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MessagePosté :14 avr. 2008, 14:00 
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Deperrois dans l'affaire de la josacine n'a jamais avoué avoir mis du cyanure dans le médicament, pourtant il à été accusé et condamné. En liberté conditionnelle il est toujours le coupable, pourtant il y a beaucoup de choses à revoir dans ce dossier.
oh là là ! oui !!

beaucoup, beaucoup de choses à revoir dans ce dossier

_________________
[b][url]http://www.presume-coupable.com[/url][/b]


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MessagePosté :19 avr. 2008, 13:17 
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Enregistré le :28 mars 2008, 23:35
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Quelque chose m'intrigue dans cette affaire...
Au cours de sa garde à vue, Martine affirme avoir vu son mari près de la boite aux lettres et aurait crié "arrête!"
Dany, de son côté, raconte la même anecdote.
Les déclarations de Martine ont-elles été évoquées au cours de sa garde à vue, ou était-il présent sur les lieux du massacre?


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MessagePosté :20 avr. 2008, 12:41 
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Dans le premier interrogatoire Martine Leprince , Dany, et Célia leur fille ont déclaré n'avoir rien vu, rien entendu. Par la suite Martine Leprince a commencé à confirmer ses premières déclarations mais ,au cours d'un repos ( lors d'un second interrogatoire ) elle tombe de sommeil et va se reposer ou elle va cauchemarder en hurlant " Arrête arrête ! "

Le gendarme qui est dans la pièce prend prend acte des paroles de Martine qui vont être par la suite décisives, quand l'interrogatoire a repris Martine a donné une nouvelle version et avoué qu'elle à vu Dany frapper son frère près de la boite aux lettres. Célia par la suite décrit la même scène et au même endroit.

Le 9 septembre 1994 devant la juge d'instruction Céline Brunetière Martine refait sa déposition après avoir fait serment de dire toute la vérité.

Dany est en garde à vue depuis le 7 septembre 1994 il s'accroche toujours à sa première version " Je n'ai rien vu , rien entendu " pourtant les gendarmes lui martèlent que sa femme a reconnu qu'elle l'a vue et lui à crié " arrête, arrête " dires confirmés par sa fille. Au bout de la 46 ème heure Dany à craqué et à avoué " J' ai tué mon frère et Martine m'a bien crié " Arrête, arrête "


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MessagePosté :01 juin 2008, 12:23 
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Le nouveau BLOG de DANY LEPRINCE par le biais du GROUPE RENEE LEPRINCE
http://dany-leprince.over-blog.com/


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MessagePosté :01 juin 2008, 21:43 
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Enregistré le :12 mars 2005, 23:41
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merci Gérard pour l'information.

_________________
"C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son, que certains paraissent brillants avant d'avoir l'air con".
Comment se fait-il que certains paraissent si cons même sans lumière ? C'est de la métaphysique pure.


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MessagePosté :09 juil. 2008, 17:55 
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J'ai vu le reportage sur Danny Leprince dans les Secrets d'Actualité. Et au risque de paraître grossier, je trouve cette affaire en tous points dégueulasse, tant par l'horreur du crime et la manière dont Martine Leprince mettra tout sur le dos de son mari, que par la légereté avec laquelle les gendarmes (terriblement incompétents) traiteront l'instruction. Ce qui m'affole le plus, c'est que ce n'est pas la première fois que la gendarmerie justement bâcle une telle affaire.

Ici c'est plus qu'accablant: des indices n'ont pas été exploités, la gendarmerie s'est contenté de la délation de Martine et des aveux de Danny sans voir plus loin, plus toutes les autres lacunes de l'enquête déjà évoquées dans ce fil. Je pense qu'une fois que Danny Leprince sera réhabilité et qu'ils auront trouvé les vrais coupables, on serait bien inspiré de juger les enquêteurs et magistrats responsables de cette débâcle judiciaire tant une personne innocente a fait plus de 13 ans de prison pour rien!


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MessagePosté :09 juil. 2008, 19:11 
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Bonsoir Cyril et bonsoir à tous,

c'est la grande forme, à ce que je lis :lol:

Bien que m'étant penché un peu sur cette affaire, il faut rester, selon moi, très circonspect, en effet, une famille a été décimée.

Cette affaire est un bordel sans nom et comme par hasard, la scène de crime a été parasitée, toutes les pistes non explorées..... on s'est basé sur des aveux...

Après coup, je ne vois pas ce qu'on peut espérer réparer....

Ce n'est pas moi, femme de gendarme qui traiterait les gendarmes de branquignioles, mais ou en était-on, à cette époque dans le savoir, de la part des gendarmes, de la police scientifique?

J'ai toujours en référence, à l'esprit, l'affaire Grégory dont je ne sais pas quel connard a décidé de confier l'enquête à la gendarmerie, incompétence à cette époque...mais pas de leur faute, car ils n'avaient aucun savoir.

Je crois qu'il est bon de le rappeler.

Ils venaient à peine d'obtenir la petite mallette avec la poudre noire et le pinceau.....!

Si on apprend pas aux gens, si on ne leur alloue pas les fonds pour apprendre un métier tel que la police scientifique, je ne vois pas comment ils pourraient savoir.

Car telle est la vérité.


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MessagePosté :10 juil. 2008, 09:36 
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Ce n'est pas moi, femme de gendarme qui traiterait les gendarmes de branquignioles, mais ou en était-on, à cette époque dans le savoir, de la part des gendarmes, de la police scientifique?
Femme de gendarme? Zut, je suis grillé!!! :oops:

:lol:

Laurence, j'espère que t'as bien compris que je ne blâmais pas tous les gendarmes de France. Mais dans cette affaire en particulier, ils ont vraiment été en dessous de tout et je trouve cela déplorable au regard de la sauvagerie dans laquelle le crime a été commis. Je trouve que faire preuve d'une telle légereté dans cette affaire c'est même criminel. L'enquête a été bâclée à un tel point qu'on viendrait à penser qu'elle a été partisane pour des raisons obscures.

Ceci dit, tu fais bien de souligner et de rappeler que la gendarmerie n'a pas les mêmes moyens que la police dans ce genre d'affaire. Mais ici, il y avait quand même énormément de pistes flagrantes qu'ils se devaient d'explorer, et ils se sont simplement contentés des déclaration de Martine et des aveux du suspect.

Et maintenant, même si l'on va vers une révision du procès, on ne peut plus rien rattrapper: une personne peut-être innocente a passé 13 ans sous les barreaux pour rien et vu sa famille brisée à cause de ça par le suicide de sa mère, pendant que les véritables assassins ont couru en toute liberté et en toute impunité. C'est comme l'affaire d'Outreau, je pense qu'après ça, la vie de Danny Leprince est définitivement brisée.


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MessagePosté :10 juil. 2008, 10:05 
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Bonjour Cyril, et bonjour à tous,

ne te tourmente pas, je pense comme toi et de toutes façons , que ce soit la police ou la gendarmerie , il y a de bons et de mauvais enquêteurs.

