Citation :
Faut dire qu'elle n'est pas très maligne la demoiselle.
Musulmane elle-même, elle devait se douter que ça poserait un problème.
C'est une décision basée sur l'article 180 du code civil, qui stipule que "s'il y a eu erreur dans la personne, ou sur des qualités essentielles de la personne, l'autre époux peut demander la nullité du mariage" dans un délai de cinq ans.
Le jugement est "parfaitement logique" car "l'épouse a reconnu qu'elle avait menti", a estimé Me Labbée.
Il faut dire aussi que le monsieur était ingénieur, c'est peut-être cela qui a aveuglé la demoiselle !
oui, je confirme le fondement juridique....et l'analyse.
La religion revêtant au cas d'espece une grande importance, la non virginité est considérée comme une erreur dans les qualités essentielles de la personne épousée.
Je ne partage pas ce point de vue. La virginité n'a rien à voir avec l'article 180. Cet article est invoqué parce qu'il y a eu erreur.