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MessagePosté :16 juin 2005, 01:52 
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L'affaire de la "Josacine empoisonnée" empoisonne la rubrique des faits divers depuis 1994.

le 11 juin 1994, près du Havre, Emilie TANAY, 9 ans, décéde après avoir ingéré un antibiotique qui contenait du cyanure. En 1997, un suspect est condamné à 20 ans de prison pour ce crime. Depuis il ne cesse de clamer son innocence: Jean-Marc DEPERROIS.Alors qu'il s'est toujours dit innocent, il est incarcéré depuis le 27 juillet 1994, accusé d'avoir empoisonné la petite Emilie Tanay.
En 2002, la commission de révision pénale rejette la requête des avocats du condamné pour un nouveau procès.
une dépêche AFP du 7 avril 2005 nous a informés que la demande de libération introduite par Jean-Marc Deperrois a été rejetée par le juge d'application des peines d'Evreux.

quelques liens sur le sujet:

http://deperrois.free.fr/
http://news.tf1.fr/news/france/2002/0,,965420,00.html
http://www.lexpress.fr/info/societe/dos ... ida=425345
http://www.members.tripod.com/~justicefr/just252.htm

quelques livres sur le sujet:

-Le Poison du doute: L'affaire de la josacine
J.M. Dumay
-Faites entrer l'accusé: La Josacine empoisonnée
Christophe Hondelatte
-Affaires non classées
Frédéric Thibault, Christian English
-Corinne Tanay Lettre à Emilie - L'affaire de la Josacine empoisonnée
Ed : Grasset (1998)
-Corinne Tanay Le chatiment des victimes - Josacine, l'affaire du silence empoisonné
Ed : Bayard (2001)
-Pascal Col? Josacine - L'affaire empoisonnée
Ed : Denoël (1997)
-Jean-Jacques Faure Innocent ? De la Josacine empoisonnée à l'affaire Deperrois
ED : du Rocher (1998)
-Anne-Marie Deperrois Erreur sur le coupable
Ed : Edition N°1 (1998)


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MessagePosté :16 juin 2005, 18:50 
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Sur un site internet je trouve cette remarque :

Nos voisins d'Outre-Quievrain ont une particularité toute française : toutes les décennies (ou presque), ils se passionnent pour une affaire judiciaire complexe sur laquelle plane le spectre de l'erreur judiciaire : l'affaire Seznec, l'affaire Dominici, l'affaire Mis et Thiennot, l'affaire Ranucci (dite du "pull over rouge), l'affaire Omar Raddad, l'affaire Patrick Dils, ...

Il y a beaucoup de bons sens dans ces phrases. Je les cite bien volontiers puisque j'en suis l'auteur :P :lol:

Le risque en France est que l'on ne peut plus juger quelqu'un sans que l'on hurle directement à l'erreur judiciaire. Passons.

Ce que je ne peux pas admettre dans cette affaire est que la famille de la victime a été prise à partie de manière violente à l'énoncé du verdict au palais de Justice de Rouen. C'est absolument inadmissible et ne me donne pas envie de soutenir l'homme en question.


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MessagePosté :17 juin 2005, 00:35 
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Louis-François, si vous le voulez, dès que les messages privés sont réactivés, je vous donne les textes adéquats qui vous éviteront de reprendre à votre compte des choses inexactes.

Pour exemple, il a été dit lors de l'emission de M6 secrets d'actualité que le fils de M. Deperrois avait agressé la mère de la victime après l'énoncé du verdict.

Cette parole qui l'accusait en fait d'un délit, celui d'injure publique était diffamatoire, au point qu'il a obtenu sans aucun problème un droit de réponse ainsi libellé et lu à l'antenne lors de l'emission suivante :

"Dans l'emission "secrets d'actualité " diffusée le 4 avril 2004, nous avons évoqué l'affaire de la Josacine empoisonnée, au travers d'un reportage au cours duquel Madame Corinne TANAY, Mère de la petite Emilie, a été interviewée.
Le plus jeune fils de Jean-Marc DEPERROIS, nous demande de diffuser un droit de réponse afin de rétablir la vérité sur des faits qu'il considère faux et susceptibles de porter atteinte à son honneur ou à sa réputation.

