Je donnerai tout pour résoudre l'énigme, je sais seulement que Luc Tangorre dit la vérité, ils n'a pas varié dans ses déclarations, lui, du 24 octobre 1988 au 8 février 1992. Ses accusatrices peuvent-elles en dire autant du 23 mai 1988 à ce même 8 février 1992 ?
Il a exigé d'emblée les empreintes génétiques, et il était dans une impréparation totale le 24 octobre 1988 lorsqu'on est venu l'arrêter (pas le moindre "objet à charge" dissimulé, pas le moindre alibi invoqué tout de go, difficulté à se souvenir du jour incriminé, etc...). Mais il aurait préalablement, paradoxalement, briffé neuf faux témoins dont une mamie et un sous officier qu'il ne connaissait même pas ? Comment le rationalisme de Jack concilie-t-il ces incohérences ?
Si Luc Tangorre mentait, il serait d 'une incommensurable niaiserie, il ne lui aurait plus manqué, pour reprendre ce que soulignait Jacques Derogy dans l'Evènement du Jeudi en novembre 1988, qu'une carte d'identité et un autographe remis à celles qui se prétendent "ses victimes".
Luc Tangorre dit la vérité, rien hormis "LES DIRES" de ses accusatrices évidemment, n'a jamais prouvé le contraire. Les "DIRES" de Jennifer Mac Cluney et Carole Ackerman sont justement d'une géométrie à ce point variable que Jack gagnerait à cesser un jour de les accueillir comme parole d'évangile, voire comme la parole du dieu des enquêteurs en personne.
Pour le reste, je rejoins une fois de plus tout ce que disent Didi, Danou, Bruno, Socrate, Jo et Chantal, sous forme dédoublée ou non. Je remercie chaleureusement nos administrateurs (Sophie et Ludivine) d'avoir permis ce débat. Nous leur devons sa qualité qui est notre fierté. Pas d'empoignade stériles, pas d'injures sur ce forum... Il faut s'en féliciter et veiller à ce que cela perdure.
Les problèmes étant correctement posés, ces jours derniers, j'observe que Danou comme Socrate excellent dans l'art et la manière de les décortiquer, d'interpréter, d'échafauder des hypothèses, Bruno et Chantal dans celle d'observer, de chercher, de trouver, de raisonner aussi. chacun est libre ensuite de se forger une intime conviction.
La certitude intime n'appartient pour l'instant qu'à Carole Ackerman, Jennifer Mac Cluney et consorts, ainsi qu'à Luc Tangorre lui-même.
Jacques B., Henri, Ange69, Davy, Arlaten, Ymasse, Gihel, cookie, Anna, Daniel, Leroye, Claude vinals, Rosalita, Saulot, Emmer71, Marie, Gloups, Dalakhani, Atlas22, Sido, Joaquin, JPasc95, Morticia, Marcou, Noway, Mel (plus ceux que j'oublie sans doute, qu'ils me pardonnent, je les remercie également au passage pour leurs interventions) ont eu ce génie d'enrichir le débat depuis quelques mois....
Que tous les visiteurs soient également chaleureusement remerciés, même s'ils n'interviennent pas ( jamais ou pas encore). leur visite est un cadeau !
Luc Tangorre n'aurait jamais dû être condamné parce qu'il n'a jamais été en présence des Américaines qui l'accusent avant le 24 octobre 1988. Comme dit Gabin dans l'une de ses chansons, "c'est tout ce que je sais, mais ça je le sais" !
L'étude du dossier, malgré son incroyable partialité, ne devrait pouvoir convaincre quiconque du contraire, ou alors sans le moindre début de preuve digne de ce nom, sur la seule foi que le dieu des enquêteurs, s'il existe, attend d'eux en se frottant les mains.
_________________ Qui bono ?
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