Quand ils sont mauvais, ils ne m'interessent pas...et je ne suis pas tendre avec eux.

Et comme tu dis, dans ce genre d'affaire et par respect pour les défunts, ils se devaient de mener l'enquête avec toute la rigueur et la passion qu'ils méritaient.

Tu sais, et pour me contredire, je te dirai ceci: il est vrai que même si la gendarmerie a largement dépassé la police en matière scientifique...même si à l'époque, ils n'avaient pas de savoir en la matière, celà ne justifie en aucun cas de bâcler une enquête, parce que si tu piétines une scène de crime, si tu ne relèves pas les bons indices, toutes les polices scientifiques du monde ne pourront rien rattraper si on "salope l'enquête de départ.

Je t'invite, si tu ne l'a connait pas à t'intéresser à l'affaire Janeth Marshal (1955) elle corrobore tout à fait ce que je viens d'écrire......Un super flic, avec très peu de myens (1955) a réussi à confondre un assassin.....


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MessagePosté :19 juil. 2008, 20:53 
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Un message relevé dans le Blog de Dany Leprince.

Bonjour à tous,

Nous n'avons pas de nouvelle de la Commission de Révisions pour le moment. Nous n'avons pas été informés de leur probable venue à Thorigné sur Dué pour la visite des lieux.
Dany vous remercie pour toutes les lettres qu'il reçoit chaque jour de votre part.


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MessagePosté :22 août 2008, 19:44 
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Polémique entre le détective privé Monsieur Roger-Marc Moreau et Messieurs Roland Agret et Nicolas Poincaré sur l'affaire LEPRINCE


AFFAIRE LEPRINCE : LA VERITE ENFIN DEVOILEE PAR ROGER-MARC MOREAU
Nul ne peut mieux connaître l'affaire Leprince que celui qui a dirigé la contre-enquête ayant permis d'étayer la requête en révision et le recours en grâce déposés en octobre 2005 - -

Ce dossier que j'ai fait ressurgir dans l'actualité, suscite, depuis lors, beaucoup de passion et d'interrogations mais aussi de mensonges et de manipulations.

A l'heure où Roland Agret et Nicolas Poincaré se voient traduits en justice pour diffamation, ce blog a pour objectif de répondre aux questions que se pose le public et de rétablir certaines vérités...

VERITE N° 01 : PERSONNE NE SE TROUVAIT DANS LE GRENIER DE LA MAISON LE SOIR OU FURENT PERPETRES LES CRIMES !
Le nouvel élément , censé être constitué par la prétendue présence du dénommé Laurent Rousseau le 04 septembre 1994, est une supercherie.


POUR UNE MEILLEURE COMPREHENSION LE PLAN DE LA SCENE DES CRIMES
http://affaire-dany-leprince-toute-la-veri...e-19551172.html

L'AFFAIRE LEPRINCE : UNE CONTRE-ENQUETE POUR LA VERITE

Que représente une contre-enquête en vue d'étayer une requête en révision ?

La première difficulté, c'est qu'il faut trouver des éléments nouveaux de nature à faire naître l'existence d'un doute quant à la culpabilité de la personne condamnée, et mieux vaut dire que lesdits ne courent pas les rues ! Pour se donner une chance d'aboutir, il convient donc de mettre en oeuvre une délicate stratégie nécessitant, non pas une simple lecture, mais une véritable analyse, extrêmement approfondie et minutieuse du dossier.

Pour l'affaire Leprince, cela représente environ six mois d'étude pour décortiquer, classer, analyser jusque dans les détails les plus infimes un dossier de plusieurs milliers de pages.

Mais, en règle générale, aucune révision ou mesure de grâce ne peut être envisagée sans avoir l'appui de la presse et donc une médiatisation de l'affaire défendue. Pour ce dossier, ce n'était pas gagné d'avance. Tout le monde était absolument persuadé de la totale culpabilité de Dany Leprince et personne ne croyait un seul instant à l'hypothèse d'une erreur judiciaire.

Pendant un an et demi, il me faudra quasiment harceler les rédactions de nombreux médias pour tenter d'alerter et de convaincre. Combien de milliers de photocopies des pièces essentielles du dossier, pour les distribuer à des journalistes le plus souvent peu motivés pour se pencher sur une cause apparemment indéfendable !

Plusieurs projets d'émissions verront le jour avec des sociétés de production, aucun ne prospérera, car à l'époque, aucun diffuseur (chaîne de télévision) n'a envie de se "mouiller" pour défendre une telle affaire.

Juin 2005, enfin je parviens à convaincre des journalistes de la rédaction de France 2 ! IIs enverront une équipe pour suivre, en partie, la contre-enquête, assister à une conférence de presse et diffuser le sujet au journal de 20 heures ; l'affaire est enfin lancée...

Mais une telle contre-enquête demande aussi une préparation importante, les témoins essentiels sélectionnés parmi plusieurs centaines, écarter les moins crédibles (comme Rousseau ou un ancien policier...) pour se donner une chance de réussir à découvrir les fameux éléments nouveaux susceptibles de jeter le doute sur une vérité judiciaire bancale... tel était le défi.

Trois déplacements dans la Sarthe, une semaine sur place pour voir les lieux, faire des repérages, procéder à des fouilles et parvenir à recueillir les bons témoignages...

L'affaire Leprince, c'est aussi des dizaines de réunions avec l'avocat de la défense, des centaines d'appels téléphoniques et des milliers de kilomètres obligatoirement effectués en automobile pour pouvoir transporter l'énorme dossier...

Cependant pour moi, une affaire n'est jamais terminée et, notamment en mémoire de madame Renée Leprince, qui a préféré mettre fin à ses jours plutôt que d'être à nouveau obligée de subir des dictats, je continue à soutenir la cause que j'ai eu l'honneur d'initier, pour la vérité





CONTRAIREMENT A CE QUE D'AUCUNS AFFIRMENT PEREMPTOIREMENT, LES DECLARATIONS DETAILLEES DE LAURENT ROUSSEAU NE CORRESPONDENT ABSOLUMENT PAS AUX DEROULEMENT DES FAITS TELS QU'ILS ONT ETE ETABLIS !
S'appuyant principalement sur un détail (l'existence d'un escalier escamotable dans la maison de la famille de Christian Leprince), certains voudraient faire l'impasse sur les énormités et nombreuses incohérences de la déclaration qu'avait faite Laurent Rousseau à Madame Marie-France Pralong-Rouxel...