En effet, selon lui et contrairement à ce qu'a indiqué Madame TANAY, il ne l'a jamais injuriée lors du prononcé du verdict auquel d'ailleurs, elle n'a pas assisté à cet égard, comme le rappelle Madame TANAY dans son premier livre, (p 248) : "Nous gravissons les marches, bousculant ceux qui nous barrent le passage. L'annonce du verdict a été faite sans nous !"

Ainsi, il est extrêmement surpris et choqué des propos qui ont été prononcés au cours du reportage par Madame TANAY.
"

En effet, ce sont les magistrats et les jurés qui ont été insultés par le public et les journalistes, le procureur Gaubert se plaignant d'avoir été traité de salaud par l'un d'eux dans une autre émission, la mère de M. Deperrois est tombée dans les pommes et sa femme demandait au président qu'on appelle un médecin. Et c'est aux juges et au procureur que Mme Deperrois mère a dit qu'elle les haïssait en passant près d'eux. Ils étaient loin de pouvoir insulter la famille, qui n'était pas encore arrivée.

Le reportage dit que la famille est obligée de s'enfuir du tribunal, ce qui n'est pas exact, et en fait on nous montre l'image de leur arrivée ! Ils étaient en retard parce qu'ils n'avaient pas été prévenus, et c'est pour cette raison qu'on les voit lors d'une bousculade monter les marches du palais de justice... C'est tout l'art de la télé ça...

Comme quoi les journalistes, il arrive que ça déforme...


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MessagePosté :17 juin 2005, 00:40 
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Et je peux vous dire que là, comme erreur judiciaire monumentale avec derrière, les laboratoires pharmaceutiques pour jouer les lobbies auprès des différentes autorités administratives et mettre le couvercle, elle est gratinée.

Si vous voulez observer l'indépendance de l'administration judiciaire française à la mode de chez nous, c'est le dossier rêvé. Avec en plus un accusé qui ne se défend pas, ou si mal... Tout est bon dans le cochon.


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MessagePosté :17 juin 2005, 11:57 
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En général, je connais assez bien les affaires judiciaires. Mais ici, j'avoue que je la connais mal :oops:

En fait, je n'ai qu'un seul souvenir de cette affaire. C'était lors du verdict. Je regardais le journal télévisé (TF1 ou France2) d'un oeil distrait quand j'ai entendu parler de cette affaire dont le verdict venait d'être rendu au palais de Justice de Rouen qui était visible sur les images. Cela m'a intéressé car je venais quelques semaines auparavant de visiter cette très belle ville et son palais de Justice à l'architecture remarquable. Je me souviens simplement du fils de l'accusé qui était très ému et même en colère. Il était dit aussi que la famille de la victime avait été prise à partie. Merci à gihel de rétablir la vérité sur cet épisode mais je ne suis pas responsable des déclarations de la presse française. Dans quel but d'ailleurs ? Noircir l'entourage de l'accusé ?


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MessagePosté :17 juin 2005, 12:26 
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Moi je ne connais pas du tout cette affaire.
Pensez vous que l'accusé est innocent ?


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MessagePosté :17 juin 2005, 19:09 
Citation :
Merci à gihel de rétablir la vérité
Il semble que la vérité soit au contraire bien au-del? :

"En 1997, après un procès houleux au cours duquel la défense n'aura cessé de multiplier les coups de théatre et de brandir dans la presse "le spectre hideux de l'erreur judiciaire", le verdict sera rendu dans la tourmente. Reconnu coupable sur un faisceau de preuves concordantes et, quoi qu'en dise la défense, accablantes (voir L'Express du 8 janvier 1998), Jean-Marc Deperrois est condamné à vingt ans de prison. Sa famille hurle, injurie les Tanay. Des partisans de l'accusé menacent les jurés. Certains journalistes trépignent et huent la cour.


