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Message non luPosté :15 janv. 2006, 08:22 
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Pour en revenir à la fameuse phrase de M.Bouladou(*) à la page quatre-vingt huit, elle soustend des remarques sur la façon dont l'enquête préliminaire a été menée.

- la culpabilité de Ranucci est le résultat non pas d'une recherche d'indices ou de preuves, mais d'une décision des policiers, placés à ce moment là sous haute tension, 72 heures apres les faits.

- M.Spinelli est convoqué pour reconnaître non pas le suspect Ranucci, mais "l'auteur de l'enlèvement" qui lui est présenté en tapissage. Ainsi rédigée, la phrase indique que, ne le reconnaissant pas, M.Spinelli se trompe évidemment. Pour atténuer son témoignage, on lui fera dire qu'il n'a pas fait attention, qu'il était trop loin, qu'il était ébloui par le soleil qu'il avait dans le dos... Cependant, il refusera de reconnaitre, en tant que carrossier, qu'il ait pu confondre 2 voitures, même de 3/4 arriere, et même si pour le commun des mortels elles se ressemblent...
M.Spinelli ne sera jamais entendu par la juge d'instruction...

- je relève que l'auteur de l'enlèvement fut présenté à M.Spinelli "au milieu d'autres inspecteurs"... Ahhhhh?



(*) "Lorsque Christian Ranucci fut interpellé et qu'il fut établi qu'il avait enlevé la fillette avec son coupé peugeot 304 gris métallisé, M.Spinelli revint au commissariat central de Marseille. Il ne reconnut pas l'auteur de l'enlèvement qui lui fut présenté au milieu d'autres inspecteurs..."


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 06:43 
Citation :
Pour en revenir à la fameuse phrase de M.Bouladou(*) à la page quatre-vingt huit, elle soustend des remarques sur la façon dont l'enquête préliminaire a été menée.
Cette phrase de la page 88 ne « sous-tend » rien du tout.
Elle relate ce qui était évident pour tout le monde le 06 juin: la découverte du corps de l’enfant grâce au témoignage d’Alain et Aline Aubert d’une part et l’identification de Ranucci par les mêmes Alain et Aline Aubert et par Vincent Martinez, Claude Bonafos, Mohamed Rahou et Henri Guazzone, d’autre part, ont permis d’interpeller Ranucci au moment même où on découvrait ledit corps. Les objets suspects retrouvés dans la voiture de Ranucci, le pantalon taché de sang, ses blessures aux mains, son absence d’alibi, ses grotesques allégations d’amnésie lors de son interrogatoire, … tout ceci a permis aux enquêteurs d’estimer raisonnablement avoir mis la main sur le meurtrier de Marie-Dolorès Rambla. Les aveux et la découverte du couteau qui ont suivi dans la foulée n’ont pu que conforter l’intuition circonstanciée par les faits.
A l’époque, personne (jusqu'à ses avocats et à Ranucci lui-même) n’avait plus de raisons de douter de la responsabilité de Ranucci dans ce drame que nous aurions des raisons de douter aujourd’hui de la responsabilité de Nathuram Vinayak Godse dans l’assassinat de Mohandas Karamchand Gandhi ou de celles de Mehmet Ali Ağca, de Maxime Brunerie et de John Warnock Hinckley Jr. dans les tentatives d’assassinat de Karol Józef « Ioannes Paulus II » Wojtyła, de Jacques René Chirac et Ronald Wilson Reagan.
Ce n’est que bien plus tard que Ranucci s’est rétracté et ce n’est que des années après sa mort que des doutes sur sa culpabilité ont été portés à la connaissance du grand public par Jean-Denis Bredin, Gilles Perrault et Michel Drach.


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 07:22 
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Dans le livre de Perrault, page machin, Mr Perrault accuse ouvertement les gendarmes d'avoir trouvé et reenterré le couteau.

Je pense qu'il aurait pu le présumer mais en aucun cas l'affirmer.

G.Bouladou a beau dire que c'est une bêtise, mais c'est bien le 5 que le couteau a été saisi selon le dossier...


Ah, non, Webrider!

Ce que dit Gérard au sujet des scéllés est tout à fait exact.

Je l'ai vérifié moi-même.

Que celà ne vous plaise pas où vous pose problème, est une chose mais vous ne pouvez pas affirmer celà.


