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Message non luPosté :21 mai 2005, 23:30 
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Je n'y ai jamais pensé une seule seconde, mais bon. :shock:

La petite n'est pas "le reste" mais ce que lui appelle "le reste".

Oh, que c'est compliqué. :cry:

Et, pui, il avait qu'à s'expliquer.

Je ne peux pas penser pour lui et c'est tant mieux. :wink:


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Message non luPosté :21 mai 2005, 23:33 
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Ah certes, maintenant pour s'expliquer, ce sera difficile...


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Message non luPosté :22 mai 2005, 12:44 
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Citation :
La phrase cesse d'être énigmatique si on la rapporte au père.

Je ne comprends pas pourquoi vous insistez pour la rapporter à Martinez. Cela n'amène rien puisqu'il ne l'a vu que deux secondes, le temps du tête à queue.

Il n'a rien à faire payer à Martinez cela me semble évident, en revanche vis-à-vis du père, il y a un contentieux, cela me semble tout aussi évident.
je trouve cette phrase très étonnante;

p. 35 du POR: "L'inconnu [cr] ajoute que le reponsable de la collision lui remboursera les dégâts, et il termine de manière enigmatique: "Je lui ferai payer ca et le reste""

le reste ca pourrait très bien être les pantalons, tachés de boue, sa roue de secours et le stress psychologique causé par l'accident...
d'ailleurs ds la champignonière, comment a t il pu changer sa roue ds l'obscurité?, cat il semble qu ca soit sombre dedans


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Message non luPosté :22 mai 2005, 13:19 
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Dès que j'aurai fini le montage je vous montrerai ça, oui là où il se réveille on n'y voit rien. Non il a changé sa roue après.


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 Sujet du message : .... et le reste
Message non luPosté :21 juin 2006, 12:14 
Citation :
Il n'y a pas de mystére là -dedans.

Ranucci bréle un stop et crée un accident.

S'il va faire payer ça et le reste, c'est qu'il ne considére pas que celé est de sa faute.

Pourquoi?

Je vous laisse la réponse.
Bonjour Laurence,

Dans la remarque de CR à  Guazonne, je pense que la 2éme partie de la phrase peut tout de méme donner à  penser. C'est ce "reste" qui me laisse songeuse. S'il n'y avait pas ce mot, les choses seraient sans mystére : il parle de Martinez, car il se considére (é tort, de toute évidence) comme non-fautif dans cet accident et est convaincu que c'est VM qui lui est rentré dedans. Mais ce "reste" à  Bien sér, il est possible que cela n'ai aucune signification précise, qu'il ait dit ça comme ça, pour finir sa phrase, comme cela nous arrive à  tous de temps à  autre, machinalement et sans raison particuliére.
Mais si ce "reste" a une signification précise, on peut l'interpréter tout aussi bien dans le sens de l'innocence que de la culpabilité.

1. (Innoncent)

-
Il me paiera le fait de me retrouver dans une situation que je ne comprends pas moi-méme : me réveiller enlisé dans une galerie inconnue, couché à  l'arriére de ma voiture, étre obligé d'aller chercher du secours pour me sortir de lé aprés avoir essayé en vain de m'en sortir moi-méme, en m'écorchant les mains, etc.
Et dans ce sens, à  qui fait-il allusion à 

Toujours à  Martinez, qu'il tient pour responsable de l'accident qui a fait qu'il s'est affolé (peur du retrait de permis, perte de son travail), puis s'est effondré inconscient pour se retrouver dans ce bourbier qu'il ne comprend pas ?
Cette interprétation laisse la place à  la fameuse intervention de l'OPR imagin?e par Gilles Perrault. Elle n'est pas impossible mais, je ne sais pas ....méme à  l'époque où je penchais nettement pour l'innocence, elle m'a toujours fait l'effet d'étre .... une construction. Possible certes mais peu crédible.
Une construction d'avocat. Pourquoi l'OPR aurait-t-il opté pour une solution aussi tordue au lieu de décamper en vitesse à  Imaginez : il lui aurait fallu rçaliser cette opération difficile et longue - basculer un corps d'adulte inerte sur la plage arriére - sur une route où n'importe qui pouvait le voir effectuer la manoeuvre. Je vois trés bien cet épisode dans un thriller. Dans la vie...... mmmhhh ..