Pourtant, les notes qu'elle avait prises à l'époque (dont un extrait est reproduit in extenso ci-après) sont édifiantes :

- "Vers 14 heures, il a entendu deux femmes qui se disputaient très fort pour de l'argent, elles s'insultaient ; il y avait la Martine ;

- Vers 14 heures trente, il a vu par la lucarne, les deux filles aînées arriver dans la cour en vélo ;

- Les cris ont un peu cessé ;

- Vers 16 heures, il a entendu des hurlements en bas ; il était toujours dans le grenier ;

- Puis il y a eu un grand silence ; il est descendu, il a vu <<la puce>> cachée sous le lit ; elle avait fait la sieste et était en chemise de nuit ; elle lui a montré ses vêtements ; il l'a habillée et l'a montée au grenier ; il a vu les deux aînées <<hachées>>. C'était horrible, pourtant il en avait vu ! La mère n'était pas morte ;

- Vers 16 heures trente, deux hommes sont venus avec la Martine ;

- Ils ont achevé la mère ; il y avait un beau-frère ; ils ont attendu le père ;

- Lui restait caché dans le grenier avec la <<puce>> qui disait <<papa, papa>> ;

- Vers 17 heures trente, ils sont tous partis." (sic)

Les faits véritablement établis sont les suivants :

1) Les Leprince ont passé une partie de la journée au domicile des parents de Brigitte, Monsieur et Madame Papillon à CONNERRE. Ils ont déjeuné chez ceux-ci puis les ont quittés vers 16 heures (Christian Leprince va alors tondre sa pelouse). Ils vont revenir chez les Papillon vers 19 heures pour dîner et les quitter vers 20 heures 45 pour rentrer à leur domicile ;

2) La petite Solène était en pyjama (et non en chemise de nuit) ;

3) L'importance des lésions crâno-encéphaliques et cervicales constatées était telle, qu'elles ont provoqué une mort quasi instantanée pour chacune des personnes concernées et les lésions des membres supérieurs étaient en relation avec des gestes de défense de la part des victimes...


VERITE N° 02 : LES ADN INCONNUS IDENTIFIES A L'EPOQUE ET TROUVES SUR DES COUTEAUX AVAIENT ETE ANALYSES ET ILS NE CORRESPONDENT PAS A CELUI DE MARTINE COMPA[/b]IN

En avril 2008, certains médias ont rapporté que l'ADN trouvé sur un couteau découvert, juste après les crimes, dans un tiroir de Martine Compain ex-épouse Leprince, était compatible avec celui de cette dernière. Cet élément aurait été mis en lumière par la Commission de révision, précisant, qu'à l'époque, il n'avait pas été jugé utile de procéder à l'analyse des deux ADN inconnus trouvés dans la maison du crime...

Cette information diffusée n'est pas fondée.

En fait, commis par ordonnance de madame Céline Brunetière, juge d'instruction au T.G.I. du Mans, messieurs Jean-Paul Moisan, docteur en médecine, directeur du Laboratoire de Génétique Moléculaire du CHR de Nantes et expert judiciaire près la cour d'appel de Rennes, et Olivier Pascal, docteur en pharmacie, praticien hospitalier au Laboratoire de Génétique Moléculaire et expert près la cour d'appel de Rennes, ont rendu l'expertise ML94*317C-8, établissant formellement que les ADN inconnus identifiés dans leur rapport ML94*317 (page 23) correspondant au scellé n° 04/112 et ML94*317A correspondant aux scellés n° 27/4 et 28/04), sont différents de l'ADN de Martine Leprince. A l'époque des expertises avaient donc bien été ordonnées et les ADN interprétables inconnus avaient été analysés et comparés...

RAPPORT D'EXPERTISE DU LABORATOIRE DE GENEIQUE MOLECULAIRE
http://affaire-dany-leprince-toute-la-veri...e-19910270.html


VERITE N° 03 : LA PRETENDUE PLAINTE DE DANY LEPRINCE EST FANTAISISTE !
L'individu qui rédige les textes figurant sur le site du "Groupe Renée Leprince" a commis de très graves diffamations mais également le délit de dénonciation calomnieuse !

Cette petite manoeuvre de diversion n'avait, de toute évidence, pour seule ambition que de publier un texte sur internet afin de tenter de me nuire professionnellement en abusant l'opinion publique...

A l'origine, la prétendue "plainte de Dany Leprince" est déjà absurde mais elle est aussi complètement fantaisiste et extravagante car non-fondée juridiquement !

Primo, le travail effectué en faveur de Dany Leprince a été non seulement déterminant pour faire connaître et dénoncer l'injustice qu'il subit mais évidemment sans commune mesure avec le montant des honoraires perçus au regard de l'importance de l'investissement nécessaire, du temps passé et des frais engagés ;

Secundo, même si cela n'avait pas été le cas, il n'aurait, en aucune façon, été constitué un quelconque délit "d'abus de confiance", infraction qui n'a absolument pas de lien avec "la simple contestation d'un montant de frais et honoraires"... En effet, lorsque l'on estime avoir versé une somme trop importante à un professionnel, on ne peut demander réparation et, le cas échéant, obtenir un remboursement total ou partiel, qu'en saisissant une juridiction civile. D'ailleurs, dans le cas contraire, on peut facilement imaginer combien d'avocats, notamment, se verraient traduits, tous les jours, devant les tribunaux correctionnels !

Tout ça n'est donc qu'une pauvre mystification, volontairement orchestrée pour essayer "d'enfumer" le crédule et dont devront répondre tous les responsables : instigateur, auteur principal et complices... En effet, cette "affaire" fait déjà l'objet de plusieurs plaintes pénales auxquelles vont s'ajouter d'autres, notamment, à l'initiative des instances de la profession...



VERITE N° 04 : IL N'Y AVAIT AUCUNE ERREUR DANS L'ENQUETE INITIALE !
Contrairement à ce qui est prétendu par le diffamateur du "Comité Renée Leprince", aucune erreur n'avait été commise dans l'enquête initiale. Manifestement, le recueil d'éléments probants est vraiment une affaire réservée aux professionnels... Car pour étayer ses calomnies, le rédacteur a pris un exemple : selon lui, Madame Nelly Hatton n'aurait pas déclaré que la couche de la petite Solène était propre et de préciser qu'il aurait donc été nécessaire de l'auditionner une seconde fois pour lui faire indiquer que la couche était souillée, faisant ainsi en sorte que sa déclaration corresponde bien aux éléments du dossier...

Tout l'intérêt d'une contre-enquête est de recueillir des éléments susceptibles de donner un éclairage nouveau mais surtout sans influencer les témoins pour ne pas orienter leurs déclarations. C'est pourtant bien ce qui semble s'être passé en l'espèce... Strictement aucune erreur n'avait été commise lorsque j'ai relevé, notamment, la déclaration originelle de Madame Nelly Hatton comme le prouve les notes prises séparément, par Corinne Justice qui, à sa demande, avait assisté à l'audition. Comme moi, elle avait relevé que Madame Nelly Hatton avait bien déclaré que la couche de l'enfant était propre !

Qui a bien pu, dans un second temps, commettre la faute de faire dire le contraire de ses déclarations initiales à ce témoin ? Corinne Justice, elle-même ? Roland Agret ? Aucun d'eux n'a le droit de procéder à des auditions sans commettre le délit d'exercice illégal de la profession réglementée d'agent de recherches privées (faits passibles d'une peine de trois ans d'emprisonnement et de quarante-cinq mille euros d'amende).

Je dispose également des notes prises par Corinne Justice lorsque j'ai procédé à l'audition de Madame Catherine Menant... Elles correspondent aussi, en tout point, au témoignage que j'avais initialement relevé...