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 08:53 
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C'est bien d'avoir enquêté sur ce point. J'aurais aimé savoir si vous avez poussé le vice jusqu'à savoir ce qu'écrivait les gendarmes quand on venait leur parler d'un accident et d'un délit de fuite avec un enfant à bord.
S'il était commun d'écrire "un paquet assez volumuineux" et ce même les jours fériés

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Message non luPosté :16 janv. 2006, 09:07 
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Citation :
Elle relate ce qui était évident pour tout le monde le 06 juin: la découverte du corps de l’enfant grâce au témoignage d’Alain et Aline Aubert d’une part et l’identification de Ranucci par les mêmes Alain et Aline Aubert et par Vincent Martinez, Claude Bonafos, Mohamed Rahou et Henri Guazzone, d’autre part, ont permis d’interpeller Ranucci au moment même où on découvrait ledit corps. Les objets suspects retrouvés dans la voiture de Ranucci, le pantalon taché de sang, ses blessures aux mains, son absence d’alibi, ses grotesques allégations d’amnésie lors de son interrogatoire, … tout ceci a permis aux enquêteurs d’estimer raisonnablement avoir mis la main sur le meurtrier de Marie-Dolorès Rambla. Les aveux et la découverte du couteau qui ont suivi dans la foulée n’ont pu que conforter l’intuition circonstanciée par les faits.
C'est sûr que vu comme ça il ne reste pas la place au doute.
Mais si on se penche un peu plus sur les documents de l'affaire on se rend compte que Ranucci a été présenté seul aux Aubert, que la poursuite telle que la décrivent les Aubert ne permet pas de retrouver le corps de l'enfant ( Le corps est retrouvé 300 mètres avant la zone dont parlent les Aubert ) ; En outre, l'amnésie de Ranucci est démontrée par des éléments tels que l'épisode Moussy, la visite à son père et à son autre copain de régiment habitant à Aix.
Autres éléments laissant place au doute: Le pantalon taché de sang qui ne correspond pas à celui décrit par le témoin de l'enlèvement, les blessures à la main qui peuvent être faites par les buissons se trouvant à l'entrée de la champignonière, les objets suspects qui n'en sont pas.
Autre exemple: les aveux ne font pas l'objet d'une vérification matérielle et la découverte du couteau qui se fait sur la chance et non sur une description précise qu'aurait fait Ranucci.

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Message non luPosté :16 janv. 2006, 09:46 
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Réponse à Antorama :
Citation :
Citation :
Pour en revenir à la fameuse phrase de M.Bouladou(*) à la page quatre-vingt huit, elle soustend des remarques sur la façon dont l'enquête préliminaire a été menée.
Cette phrase de la page 88 ne « sous-tend » rien du tout.
(*) la phrase était "Lorsque Christian Ranucci fut interpellé et qu'il fut établi qu'il vait enlevé la fillette avec son coupé Peugeot 34 gris métallisé, Eugène Spinelli revint au commissariat central de Marseille. Il ne reconnut pas l'auteur de l'enlèvement qui (sic) lui fut présenté au milieu d'autres (re-sic) inspecteurs."

En fait, vous avez raison, cette phrase ne sous tend rien, elle est parfaitement explicite et dénonce un état de fait... N'ayons pas peur des mots.
Citation :
Elle relate ce qui était évident pour tout le monde le 06 juin: la découverte du corps de l’enfant grâce au témoignage d’Alain et Aline Aubert d’une part et l’identification de Ranucci par les mêmes Alain et Aline Aubert et par Vincent Martinez, Claude Bonafos, Mohamed Rahou et Henri Guazzone, d’autre part, ont permis d’interpeller Ranucci au moment même où on découvrait ledit corps.
L'évidence en matière judiciaire est terriblement dangereuse... Quant aux témoins que vous citez, ils sont intervenus à des moments différents. Il est exact qu'ils ont permis d'identifier le chauffard qui a provoqué l'accident à la Pomme. Mais seul celui des Aubert est en rapport direct avec le crime.

Cependant cette phrase évoquant le rapt, vous avez oublié de citer les 2 témoins directs de la scène : Jean Rambla et Eugène Spinelli qui n'ont reconnu ni Ranucci, ni sa voiture. Vous l'aviez fait exprès ?

Citation :
Les objets suspects retrouvés dans la voiture de Ranucci, le pantalon taché de sang, ses blessures aux mains, son absence d’alibi, ses grotesques allégations d’amnésie lors de son interrogatoire, … tout ceci a permis aux enquêteurs d’estimer raisonnablement avoir mis la main sur le meurtrier de Marie-Dolorès Rambla. Les aveux et la découverte du couteau qui ont suivi dans la foulée n’ont pu que conforter l’intuition circonstanciée par les faits.
Tout objet devient suspect en certaines circonstances... Le sécateur sur la table, un fil éléctrique dénudé, une seringue usagée, un couteau rouillé, si on les retrouve en possession de quelqu'un qui a été proche d'un homicide. Pour en faire des preuves, il faut travailler un peu...

