir sur le plan, lui et branché sur alphonse daudet
il fait son plan naïvement la polices se cachent bien de lui dire que l'enlêvement a eu lieux rue albe a la cité ste agnés et comme son plan ne correspond pas tros,aprês la signature, quelques transformation et tour et joué le plan et bien fait par ranucci mais au départ il ne dessine pas le bonne endroit que la police voulaient
Ce n'est pas ce qu'il dit dans la Récapitulatif, Bruno. Selon lui, Alessandra lui a donné tous les détails dês le départ, quand il niait encore.

"Ensuite, j'entendis pour la premiêre fois ce qui suit, entrecoupé par mes protestations étonnées et véhémentes, et par quelques gifles ou autres violences.
- Dans la rue d'Albe, quartier Sainte-Agnês, à  Marseille, le lundi 3 juin vers 11 heures moins le quart, deux enfants jouaient, le frêre jean, 6 ans, et sa soeur Maria, 8 ans.
« Une voiture s'arrête à  proximité, une Peugeot 304, dit-il, le chauffeur descend (moi en l'occurrence), aborde les enfants, leur demande de l'aider à  rechercher un petit chien noir égaré, et, sous ce prétexte, éloigne le frêre et emmêne la soeur dans sa voiture."

Auteur :  Marc D. [08 oct. 2006, 03:35 ]
Sujet du message : 

Citation :
pareil pour le pantalon ; c'est bien le sien ; aprês qu'il l'ai porté le 3 juin, c'est une toute autre affaire ;
C'est pourtant ce qu'il dit, lui, et il ne varie jamais là  dessus. Il sait mieux que sa mêre ce qu'il portait au moment de l'accident, quand même : elle n'était pas là , elle.

Auteur :  joaquin [08 oct. 2006, 09:02 ]
Sujet du message : 

Citation :
Citation :
Pour le couteau ok, mais le plan ??
Le plan, il nie en être l'auteur une seule fois : au procês. Dans son Récapitulatif, il n'en parle pas.
Ah il n'en parle pas, c'est tout a fait différent du couteau ou il exprime expressément qu'il est à  lui et que c'est sur ses indications qu'on l'a trouvé : ne mélangeons pas tout.

Auteur :  bruno1 [08 oct. 2006, 09:48 ]
Sujet du message : 

Citation :
Ce n'est pas ce qu'il dit dans la Récapitulatif, Bruno. Selon lui, Alessandra lui a donné tous les détails dês le départ, quand il niait en"Ensuite, j'entendis pour la premiêre fois ce qui suit, entrecoupé par mes protestations étonnées et véhémentes, et par quelques gifles ou autres violences.
- Dans la rue d'Albe, quartier Sainte-Agnês, à  Marseille, le lundi 3 juin vers 11 heures moins le quart, deux enfants jouaient, le frêre jean, 6 ans, et sa soeur Maria, 8 ans.
« Une voiture s'arrête à  proximité, une Peugeot 304, dit-il, le chauffeur descend (moi en l'occurrence), aborde les enfants, leur demande de l'aider à  rechercher un petit chien noir égaré, et, sous ce prétexte, éloigne le frêre et emmêne la soeur dans sa voiture."

Oui mais es que alessandra lui précise bien que la rue albe se situe a 5/600M DE LA RUE ALPHONSE DAUDET?
rien dans se qui et cité si dans le récapitulatif amêne a pansé que la rue albe et la rue alphonse daudet ne sont pas dans le même cartier

Auteur :  Marc D. [08 oct. 2006, 19:16 ]
Sujet du message : 

Citation :
Citation :
Citation :
Pour le couteau ok, mais le plan ??
Le plan, il nie en être l'auteur une seule fois : au procês. Dans son Récapitulatif, il n'en parle pas.
Ah il n'en parle pas, c'est tout a fait différent du couteau ou il exprime expressément qu'il est à  lui et que c'est sur ses indications qu'on l'a trouvé : ne mélangeons pas tout.
Je ne sais pas qui mélange quoi. Le couteau, il nie en être le propriétaire à  la fois au procês et dans son Récapitulatif, tandis que le plan, il nie en être l'auteur au procês mais ne l'évoque pas dans son Récapitulatif. Je ne faisais que répondre à  votre question. Je peux résumer, si vous voulez :

COUTEAU
Aveux police : indique son emplacement, c'est à  lui, il a tué la petite avec.
Aveux juge : idem.
27 décembre : a indiqué son emplacement, c'est à  lui, ne sait pas ce qu'il a fait avec.
Peu avant le procês : c'est le sien, mais se dit prêt à  mentir si son avocat le lui demande (l'avocat lui répond qu'il n'a pas le droit de lui suggérer quoi que ce soit de cet ordre)
Au procês : ce n'est pas son couteau, jamais eu un tel couteau.
Récapitulatif : idem.

PLAN
Aveux police : dit qu'il trace le plan, c'est là  qu'il a enlevé l'enfant.
Aveux juge : reconnait avoir tracé le plan, c'est là  qu'il a enlevé l'enfant.
27 décembre : reconnait avoir tracé le plan et s'être rendu à  cet endroit lors de son week-end ; ne se "souvient pas avoir enlevé quiconque".
Au procês : on lui a dicté le plan.
Récapitulatif : n'en parle pas.

Auteur :  joaquin [08 oct. 2006, 22:48 ]
Sujet du message : 

Où pourrais-je lire la déclaration complête qu'il a fait au juge le 27 décembre, parce qu'effectivement s'il reconnait à  ce moment là  avoir dessiné le plan de lui-même et sans aucune aide, ça change pas mal de choses...En gros, il reconnait être l'auteur de l'enlêvement.... et évidemment ça ferait exploser ma théorie....
:oops:

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