Dans quel dessein a-t-on voulu faire croire aux Leprince que des erreurs avaient été commises et qu'il était donc nécessaire de tout refaire ? Et quel a été le prix réclamé à Madame Leprince pour cela ?

DEPOT DE PLAINTE CONTRE ROLAND AGRET ET CORINNE JUSTICE POUR EXERCICE ILLICITE DE LA PROFESSION REGLEMENTEE D'AGENT DE RECHERCHES PRIVEES
http://affaire-dany-leprince-toute-la-veri...e-20639108.html



ROLAND AGRET PRIS EN FLAGRANT DELIT DE MENSONGE

Extrait d'une interview d'Agret à la revue MEDIAS :

Entretien avec Roland Agret : "Si tu mens aux médias, tu es mort..."

Vous dites qu’avoir « la presse avec soi, c’est une chose, mais savoir l’utiliser en est une autre »...
Roland Agret : Evidemment. On ne peut compter sur les médias qu’à une seule condition : ne jamais leur mentir. Ils doivent se rendre compte que tout ce que tu fais et que tu dis est vrai, incontestable. Si tu racontes une connerie, tu es mort.


Roland Agret devrait donc être mort. En effet, il prétend aujourd'hui que la contre-enquête que j'ai menée, en vue de la manifestation de la vérité dans l'affaire Leprince, serait complètement nulle ; or, au moins jusqu'en octobre 2005 (j'ai quitté ma fonction de directeur des enquêtes d'ACTION-JUSTICE le 1er novembre 2005), il affirmait tout le contraire aux médias et à la justice (voir ses communiqués de presse, interviews et recours en grâce). Jusqu'à cette date, il n'avait de cesse de faire l'éloge de ma contre-enquête qu'il affirmait trouver excellente ("des éléments tellement conséquents"... "des résultats inespérés"... "un rapport très révélateur, très parlant"..., dixit R. Agret) : il aurait donc, pendant des mois, menti sans vergogne aux médias, à la justice et consécutivement au public et à ses clients...

A moins bien sûr, qu'en définitive il fabule aujourd'hui, car il paraît vraiment difficile de savoir quand il dit la vérité ou non !


SOURCE : Extraits du Blog de Roger-Marc Moreau


Modifié en dernier par Marathon le 23 nov. 2008, 22:15, modifié 1 fois.

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MessagePosté :22 août 2008, 19:49 
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Enregistré le :31 janv. 2008, 14:52
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Toute la Vérité sur l'enquête de Moreau


4 pages voilà ce qu'il a remis à Action Justice, pour solde de ses travaux contre 15 000 euros versés par la famille. C'est à partir de ça qu'il revendique "avoir fait resurgir l'affaire".

Vous jugerez du sérieux de ses investigations.

Par contre; il s'est agité devant les médias, ça oui !
Sans compter que, le "spécialiste de la contre-enquête" rapporte dans son brouet des faits inexacts :

Dans toutes ses déclarations, Nelly Hatton a toujours affirmé que la petite Solène était propre mais que sa couche était sale.

Catherine Menant, ayant fait ensuite une déclaration authentifiée et signée, a déclaré ne jamais avoir dit à ce détective que "Claude Bobet gardait ses 3 filles le soir des crimes et qu'il les avait ramenées à leur mère" mais qu'il gardait Pauline et Marion, filles de Martine Compain. Ce qui, dans le contexte de cette affaire n'est pas un mince écart, qu'il a fallu rattraper auprès de la Commission des Révisions.

De même que, s'il avait seulement vérifié auprès des pompiers de Thorigné, il aurait immédiatement su que le même Claude Bobet avait démissionné des pompiers volontaires, presque deux ans avant les faits !
Ce qu'il a fallu encore rattraper...
C'est bien le témoignage de madame Rouxel qui a motivé la Commission avant que d'autres éléments et témoignages viennent se greffer dessus. A en croire M.Moreau, les magistrats de cette haute Juriction sont de sacrés niais que l'on peut berner très facilement par "une supercherie".
Nous pouvons seulement dire que madame Rouxel, qui ne connaît pas les lieux ni Thorigné, ne pouvait pas inventer les éléments précis et inconnus livrés par Rousseau.(voir Condamné à tort chez Michel Lafon)

D'ailleurs, le 9 juin (au lieu du 23 mai), la Commission se déplace pour constater et vérifier un reportage des lieux.

Ce reportage n'est pas l'oeuvre du détective.

Et si dans cette histoire il y a une supercherie comme il le prétend...Elle n'est pas chez nous.

Voyez le site du chat borgne et les passages du livre du capitaine Cenci à propos de l'affaire Omar Raddad. Moreau y occupe une place de vedette...et il n'a pas attaqué l'auteur. Profil bas.

Par contre, à propos de son enquête qui selon lui a fait innocenter Omar selon la propagande de son site, il s'est retrouvé condamné dans un procès en diffamation par la famille Marschal, pour s'être un peu emporté sur ses investigations, au cours d'une émission de télé.
C'est en fait le seul résultat concret. Parce que ce pauvre Omar ne doit sa grâce (son innocence n'est toujours pas reconnue) qu'à la venue du Roi du Maroc en France qui a plaidé sa cause auprès de Jacques Chirac. Il ne doit rien au détective Moreau dont l'enquête a été mise au panier par la Commission des Révisions.
Voilà encore une réalité bien rétablie.

Nous le redisons, ici ce n'est pas un justificatif, mais une explication. Nous espérons la dernière.
Nous nous refusons à jouer dans une polémique aussi malhonnête que stérile, provenant d'un tel personnage.



toute la vérité sur l'enquête de Moreau (2)

Comme précédement dit dans un article de ce blog, Dany Leprince a déposé une plainte pour abus de confiance contre ce "fameux" Roger-Marc Moreau.

Depuis, nous apprenons qu'il créé un blog pour soit disant dire toute la Vérité sur L'Affaire Leprince.

En se revendiquant comme tel, pourquoi ne prend-il même pas nouvelle de la Famille? de Dany?

Roger-Marc Moreau a fait une dite contre-enquête aussi fantaisiste que sans le moindre intérêt.
Nous la tenons à disposition de tous.
Il a remis à Roland Agret, pour inclure dans son propre rapport, six auditions en tout et pour tout, dont deux comportent de graves inexactitudes. Quant aux autres...Cela fait autant dans la banalité que dans le ridicule.

En fait, il commence "son travail" le 9 juin 2005 à 16 heures 15 et le termine le lendemain à 18 heures 45, soit même pas deux jours, qui ont coûté 15 000 euros à la famille Leprince.
Une authentique arnaque, d'où la plainte portée contre lui par Dany Leprince.
Comme dans l'affaire Omar Raddad, la contre-enquête de monsieur Moreau est passée dans les pertes et profits judiciaires mais lui a servi en publicité mensongère.
Parce que dans l'affaire Dany Leprince, non seulement il n'a rien relancé du tout et il est le premier à le savoir, mais il s'en revendique malhonnêtement.
Par contre, il a encore bien bavardé devant les caméras !
Et aujourd'hui, dans son blog, il parle de "supercherie" concernant un témoignage, duquel la Commission des Révisions tranchera. Toujours est-il qu'elle n'aura pas à se prononcer sur les prouesses du détective dont les auditions affligeantes n'étaient, en plus, même pas valables juridiquement.
En fait, tout a été repris, les témoins principaux oubliés par Moreau retrouvés, sans compter l'énorme travail de terrain qui a été accompli depuis, cette fois pris en compte par la Commission.


