Le Post.fr
Plus de doute, à présent, sur les causes de la mort d'Ophélie Bretnacher, dont le corps a été retrouvé, à Budapest, sur les rives du Danube, le 12 février.
La seconde autopsie pratiquée mardi matin à Garches (Hauts-de-Seine) sur le corps de la jeune étudiante Ophélie Bretnacher ne fait que confirmer celle pratiquée en Hongrie.
La première autopsie avait été réalisée après que l’étudiante française avait été retrouvée, il y a un mois, sur les bords du Danube à Budapest.
Ophélie Bretnacher est certainement décédée par noyade.
Aucune trace de blessure ou de coup n’a été révélée par cette seconde autopsie.
Lors de la première, la police hongroise avait confirmé qu'il n'y avait aucun signe d'agression ou d'acte criminel sur le corps. Pour la police hongroise Ophélie s'était noyée à la suite d'un accident ou suicidée.
Cette thèse du suicide ayant été rejetée à plusieurs reprises par les proches de la jeune victime.
Ophélie avait disparu dans la nuit du 4 décembre 2008, alors qu'elle sortait d'une discothèque où elle avait passé la soirée avec des amis.
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