"Nous attendions la vérité de ce procès, raconte Corinne Tanay. Mais, comme la presse a fait campagne pour l'erreur judiciaire, l'opinion publique a été bernée... et nous nous sommes retrouvés sur le banc des accusés, "jamais." L'enfer pour les parents de la petite Emilie. Menaces, coups de fil anonymes, injures, invasion de paparazzis, les Tanay sont obligés de fuir leur maison, de perdre leur emploi, et errent durant une bonne année, à Toulouse, au Havre, avant de rentrer chez eux, à Saint-Jean-de-la-Neuville (Seine-Maritime). Mais rien ne s'arrange. Les insinuations, les lettres de corbeaux, les brimades continuent. A Bolbec, à Gruchet, à Saint-Jean-de-la-Neuville, dans tout le pays de Caux, comme si la justice n'était pas passée, chacun a sa petite idée sur le coupable. Jusqu'à la pâtissière, qui s'en mêle et veut retrouver le cyanure de la ferme Debray.
(...)
Mais il y a le comité de soutien, les notables du coin... des médecins, des enseignants, des commerçants, serrés autour d'Anne-Marie Deperrois, professeur de géographie au collège catholique Sainte-Geneviève de Bolbec et dont il est convenu de saluer le courage et la dignité. Eux croient dur comme fer à l'innocence de Jean-Marc Deperrois et le clament. Ceux qui penchent pour la culpabilité se taisent: "Vous comprenez, c'est impossible quand on tient un magasin ici, avoue une jeune femme, le comité de soutien est très influent. Didier Chesneau en fait partie et c'est le directeur de la chambre de commerce!"

Insinuations perfides

Influent, il faut le croire. Dernièrement encore, Maxime, le petit garçon des Tanay, a été refusé à l'école catholique Notre-Dame de la Br?aut?. "La directrice avait d'abord accepté de le prendre et puis, quand j'ai dit notre nom, la porte s'est refermée", raconte Corinne Tanay.


Officiellement, les membres du comité n'ont rien contre la maman d'Emilie, non. Il se battent simplement pour la révision du "procès bâclé" de Jean-Marc Deperrois. Officieusement, ils ne cessent de l'attaquer. Avec une arrogance pleine de flonflons, au nom du Doute et de la Démocratie.
(...)
Corinne et Denis Tanay ne peuvent plus, ne veulent plus supporter. Pour la Sainte-Emilie, ils ont reçu deux lettres anonymes terrifiantes, écrites par un psychopathe haineux: "Ordures vivantes... parasites... salope, sale putasse... je sais où vous joindre, je ne vous lâcherai plus...Votre place est sous terre, même pas au cimetière mais dans une fosse à purin." La démence atteint même la monstruosité quand l'auteur s'en prend aux enfants Tanay: "La vermine... votre putain d'Emilie... est crevée depuis juin 1994, les asticots ont dû la bouffer. (...) Si vous continuez à emmerder les honnêtes gens, Maxime va crever comme une bête..." Maxime, 4 ans et demi, né après le décès de sa soeur, condamné à mort à son tour? "

L'Express du 21/12/2000

http://www.lexpress.fr/info/societe/dos ... ida=425338


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MessagePosté :18 juin 2005, 07:58 
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L'article cité par Charly est éloquent. Je ne suis donc pas trompé et c'est même pire que je ne le croyais.

Gihel met en cause aussi les firmes pharmaceutiques. Il devrait être un peu plus précis dans ces accusations. Il faut éviter d'accuser sans apporter la moindre preuve.


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MessagePosté :18 juin 2005, 10:19 
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Enregistré le :09 janv. 2004, 21:17
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Citation :

Il semble que la vérité soit au contraire bien au-delà :

"En 1997, après un procès houleux au cours duquel la défense n'aura cessé de multiplier les coups de théatre et de brandir dans la presse "le spectre hideux de l'erreur judiciaire", le verdict sera rendu dans la tourmente. Reconnu coupable sur un faisceau de preuves concordantes et, quoi qu'en dise la défense, accablantes (voir L'Express du 8 janvier 1998), Jean-Marc Deperrois est condamné à vingt ans de prison. Sa famille hurle, injurie les Tanay. Des partisans de l'accusé menacent les jurés. Certains journalistes trépignent et huent la cour.

Ah bien évidemment si on cite l'article de Anne-Marie Casteret, c'est sûr. Mais ses brillantes démonstrations révélent surtout un très étrange parti pris.
Première phrase fausse et diffamatoire : "sa famille hurle, injurie les Tanay."
Ben non, pas possible, ils n'étaient pas arrivés, ils sont venus après. C'est Madame Tanay qui le raconte elle-même.