Monsieur Moreau est un drôle de type, capable de s'inscrire sur une liste UMP à Sarcelles et dans les mêmes temps, s'inscrire en soutien au PS de Valence...(Pouir Sylvie Noachovitch à Sarcelles et Michèle Rivasi à Valence).

Quant à sa campagne de dénigrement dans l'affaire Leprince, nous nous demandons bien pour qui et pour quoi il roule en essayant d'atteindre des éléments importants pour la Révision.

Nous ne comptons pas entrer dans une polémique, nous restituons une bonne fois pour toute la vérité.

du nouveau dans la plainte de Dany


Maîtres Yves Baudelot et Jean-Denis Bredin étant déjà fort occupés auprès de la Commission des révisions, Dany a fait appel à maître Claude Llorente du Barreau de Paris, pour une constitution de partie civile, afin de ne pas risquer de voir sa plainte contre Moreau s’enliser.

Son épouse Béatrice, écoeurée par ses méthodes, est entièrement solidaire de sa démarche. Tout le Groupe également.

Nous rappelons que pour six auditions qui ne valent que zéro pour nous, il a empoché au moins 15 000 euros. Le 04-07-2001 un premier chèque de 20 000 Frs, soit un peu plus de 3000 euros et un autre de 12 000 euros libellé le 17 mars 2004. Contre lequel, malgré ses engagements, nous n’avons jamais eu le moindre rapport ni justificatif, il faut le renouveler.

Mais nous allons continuer à vérifier les comptes de la pauvre Renée…

Nous ne possédons en fait, que ses fameuses auditions qu’il avait remise à Roland Agret pour l’inclure dans son premier rapport visant un recours en grâce pour Dany. Reposé depuis, sans erreurs et surtout bien plus étoffé, poussé récemment au Ministère et à l’Elysée, avec Nicolas Poincaré.

Ce dont il se flatte, affirmant que Roland était satisfait de son excellent travail. C’est dans l’urgence que ce recours a été rédigé et il contient « tout le boulot exténuant de Moreau » et décemment, il ne pouvait pas écrire que ces auditions n’étaient que du courant d’air. Alors c’est bien vrai mais c’est dans ces conditions contraignantes et non sans honte pour l’intéressé, qu’il a bien été obligé de se dire satisfait…

Tous les avisés en matière judiciaire pourront estimer ces auditions à leur juste valeur, en matière de grâce comme de révision.

Pour oser revendiquer ça…faut avoir un estomac plus grand que sa conscience.


Lorsque Roland Agret et les parents Leprince ont décidé de faire vider le puits de leur ancienne ferme, pour vérifier si rien n’avait été jetée dedans, Moreau, bien culotté, s’est permis de venir avec « son équipe » de France 2 pour une émission sur « le détective ». Ils sont même entrés dans la propriété des Pernel, sans leur autorisation, juste pour faire de la pellicule pour lui, devant la maison des horreurs. Ce qui en plus nous a valu de légitimes reproches.



Lorsqu’il venait au Mercure du Mans avec sa femme et sa fille, c’était avant tout pour sa publicité, dans le sillage de l’affaire de Dany.

Nous savons que l’année dernière il était en redressement judiciaire pour quelques 250 000 euros de passif (voir livre) et qu’aux dernières élections, il était conseiller et colistier de Sylvie Noachovitch, candidate UMP à Sarcelles, en même temps qu’il affichait son soutien sur la liste de Michèle Rivasi, candidate des verts, représentant la gauche à Valence. (voir internet)

Et pour les présidentielles, sur son site, il appelait à voter Ségolène Royal, à flots de critiques acerbes pour le candidat Sarkosy…

Juste un petit récapitulatif, toujours pour mémoire.


Tout cela nous semble bien élastique et ne correspond certainement pas aux allures de « chevalier blanc » qu’il se donne…D’ailleurs, son site (sans parler de son blog qui est une infection) n’est qu’un tissu de fanfaronnades. On peut y lire « qu’il a fait innocenter Omar Raddad » ! Pour mémoire encore et en réalité, sa superbe enquête a été entièrement écartée par la Commission de révisons, qui n’a principalement retenu qu’un ADN sur une porte en élément nouveau et si Omar a été gracié, ce qui ne signifie pas innocenté, il ne le doit pas au détective mais à la venue du Roi du Maroc en France, qui a obtenu cette grâce auprès de Jacques Chirac. Bien pire, il n’a pas attaqué le livre du capitaine Georges Cenci « Omar l’a tuée – Vérité et manipulations d’opinions », dans lequel, lui et son enquête sont élevés au rang d’une magnifique escroquerie. Ni pour son honneur bien roulé dans la boue, ni pour soutenir Omar Raddad qu’il disait défendre, le Moreau n’a pas eu le courage d’attaquer. Fallait le faire.

Par contre, en s’emportant un peu dans ses rodomontades à la télé, nous rappelons qu’il a été poursuivi par le fils de madame Marschal, la victime, et qu’il s’est fait condamné pour diffamation. Christophe Dechavanne, entraîné dans la galère a écopé solidairement. A la nuance près que Christophe a fait une avance de quelques milliers d’euros au détective, qui en plusieurs années et aux dernières nouvelles, ne l’avait toujours pas remboursé d’un centime d’euro.

Voilà la vérité et tout le reste sort du violon de Moreau.

A l’en croire, même l’affaire Seznec, c’est lui ! Si le ridicule tuait…


En revanche, il a été le seul à attaquer « Condamné à tort ». Un paragraphe où il n’est même pas cité, l’égratigne un peu, bien gentiment par rapport à la réalité. Personne ne semble l’avoir reconnu, sauf lui. Il pense que cela peut nuire « à sa réputation et à son enquête ». Ce type est renversant, mais selon nos sources, il est bien loin d’avoir gain de cause.

Comme de nombreuses personnes souhaitent ardemment le rencontrer, nous ne manquerons pas de les inviter à l’audience qui le confrontera à Nicolas Poincaré et Roland Agret.

A ne pas manquer. Nous donnerons la date dès qu’elle sera fixée.


Cela nous donne un petit portrait de ce type, capable d’avoir une attitude misérable envers les parents Leprince écroulés dans peine, les abusant d’une grosse somme d’argent, pour ensuite les trahir en essayant de casser leur histoire par un blog aussi dégueulasse que mensonger. Nous espérons que ses clients, que nous souhaitons peu nombreux, prennent acte de ses revirements de jaquette, d’un bord à l’autre, selon ses vents et surtout selon ses intérêts.