Que les policiers "estiment raisonnablement" avoir entre les mains le criminel ne les autorise nullement à établir sa culpabilité ainsi que le formule G.Bouladou. Mais la responsabilité du juge est entièrement engagée dans le fait qu'elle ne leur demandera aucunement de mettre en évidence les preuves :
- heure du déces
- datation des tâches de sang desséchées sur le pantalon
- analyse de la terre sur le même pantalon
- recherche sur la provenance du couteau
- ....

Citation :
A l’époque, personne (jusqu'à ses avocats et à Ranucci lui-même) n’avait plus de raisons de douter de la responsabilité de Ranucci dans ce drame que nous aurions des raisons de douter aujourd’hui de la responsabilité de Nathuram Vinayak Godse dans l’assassinat de Mohandas Karamchand Gandhi ou de celles de Mehmet Ali Ağca, de Maxime Brunerie et de John Warnock Hinckley Jr. dans les tentatives d’assassinat de Karol Józef « Ioannes Paulus II » Wojtyła, de Jacques René Chirac et Ronald Wilson Reagan.
Dès sa première entrevue avec Ranucci et la fameuse phrase par laquelle celui ci répond à la question de l'avocat sur sa culpabilité " C'est obligatoirement moi", Jean Francois le Forsonney est interrogatif. Mais il est vrai que la Défense a été peu attentive, pour ne pas dire autre chose.

Quant aux affaires que vous prenez en comparaison, ce sont des évènements qui se sont déroulés devant des dizaines de témoins (au milieu de foules importantes), je ne vois pas bien le rapport. Parlez nous des preuves et des aveux dans d'autres affaires : Dils, Outreau.... dans lesquelles les "témoins" ont été crus sur parole et les aveux considérés comme vérité.

Pour le "o" accentué du prénom civil de feu Jean-paul 2, vous faites comment?



Citation :
Ce n’est que bien plus tard que Ranucci s’est rétracté et ce n’est que des années après sa mort que des doutes sur sa culpabilité ont été portés à la connaissance du grand public par Jean-Denis Bredin, Gilles Perrault et Michel Drach.
Bien plus tard, bien plus tard.... avant l'exécution de la sentence en tout cas en ce qui concerne Ranucci, en fait très vite comme on le constate dans ses courriers à sa mère...

Vous n'allez tout fe même pas reprocher à Gilles Perrault d'avoir fait preuve de négligence ?

Le juge Michel avait douté plus rapidement, dit-on, non pas de la culpabilité, mais de la valeur de la procédure d'instruction...


Ceci dit une fraze, tout de même, poure louez votre parrefète konissansse de l'ortograph de "sous-tend" ai de lidenttitai de tout sé jan inpaurtan et malheureuses victimes dans leur chair (sauf Jacques R. Chirac) de l'acte fou détraqués .

Pour les connaitre si bien, vous travaillez pour la Presse "people" peut être ?


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 10:05 
Citation :
C'est sûr que vu comme ça il ne reste pas la place au doute.
Mais si on se penche un peu plus sur les documents de l'affaire on se rend compte que …
Tout le monde est naturellement conscient que certains aspects de cette affaire restent obscurs. Si tel n’était pas le cas, nous ne serions pas en train de commenter cette affaire depuis 26023 messages ! Ce que je veux dire, c’est que, le 06 juin, tout le monde était persuadé – à tort ou à raison - d’avoir mis la main sur le coupable en s’emparant de Ranucci, ce que ne semble pas avoir compris le camarade Webrider.
Citation :
En outre, l'amnésie de Ranucci est démontrée par des éléments tels que l'épisode Moussy, la visite à son père et à son autre copain de régiment habitant à Aix.
Brillante « démonstration » en effet que celle qui consiste à affirmer sans preuve des thèses invérifiables qui sont au demeurant susceptibles de vous sauver la vie !


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 10:10 
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Ah, non, Webrider!
Ce que dit Gérard au sujet des scéllés est tout à fait exact.
Je l'ai vérifié moi-même.

Que celà ne vous plaise pas où vous pose problème, est une chose mais vous ne pouvez pas affirmer celà.
Bonjour Laurence.

Ce n'est pas a MOI MOI MOI auquel vous revenez sans arrêt que ca pose problème ou que ca déplait, c'est une question relevant de la procédure.