Fait-il allusion à  son pére à 
Il faudrait alors interpréter la fameuse remarque comme : "Il paiera le fait de m'avoir tellement mal reçu que j'ai repris le volant dans un état d'émotion et de rage indescriptible qui a entraéné cet accident (et peut-étre aussi l'enlisement incompréhensible dans la galerie). Et il me paiera aussi le reste : une enfance bouzill?e par la peur, le manque de présence paternelle, le traumatisme d'avoir vu ma mére bless?e au couteau par mon pére, etc.).
Cette visite à  son pére n'est ni impossible (témoignage de la tante) ni psychologiquement invraisemblable, au contraire (remarque de Mme Mathon). Et la direction dont il venait colle avec cette visite. Mais tout cela ne fait pas une certitude, comme semble le considérer Gihel, qui fait de cette visite un véritable postulat.

2. (Coupable)

- Il parle de Martinez : "Cet enfoir?, qui est responsable de l'accident, m'a tellement affolé que non seulement j'ai pris la fuite (perte de permis/ travail) mais encore m'a fait commettre un crime horrible alors que je n'en avais pas l'intention, que je voulais simplement amener promener cette petite !". (Entre parenthése, cette envie soudaine d'aller se promener avec un enfant m'a toujours parue totalement invraisemblable : un jeune de 20 ans sans problémes psychologiques a envie d'emmener promener une fille de son ége qui lui plaét. Ou un gar?on s'il est homosexuel. Pas un enfant, sinon, il y a quelque chose qui cloche).

- Il parle de son pére, en se faisant à  peu prés le méme raisonnement que plus haut ("Si ce pére qui a déjé détruit mon enfance et mon adolescence ne m'avait pas jeté / mal reçu, je n'aurais jamais ni eu d'accident ni enlevé ni tué une gamine").

Danou


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Message non luPosté :21 juin 2006, 12:35 
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Il ne manquait que Martinez responsable de l'accident.

C'est fait et la boucle est bouclée.

Entre le pantalon qui est à  Ranucci, mais comme il a pas été bien tapé à  la machine, alors il est pas à  Ranucci alors que lui et maman disent le contraire,

et pi, le sang qui est de la terre, aprés c'est le sang de la gosse et pi aprés c'est le sang de Ranucci quand il est tombé de mobylette et le pantalon, il le porte le lundi et aprés le pantalon traéne dans le garage et aprés il est dans le coffre de la voiture

entre le couteau qui est à  lui, et aprés il est plus à  lui, et les policiers/gendarmesé che pas trop, qui le cache (le couteau)

Ah oui, on a les Aubert qui ne disent pas au mm prés où est la gosse, car eux, au passage savent bien sér qu'elle est morte et où elle a été cach?e, alors franchement, avec tous ces éléments, ils ne savent pas où elle esté c'est pas sérieux Aubert!

Un truc succulent aussi: la mort de la gosse est une ballade qui a mal tourn?e, ça ne géne personne visiblement.

A quand la faute à  la gosse?


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Message non luPosté :21 juin 2006, 12:44 
Bien sér, et puis des témoins à  décharge qui sont écartés de l'instruction men?e par la délicate Ilda di Marino.

Ces charmants policiers marseillais qui établissent la culpabilité de Ranucci avant méme de l'avoir interrogé.

Sans oublier toutes les sinsultes pour accabler Ranucci, du genre pédophile, lopette, etc etc...

Bon, si vous étes ravi d'avoir un coupable, c'est votre droit.

Moi ça ne me convient pas du tout.


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Message non luPosté :21 juin 2006, 12:54 
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Faut pas tout mélanger, cette enquéte a été baclée et je ne reviens pas dessus.

Je constate juste qu'on veut absolument que les policiers/gendarmes aient trouvé un couteau et en ont fait Ranucci propriétaire et utilisateur dudit couteau: ce qui est une accusation extrément grave.

On veut absolument, maintenant, que le pantalon bleu ne soit pas à  Ranucci et pourquoié à  cause d'un procés verbal.

Méme si les experts sont d'accord, en quoi ça ne fait pas de Ranucci le propriétaire de ce pantalon?

Tou ça pour dire que cette histoire est une invention, JP, une pure invention qui va devenir une rçalité dans peu de temps......

Je comprends plus... JP


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Message non luPosté :21 juin 2006, 13:11 
Pour le couteau, je sens qu'il y a une magouille policiére mais je ne peux l'affirmer car je n'ai pas de preuve formelle.

Pour le pantalon, je ne crois pas que Ranucci ait contesté en étre le propriétaire. Sa mére non plus n'a jamais contesté que ce pantalon appartenait à  son fils.

En conséquence, je ne crois pas qu'il faille s'attarder sur ce pantalon, sauf pour l'analyse ADN, à  condition qu'il ait été convenablement conservé.