Pour s’attaquer à un pauvre Dany en prison, innocent à perpète, parce que c’est exactement ce qu’il fait, nous estimons que c’est aussi lâche que crapuleux parce qu’en plus et par conséquence, il crache sans honte sur la mémoire de la pauvre Renée Leprince, sa bailleuse de fonds.

Vraiment pas glorieux le Moreau !

Quand on va sur son site racoleur, il ne faut pas être un grand analyste pour se rendre compte de « l’épaisseur » du personnage.

Juste un zeste d’esprit critique peut suffire…


Vérité sur la réouverture du dossier "Leprince"

En faisant des recherches, nous avons retrouvé ce communiqué des avocats de Dany à l'époque. (Ils ont écarté les auditions Moreau, c'est clair, ça se voit.

Visant Martine Leprince, l'histoire de l'amant est tombée dans le lac. Même si c'est vrai son histoire, l'innocence de Dany n'en serait pas démontrée pour autant. Comme ce pauvre monsieur Lhermite est décédé depuis et qu'il n'avait rien signé au détective, dans sa vraie enquête, Roland est allé toutefois retrouver et entendre deux nouveaux témoins qui le confirmait. Pour la forme puisque sans importance pour la révision. Mais déjà, pour présenter le recours, maître Chambon avait sollicité Roland pour de nouvelles auditions légales, notamment du père de Dany. Il a certainement oublié de le demander à Moreau qui aurait tant bossé avec lui, selon les dires du détective. Et à propos de l'amant, nous avons de bonnes raisons de penser qu'il n'était pas sur les lieux des crimes.
La Commission a donc statué sur "une supercherie selon Moreau" puisque l'élément Rousseau a été retenu avec les demandes ADN que Roland avait formulées auprès de l'avocat. Recherches ADN qui commencent à payer, vous le savez.
Mais qu'ils sont bêtes ces magistrats! Et en plus ils ont mis ses belles auditions au panier, le résultat d'une contre enquête si acharnée, avec des mois de lecture de dossier...Pauvre monsieur Moreau, pas un seul de ces témoins n'a été ni entendu, ni retenu par la Commission des Révisions.
Depuis, certainement pas grâce au détective, beaucoup d'autres éléments sont intervenus et en examen à la Commission. Et ils pèsent lourds ! D'ailleurs, bien des éléments ont déjà été vérifiés et nous pouvons dire que cela va tout à fait dans le bon sens.
Bien entendu, nous ne pouvons pas tous vous les livrer pour ne pas gêner l'avancée des avocats. Mais le livre a été déjà fait pour vous informer de toute l'affaire.


Réflexion sur le travail de Moreau

Dans ses pages d’explications sur son « labeur consciencieux » à propos de l’affaire de Dany, il dit en gros :

- J’ai eu plus d’une dizaine de réunions avec les avocats :

D’abord il serait bon que ce détective produise un seul élément de preuve, une facture d’essence, de restaurant, d’hôtel et que le Cabinet Chambon lui délivre une attestation. Et comme il s’agit d’un cabinet sérieux, il sera facile de retrouver tous les rendez-vous enregistrés avec lui.

Selon ce que nous en savons à ce jour, il ne s’est déplacé qu’une seule fois à Annonay et peut-être même pas pour Dany.

- 6 mois de travail et classement pour recherche d’éléments nouveaux, pour analyse …

Déjà, tout ce qui est contenu dans le dossier des Assises, rien ne peut apporter quel élément que ce soit, sinon des pistes.

Si l’on en revient à ses six auditions, on constate « l’énorme travail de dossier qu’il a réalisé », soit disant, avec l’avocat. Et tout ce temps pour finir à ça ?

Nelly Hatton a fait plusieurs déclarations dans le dossier, Moreau espère découvrir un élément nouveau chez elle ? Il réentend encore Galbrun, dont les déclarations sont aussi dans le dossier et sa femme qui expose une supposition…

Un marchand de tracteur qui donne un simple point de vue et madame Menant qui dira et signera par la suite une toute autre version que celle qu’il rapporte, c’est là où l’on peut aller chercher un indice sérieux ?

Pour se revendiquer d’un tel boulot, préparé avec autant de hargne pour aller chercher des éléments nouveaux avec un tel montage, même un scout de France aurait pu le faire, à moindre frais…


-Au début tout le monde croyait Dany coupable et c’est moi qui ai convaincu France2 et qui ait lancé l’affaire…

Il est parfaitement faux que tout le monde croyait Dany coupable et dès le lendemain du procès, déjà la presse affichait ses doutes.

Quant aux gens de Thorigné, de Connerré et même de la Sarthe, dont certains sont là depuis presque 14 ans, ils prouvent que justement personne ou presque n’y croyait. Vous n’avez peut-être pas étudié le même dossier que Nicolas Poincaré et Roland Agret, parce que dedans ils n’ont principalement trouvé qu’une personne qui a déclaré « Dany m’a dit qu’il en voulait à son frère et qu’il lui botterait le cul ».

Maintenant lorsque vous êtes venu pour votre émission sur « le détective » avec France 2, (qui a valu une plainte des Pernel) vous incrustant sur l’affaire de Dany, il y a belle lurette que Roland Agret avait alerté la presse régionale en organisant des conférences de presse au Mercure et même la nationale ! Et cela se sait !

Vous n’êtes qu’un triste menteur en nous disant qu’avec France 2 vous avez été en gros le moteur de tout.

En fait, lorsque vous veniez au Mercure du Mans avec votre femme et votre fille, nous persistons à dire que ce n’était que pour votre image. La preuve, votre « enquête », votre présence dans les conférences de presse où vous étiez invité, vos amis de France deux ont fait votre émission puis, sinon récemment, ne sont jamais revenus pour s’inquiéter des avancées de l’affaire. C’est une belle exclusivité à « la gloire de Moreau ». Rien de plus.

Vos prétentions et affabulations sont aussi gluantes que pitoyables.

Nous n’allons pas nous étendre des pages et des pages, pourtant nous le pourrions…

Mais nous ne voulons pas nous plonger davantage dans votre indécence et perdre trop de temps avec vous. On assure un minimum.

Parce que oser parler de la mémoire de Renée, qui ne vous portait pas dans son cœur, et pour laquelle vous n’avez même pas adressé le moindre mot de condoléances à la famille…


Pourquoi le blogueur Moreau a amputé la première phrase de la lettre de Renée, à propos de sa mise en congés ?

Lettre de Renée Leprince à Moreau
http://dany-leprince.over-blog.com/page ... 37565.html


Il affirme à ses blogueurs « qu’il n’a pas jugé utile de publier l’intégralité de la lettre de Renée Leprince, que « c’est pour en garder la primeur aux magistrats, en effet, les termes exacts employés peuvent parfois être très révélateurs »…


Ce qui sous-entend pas mal de choses, entretient un certain mystère, voire même quelques menaces envers « les instigateurs et complices de graves diffamations… »

Je lève le voile, voilà la première phrase de Renée, qui va faire se lever tous les magistrats, tellement « les termes exacts…peuvent être révélateurs », parce que je ne supporte pas que l’on se serve d’un courrier de ma grande tante, qui ne peut plus, hélas, répondre.