Le faisceau de preuves, je vais vous le raconter le faisceau de preuve à la manière de l'administration judiciaire française, c'est pas triste le faisceau de preuve : des analyses truquées faites par un capitaine de gendarmerie qui se contente d'une maîtrise de chimie, un faux témoignage suborné par les gendarmes. Le tout avec la haute bénédiction de la cour de cassation. Tout va bien. Tout va très bien.
Mais madame Casteret a raison sur le second point, c'est la justice qui était visée ce soir là, c'est contre elle que les gens ont levé le point. Ils ont bien vu le soir qu'on faisait une erreur judiciaire. c'était l'administration judiciaire française qui était sur le banc des accusés ce soir là, sa pseudo indépendance.
Citation :
?Nous attendions la vérité de ce procès, raconte Corinne Tanay. Mais, comme la presse a fait campagne pour l'erreur judiciaire, l'opinion publique a été bern?e... et nous nous sommes retrouvés sur le banc des accusés, ? jamais.?
Personne n'a accusé les Tanay, simplement on se pr?occupait moins d'eux,
la presse n'a pas fait campagne pour l'erreur judiciaire. Ce n'était pas le problème d'ailleurs, mais certains journalistes, peu nombreux d'ailleurs, ont bien vu qu'on avait trouvé ce type pour une co?ncidence et que le reste ne concordait pas. Alors, il y a eu la presse nationale, divis?e, le journal l'humanit? se révélant le meilleur serviteur du grand capital pharmaceutique, et puis le monde qui se demande sur quoi reposent les charges -c'est une question comme une autre-, qui s'aper?oit que tout ce qui est ? d?charge est ?liminé du procès. Et que les charges consistent en un faux témoignage, en une voiture qui se transforme en ?tuve comme par magie...

Et puis la presse de province, plus obs?quieuse vis ? vis des autorit?s judiciaires.


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MessagePosté :18 juin 2005, 16:17 
Citation :

Ah bien évidemment si on cite l'article de Anne-Marie Casteret, c'est sûr. Mais ses brillantes d?monstrations révélent surtout un très étrange parti pris.
Vous ne semblez pas porter cette femme dans votre coeur n'est-ce pas ? elle a pourtant l'air d'être quelqu'un de très bien, que vous a-t-elle donc fait?

lire notamment "Le gourou de la pédophilie
L'Express, 26 Juin 1997, p. 46-52 par Anne-Marie Casteret."
http://www.prevensectes.com/rev9706.htm#31 ...o? elle l?ve le voile sur une secte menée par un "th?oricien de "l'oedipe non refoul?".

Voudriez-vous dire que cette femme verrait des sectes partout, y compris dans le comité de soutien de JM Deperrois ?
et que les lettres anonymes ? teneur pedocriminelle auraient un lien avec cette secte?
bref, que Anne-Marie Casteret verrait des pédophiles partout ?


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MessagePosté :18 juin 2005, 16:58 
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Racontons l'affaire de la josacine, c'est ?difiant.

Donc c'est l'histoire d'une petite fille qui se trouve prise dans un syst?me conflictuel, et pour r?sumer, comme dans l'affaire Gregory, il y a un problème de conflit familial, de disputes autour de compteurs EDF, d'h?ritage et on ne sait plus trop quoi, dans l'affaire Gregory, c'était entre le frère ain?, le cadet et le troisi?me, là c'est entre les parents et les grands-parents.

La gamine qui habite Saint-Jean est emmenée par la mère dans le village voisin, Gruchet, pour retrouver un copain de classe et assister ? une f?te m?di?vale, d?guis?e en bouffon.
La mère d'Emilie d?pose un médicament neuf dans un emballage, de la josacine et recommande ? M. Tocqueville qui donc est charg? de garder la gamine jusqu'au lundi de veiller ? ce qu'elle prenne ledit médicament ? 20h et le matin car, en plein mois de juin, elle est victime d'un "refroidissement", ou d'une rhino-pharyngite...

A vingt heure, au moment de partir pour le banquet, Mme Tocqueville dit ? l'enfant de prendre le médicament. La gamine dit : c'est pas bon, maman ne l'a pas pr?par?e comme d'habitude.

Mais curieusement personne ne s'affole, tandis que le copain de classe témoigne qu'elle s'est plaint de maux de t?te. Il faut croire qu'il a r?v?. Pas grave on continue de se pr?parer et ? vingt heures quinze, on part pour le banquet rejoindre la voiture dans le garage. Et dans le garage, la gamine s'effondre.
On rapporte la gamine et on essaie de joindre les parents, impossible, on apprendra plus tard qu'ils sont partis au restaurant. On joint un ami, puis l'ami recommande d'appeler le Samu et c'est le Smur qui arrive.