Page 139, GBouladou concède : "alors certes on pourra reprocher à linspecteur divisionnaire Porte d'avoir commis une petite (sic) erreur de procédure en ne marquant pas sur son PV la date exacte de remise des scellés par la gendarmerie, il n'en reste pas moins vrai que le seul PV de saisie ayant une valeur juridique (sic) est celui rédigé le 6 juin par l'adjudant Monnin qui indique à la fin de celui ci : après plusieurs (sic) recherches, nosu découvrons le couteau, enfoui dasn du fumier sous 20 cm d'épaisseur....""

Page 140 : "Le PV établi par l'Inspecteur Porte n'a aucune valeur pour indiquer le date et l'heure de saisie de ce couteau..." "ce type de PV n'était pas du tout prévu par le Code de procédure pénale et aurait pu ne pas être rédigé (ca c'est sur...), mais il constituait pour les policiers un moyen pratique (sic) de retrouver l'ensemble des scellés au moment où il fallait les déposer au greffe du tribunal."

Un peu acrobatique non, dans une affaire d'homicide ?

J'affirme donc qu'un PV inexact, non officiel et donc illégal sauf qu'il est authentifié par son rédacteur OPJ, figurait dans un dossier d'assises...


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 10:12 
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Mais, Laurence, ce n'est pas à moi que ca a fait du mal. C'est à la vérité.


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 10:18 
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A antoroma :
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Tout le monde est naturellement conscient que certains aspects de cette affaire restent obscurs. Si tel n’était pas le cas, nous ne serions pas en train de commenter cette affaire depuis 26023 messages ! Ce que je veux dire, c’est que, le 06 juin, tout le monde était persuadé – à tort ou à raison - d’avoir mis la main sur le coupable en s’emparant de Ranucci, ce que ne semble pas avoir compris le camarade Webrider.
La police et la justice sont la précisément pour faire prévaloir la vérité et non pas pour se laisser porter par la Pression extérieure ni par la Passion.

En donnat l'impression de légitimer la présomption de culpabilité, vous définissez parfaitement les conditions dans lesquelles se développe l'erreur judiciaire.

Le comprenez vous ?


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 11:07 
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C'est bien d'avoir enquêté sur ce point. J'aurais aimé savoir si vous avez poussé le vice jusqu'à savoir ce qu'écrivait les gendarmes quand on venait leur parler d'un accident et d'un délit de fuite avec un enfant à bord.
S'il était commun d'écrire "un paquet assez volumuineux" et ce même les jours fériés
Je ne suis pas responsable des éventuelles ou avérées naseries des gendarmes.

Et le "pousser le vice", là, je vois pas tellement le rapport!

C'est pas un vice que de vérifier ce que dit Gérard.

Et pour votre histoire de paquet, faudrait savoir, car jusqu'à aujourd'hui, on attribue cette phrase aux Aubert.


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 11:28 
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Laurence, en toute sérénité, auriez vous les moyens de vérifier ce que GBouladou affirme page 115, 349 notamment à propos des gendarmes déformant les déclarations des Aubert et introduisant le fameux "paquet assez volumineux".


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 11:51 
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Pour Webrider,

j'ai vérifié auprès d'un enquêteur les dires de Gérard,

Mais comment veux-tu que je sache où que je vérifie qui a dit quoi à propos de "ce paquet volumineux"?

Franchement!


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 12:12 
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A antoroma :
Comment les choses se sont passées c'est assez évident : les policiers poussés par la pression hiérarchique et populaire devaient avancer vite. Ce que faisant, souys la responsabilité du Parquet, ils ont violé le principe de la présomption d'innocence. Tout le problème réside dans le fait que ca a eu des conséquences...

La question n'est pas de savoir ce que nous savons aujourd'hui de l'affaire, mais comment en 74 on a volontairement ou pas, sinon par laxisme et manque de rigueur, violé les principes du droit et maltraité la procédure.


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Message non luPosté :16 janv. 2006, 12:25 
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Pour Webrider,

j'ai vérifié auprès d'un enquêteur les dires de Gérard,
Mais comment veux-tu que je sache où que je vérifie qui a dit quoi à propos de "ce paquet volumineux"?
Franchement!
OK OK, n'en parlons plus.

J'en reste à mes observations sur le PV de saisie du couteau établi par M.Porte... un PV non prévu par la procédure, sans valeur juridique et de contenu équivoque, mais établi selon des formes pratiquées habituellement... C'est bien le résumé de ce qu'explique G.Bouladou?


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