- 13 janvier 2006 : « Mr Roger-Marc Moreau, Nous vous remercions d’avoir participé avec Corinne Justice et Roland Agret à la contre enquête réalisée pour notre fils Dany ».

Ce que ce monsieur ne sait peut-être pas c’est que, avec ma famille, nous étions des proches de la pauvre Renée, sur lesquels elle s’appuyait et se confiait beaucoup. Elle nous donnait, ainsi qu’à Roland Agret, les copies manuscrites de ses démarches, dont cette lettre.

Renée ne l’a jamais invité à sa table, ni notre famille non plus et, à vrai dire, elle n’entretenait guère de rapports avec le blogueur. Elle a du le rencontrer maximum trois fois. Mais elle n’aimait pas les conflits et s’est adressé au détective en termes très gentils, même si elle n’en pensait pas moins. La décision de le remercier s’est prise autour d’une table, avec la volonté de Dany et Roland Agret qui n’était pas là, n’a rien imposé. Depuis des années, il agit en concertation avec nous et s’il exige de quelqu’un, c’est bien de lui !

Donc, il a été dit que la contre enquête du détective devait être partagée en deux, avec Corinne Justice. En voici une autre preuve, qu’il se garde bien de publier. Même Roland Agret était spectateur de ses grandes investigations.

Une autre démonstration, s’il en fallait une, de l’acharnement du blogueur à « ne vouloir dénoncer que la vérité ». Son fan’s club pourra apprécier…

En plus nous, la famille, sommes bien au courant de ce qui a été fait et par qui.

Mais c’est vrai que, « petites gens » par rapport « au spécialiste », sommes bien incapables de comprendre comment on peut mener une enquête aussi importante, sans avoir investie la maison des meurtres… Et nous en avons les preuves. Tout ça contre 18 250 euros, pour nous, la pilule est amère.

Les termes de la lettre de la pauvre Renée sont en effet révélateurs, les vôtres aussi Roger.


SOURCE : Extraits du blog du groupe Renée Leprince


Modifié en dernier par Marathon le 23 nov. 2008, 22:16, modifié 1 fois.

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MessagePosté :31 août 2008, 21:24 
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Enregistré le :31 janv. 2008, 14:52
Messages :917
26 Août 2008
Groupe Renée Leprince

à

Roger Marc Moreau

"Le spécialiste de la contre enquête
77 rue Gloriette
71 100 Chalon sur Saône



En lettre ouverte

Monsieur "le spécialiste de la contre enquête",

Malgré les nombreuses demandes de Dany, de la famille et du Groupe, vous n'avez jamais répondu aux questions précises que nous vous posions.
Nous réitérons ces demandes en lettre ouverte, avant de prendre d'autres mesures, parce que nous en avons assez de nous sentir méprisés par votre silence.

En plus, vous le grand détective devenu blogueur, vous nous faites passer pour des gens à la botte de Roland Agret, vous nous prenez pour qui ?

Nous lui avons demandé de produire son enquête et il l'a fait immédiatement. On peut la consulter sur notre blog.

En conséquence :

-1) Nous vous demandons, dans les meilleurs délais, de nous produire la vôtre bien détaillée. Elle doit être très intéressante et même surprenante, puisque vous n'êtes allé qu'une seule fois sur les lieux des crimes pour vous faire filmer devant le perron, sans autorisation des propriétaires, qui ont déposé plainte pour violation de propriété. Ils témoignent d'ailleurs qu'il n'a jamais été question d'enquête ou de Dany, seulement une demande de filmer qu'ils ont refusée. Sur une affaire aussi grave, enquêter sans connaître à fond tous les lieux intéressant les crimes, nous n'avons jamais vu ça ! Mais par souçi d'honnêteté nous sommes persuadés que vous allez vite nous expliquer vos méthodes extraordinaires.

-2) Comme la pauvre Renée vous a déboursé 18250 euros et malgré toutes vos belles promesses, n'a jamais eu de justificatifs sur l'emploi de cette somme, nous vous les réclamons encore aujourd'hui, parce que tant d'argent pour des personnes en détresse, contre rien sinon six auditions même pas signée des témoins, sans aucune valeur pour la Justice, nous estimons votre prestation bien légére par rapport à son coût.

-3) Par respect de la mémoire de la pauvre Renée, nous vous prions de retirer immédiatement les utilisations et insinuations que vous en faites sur votre blog inqualifiable, qui à notre avis, vous discrédite à vie et prouve que vous êtes bien loin de vous soucier de la vérité comme du sort de Dany. D'ailleurs, dans sa lettre vous retirant l'affaire, bien trop gentille à notre goût, elle vous demandait de "restituer le dossier dans son intégralité", sans vous autoriser d'en faire une photocopie. Ce que vous avez fait pour l'utiliser à des fins personnelles. Drôle de façon d'agir et selon nous, de se moquer d'elle.

Nous espérons une réponse rapide de votre part, ce qui serait la moindre des choses et à défaut, nous prendrons d'autres décisisons.

Groupe Renée Leprince
Sophie Hemonnet


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MessagePosté :17 sept. 2008, 09:11 
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Enregistré le :31 janv. 2008, 14:52
Messages :917
Après la découverte, en avril, de l’ADN de Martine Leprince mêlé à celui de la petite Audrey, une des victimes de la tuerie de Thorigné-sur-Dué (Sarthe), des cheveux et une trace de sang « oubliés » vont être analysés.

Depuis que Roland Agret et Nicolas Poincaré, auteurs du livre Condamné à tort, l’affaire Leprince (éd. Michel Lafon), réétudient le dossier point par point, qu’ils en soulignent incohérences et ratés, les rebondissements se multiplient. Leurs cinq années de travail ont été déjà largement récompensées, puisque la commission de révision des condamnations pénales a ordonné un complément d’information en 2006.

Un an plus tard, la présidente Martine Anzani s’en saisissait, entreprenant l’examen minutieux des éléments susceptibles de justifier la tenue d’un second procès qui permettrait à Dany Leprince de batailler équitablement, et de prouver son innocence (lire par ailleurs le rappel des faits). Les nouvelles investigations menées pour éclaircir les zones d’ombre d’une l’instruction bâclée visaient surtout les scellés égarés et/ou inexploités. L’évolution des techniques laissait supposer que leur contenu pourrait désormais « parler ». Bien vu : en avril, on apprenait que l’ADN mêlé à celui de la jeune Audrey sur un couteau à manche jaune était « compatible avec celui de Martine Leprince », l’ex-épouse du condamné Dany.

Une poignée de cheveux dans la main Sandra.

Aujourd’hui, une autre trace, relevée cette fois sur un couteau à manche noir qui avait été abandonné, cassé, dans le salon des Leprince massacrés, va révéler son secret. Le scellé qui le contenait, retrouvé au CHU de Nantes, a été transmis aux experts à des fins d’analyse. Une certitude déjà : il s’agit d’un ADN masculin, et ce n’est pas celui de Dany Leprince. Un « détail » dont la juge disposait en 1994 mais qui avait été laissé de côté, faute d’expertise concluante.