On ne dit rien aux médecins et personne ne parle du médicament qui tr?ne pourtant sur la table, on parle de ce qu'elle serait tombée l'après-midi en jouant au grenier, mais ? propos du médicament, rien.

Une fois seule, Mme Tocqueville va dire au médecin, au moment où l'ambulance s'appr?te ? partir pour le Havre : ben voil?, lorsque l'enfant a pris son médicament, elle s'est plaint que ce n'était pas comme d'habitude.

Mais curieusement, personne n'a song? donner le médicament aux secours. Et un voisin témoigne que M. Tocqueville et l'ami qui est venu sur place rangent des cartons pendant qu'on transporte l'anfant sur le perron.


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MessagePosté :18 juin 2005, 17:49 
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Il n'y a rien de très exceptionnel ? être victime d'un refroidissement en plein mois de juin. Je peux en témoigner pour l'instant :roll:


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MessagePosté :18 juin 2005, 18:25 
Gihel seriez vous en train de justifier avec des histoires de carton (qui sans aucun doute prouvent que les laboratoires versent du cyanure dans les antibiotiques) le harcèlement dont est victime la famille Tanay ?

Qu' avez-vous contre Anne-Marie Casteret ? dites-nous !


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MessagePosté :18 juin 2005, 18:59 
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Enregistré le :09 janv. 2004, 21:17
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Je n'ai rien contre elle, je ne la conna?t pas, mais je peux d?montrer qu'elle est de parti pris et que les analyses qu'elle a publi? dans l'express reposent sur des pr?ceptes faux.

Les deux personnes qui rangent des cartons pendant que la gamine agonise : ils prouvent simplement que ce qui se passe est bien curieux. Dans ces cas l?, il est de coutume que l'on soit inquiet et qu'il ne vous vienne pas ? l'idée de faire autre chose.

Je continue mon histoire. Donc la gamine est emmenée ? l'hopital général du Havre et elle est prise en charge. Sur la route, le coeur a cessé de battre plusieurs fois, c'est plus que du coma quoi. Mais les médecins ne savent rien.
On fait des analyses, on essaie de la réanimer, impossible, elle décéde ? 22h.

Entretemps, on a réussit ? joindre les parents qui sont passés chez une soeur, soeur qui s'est charg?e de les prévenir que leur enfant était dans le coma, ils arrivent ? l'hopital assez tard, alors que les quatre grands-parents sont déjà l?, et ? ce moment là, Sylvie Tocqueville qui a suivi l'ambulance jusqu'au Havre les voit arriver et témoigne qu'ils se battent avec les grands-parents. Mme Tanay dit dans son livre que Mme Tocqueville ment ? ce propos, et qu'elle a simplement repouss? sa belle-mère.

C'est curieux, on a l'impression tout de même d'une sorte de tribunal, mais un tribunal silencieux qui n'ouvre droit a aucun appel. Et c'est bien là le problème.


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MessagePosté :18 juin 2005, 19:49 
vous n'avez rien contre elle? je n'en suis pas si sur ? votre façon de d?cridibiliser avec des arguments ? la noix sur une tension familiale qui prouve certainement un empoisonnement !

a propos de dispute... :
"Comment, concernant le mobile, a-t-on pu accr?diter la version minimaliste de sa liaison avec Sylvie Tocqueville, une ?simple aventure en voie d'extinction?? Le dossier regorge de preuves du contraire. Il s'agit bien d'une passion qui menace les deux couples. Avec cris, pleurs, disputes publiques, fuite momentan?e du domicile conjugal. Et parfois un comportement inqui?tant de Jean-Marc Deperrois. Il planque devant chez les Tocqueville. Il harc?le et menace Jean-Michel pour le persuader de quitter sa femme. Ce dernier lui conseille d'aller voir un psychiatre. Sylvie pleure en disant: ?Je ne sais pas ce que nous allons devenir.? La même Sylvie qui demande ? son amoureux, le 18 juin, quand personne ne le soup?onne encore, au début de l'enquête: ?Dis-moi que ce n'est pas toi!? Tandis que sa femme, Anne-Marie, lui téléphone: ?Si c'est pour elle [Sylvie] que tu souffres, moi, je me tire.? Beaucoup d'?moi, finalement, pour une liaison en voie d'extinction..."

http://www.lexpress.fr/info/societe/dos ... ida=425340

Cela se passe de commentaires...
je note par ailleurs que vous restez muet au sujet du harcèlement odieux sur la famille Tanay.


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