Autre avancée spectaculaire, la découverte d’un deuxième scellé, toujours dans les archives du laboratoire nantais. A l’intérieur, une poignée de cheveux que la petite Sandra Leprince, l’autre fillette tuée, serrait dans sa main refermée comme une preuve de lutte avec son meurtrier. Les scientifiques s’étaient, hélas ! heurtés à un obstacle de poids : l’absence de bulbes, autrement dit de la racine, empêchait d’établir une empreinte génétique. «
Les progrès sont tels que chaque cheveu va être repris et étudié, explique Roland Agret. Et nous avons bon espoir que l’un d’eux soit exploitable. » Si c’est le cas, on saura notamment si la touffe arrachée correspond à la chevelure d’un homme, et s’il ne fait qu’un avec l’individu qui a laissé son sang sur le couteau noir. Pour autant, les résultats ne fourniront pas le nom du coupable, à moins qu’il ne soit fiché. Mais la présidente Anzani pourra faire procéder à des prélèvements d’ADN dans l’entourage des Leprince.


Une affaire aux multiples mystères
La vie de Dany Leprince bascule lundi 5 septembre 1994. Ce matin-là, les corps de son frère Christian, de sa belle-sœur Brigitte et de leurs petites filles, Audrey, 10 ans, et Sandra, 6 ans, sont découverts dans leur pavillon de Thorigné-sur-Dué, un village de la Sarthe. Tous ont été massacrés à coups de feuille de boucher, une sorte de hachoir, et de couteau. Au premier étage, les gendarmes trouvent la petite dernière de la famille Leprince, Solène, 2 ans. La fillette rescapée se tient prostrée dans sa chambre. Dany Leprince habite à une quinzaine de mètres, il n’a rien vu ni entendu alors que la tuerie a été perpétrée en soirée, la veille. Dany a un alibi, il rendait service à des voisins, mais dans son emploi du temps il reste un trou de trois minutes et six secondes. En dépit de l’impossibilité de tuer, seul, quatre personnes en un délai aussi court, l’enquête se concentre sur lui. D’autant plus aisément que son épouse Martine et sa fille Célia l’accablent.

Le mobile ? Dany l’agriculteur trimait comme un fou pour joindre les deux bouts et Christian, garagiste, roulait sur l’or. La jalousie et un coup de folie font du petit frère un coupable idéal. A l’issue de quarante-six heures de garde à vue, épuisé, il avoue le meurtre de Christian, mais nie les autres crimes. Quand il se rétracte, il est, hélas ! trop tard. Le 16 décembre 1997, il est condamné à la perpétuité, assortie de vingt-deux ans de sûreté.

Parmi les multiples énigmes de cette affaire, n’en citons que deux.

1. Pourquoi n’a-t-on jamais retrouvé une seule empreinte ADN de Dany Leprince dans la maison mais, au contraire, d’autres, inconnues, notamment sur une arme du crime ?
2. Pourquoi relève-t-on les traces de pas de deux tueurs, les unes faites par des chaussures de femme, les autres par des Doc Martens d’une pointure ne correspondant pas à celle de Dany, qui d’ailleurs ne possédait pas de souliers de ce type ?


Roland Agret, président d’Action justice

FRANCE-SOIR. En avril dans nos colonnes, vous exprimiez votre confiance. Vous aviez bon espoir que Dany Leprince soit bientôt libéré. Où en est-on ?

ROLAND AGRET. Eh bien! nous attendons, et j’avoue que c’est insupportable. Cette attente a un caractère inhumain. La commission de révision est saisie de ce dossier depuis deux ans et demi et elle dispose de nombreux éléments justifiant une remise en liberté de Dany. De notre point de vue, Nicolas Poincaré et moi-même, toutes les preuves de son innocence sont désormais réunies. Alors il faut arrêter ce carnage judiciaire et prendre une décision : soit on laisse Dany crever dans sa cellule, soit on le libère et on lui accorde un second procès.


Vous avez été reçus à l’Elysée et à la chancellerie au printemps. Y a-t-il eu une suite encourageante ?

Les conseillers que nous avons rencontrés, et qui ont relayé la demande de grâce présidentielle, ont été extrêmement sensibles à nos arguments. Mais cette affaire, infamante pour la justice, embarrasse ceux qui doivent trancher. Aujourd’hui je poste deux lettres adressées aux conseillers du chef de l’Etat et du garde des Sceaux, nous redemandons une audience pour les informer des évolutions. Et les avocats de Dany, Mes Yves Baudelot et Jean-Denis Bredin, mettent la dernière main à un mémoire destiné à la commission de révision. Ce sont eux qui ont demandé de nouvelles expertises des scellés retrouvés intacts au CHU de Nantes, alors qu’on les croyait détruits, comme tant d’autres !


Après l’identification de l’ADN de Martine Leprince mêlé à celui d’Audrey, la commission a-t-elle procédé à de nouveaux interrogatoires ?
Le policier à la retraite qui rapportait les déclarations d’Yves Compain, oncle de Martine Leprince, a confirmé les propos entendus : « S’il le faut, je parlerai, car je sais beaucoup de choses sur l’affaire de Thorigné. C’est Martine qui a fait le coup », indiquait notamment l’oncle. Il a ajouté qu’il était sûr qu’Yves Compain disait la vérité. Je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas eu d’autres auditions.


Comment va Dany Leprince ?

Pas très bien. Heureusement, sa femme Béatrice lui tient la tête hors de l’eau. Il tient le coup grâce à elle, qui effectue l’aller-retour deux fois par mois entre son cabinet médical de Bordeaux et la centrale de Poissy, en région parisienne. Elle a repris des études de criminologie et se concentre sur tous les éléments pouvant être génétiquement exploités en 2008.

Sources : France Soir / Groupe Renée Leprince


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 Sujet du message :
MessagePosté :23 oct. 2008, 19:37 
Hors ligne

Enregistré le :31 janv. 2008, 14:52
Messages :917
Dernière nouvelle :
Alors que Moreau continue d'agiter sur son site et sur son blog ses imprécations bien virulentes sur la plainte en diffamation qu'il avait lancée contre Roland Agret, Nicolas Poincaré et l'Editeur Michel Lafon, à propos d'un passage du livre "Condamné à tort", il faut savoir que ce dernier s'est désisté de sa plainte en date du 10 octobre 2008, ce qui n'est pas anodin et fort révélateur.
Du coup, les défendeurs lui réclament 5000 euros sur l'article 700 et tous les dépens.
Nous pensons que par erreur, il a oublié de le signaler, nous le faisons à sa place

Groupe Renée leprince Action Justice


Copie de la plainte sur le site de Monsieur Roger-Marc Moreau

http://www.rogermarcmoreau.com/


Modifié en dernier par Marathon le 23 nov. 2008, 22:19, modifié 1 fois.

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