Il faudrait plutét s'attarder sur le couteau. C'est quand méme fou que les policiers n'aient pas cherché à  déterminer la provenance de ce couteau.

mais encore une fois, méme si ce couteau lui appartient, ça n'implique pas de maniére indiscutable qu'il s'en est servi pour tuer la petite. Il n'y a pas un caractére d'automaticit


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 Sujet du message : Question ? Laurence
Message non luPosté :21 juin 2006, 13:29 
Citation :
Il ne manquait que Martinez responsable de l'accident.

C'est fait et la boucle est bouclée.

Entre le pantalon qui est à  Ranucci, mais comme il a pas été bien tapé à  la machine, alors il est pas à  Ranucci alors que lui et maman disent le contraire,

et pi, le sang qui est de la terre, aprés c'est le sang de la gosse et pi aprés c'est le sang de Ranucci quand il est tombé de mobylette et le pantalon, il le porte le lundi et aprés le pantalon traéne dans le garage et aprés il est dans le coffre de la voiture

entre le couteau qui est à  lui, et aprés il est plus à  lui, et les policiers/gendarmesé che pas trop, qui le cache (le couteau)

Ah oui, on a les Aubert qui ne disent pas au mm prés où est la gosse, car eux, au passage savent bien sér qu'elle est morte et où elle a été cach?e, alors franchement, avec tous ces éléments, ils ne savent pas où elle esté c'est pas sérieux Aubert!

Un truc succulent aussi: la mort de la gosse est une ballade qui a mal tourn?e, ça ne géne personne visiblement.

A quand la faute à  la gosse?
Excusez-moi, Laurence, mais je suis nouvelle sur le forum et nulle en informatique de surcroét. De sorte que je ne suis pas sére de bien comprendre le fonctionnement de ce site et suis encore en train de tétonner.
C'est ainsi par exemple que je n'ai pas trés bien compris si le texte signé de vous que je cite ci-dessus, et qui vient juste aprés mon dernier message, est une réponse à  ce que j'exposais dans ce message.

J'aurais tendance à  penser qu'il ne s'adresse pas à  moi mais peut-étre à  Gihel, mais, au cas où il s'adresserait bien à  moi, je ne comprends vraiment pas vos sarcasmes, car il est bien évident que, méme si je parle beaucoup de Martinez dans mon message, il n'est pas question de lui attribuer une responsabilité quelconque dans le meurtre. J'essayais simplement de me mettre dans l'état d'esprit de CR au moment où il a prononCa cette phrase ("Il me paiera cela et le reste") et de lui trouver des interprétations possibles. Et ce, tant dans une optique d'innocence que de culpabilit?, car je fais partie des "agnostiques" dans ce domaine.

Amicalement

Danou


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Message non luPosté :21 juin 2006, 14:04 
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J'aurai pu étre un peu aimable, il est vrai.

Je te fais mes plus plates excuses.

on a pas mal discuté sur la responsabilité de chacun dans l'accident.

je dirai simplement que Ranucci aurait du passer aprés le passage de Martinez.

Alors, tu comprends bien que sa phrase "je lui ferai payer ça et le reste"me laisse perplexe.

Mais je ne connais pas le personnage.....


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 Sujet du message :
Message non luPosté :21 juin 2006, 14:20 
Mais moi aussi, elle me laisse perplexe. Et c'est bien pourquoi je lui ai consacré tout un message en essayant de lui trouver toutes les interprétations possibles, sans pouvoir me forger personnellement une conviction, d'ailleurs.

Ce n'est pas tant le ton de votre réponse qui m'avait étonnée, mais plutôt le fait que vous ne sembliez pas avoir compris mon propos, qui n'était bien sûr pas d'accabler ce pauvre Martinez, ni personne d'autre. Je m'essayais seulement à  une "explication de texte" sur cette phrase bizarre prononcée par CR.

Amicalement
Danou


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Message non luPosté :22 mars 2018, 21:12 
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Bonsoir,je lis ce forum,vraiment très complet, depuis quelques années déjà car j'ai toujours été interessée et intriguée par cette affaire et j'avais lu le livre "Le pull- over rouge pour un cour à l'école .Depuis j'ai pratiquement retrouvé et lu tous les écrits relatifs à l'affaire .J'ai beaucoup lu mais peu publié et je me permets de poser une question dont je ne trouve pas la réponse ,si qqn peut m'éclairer? Je me demandais qui était absent CR ou Mme Mathon de leur appartement le jour avant son arrestation c-à- d le 4juin,car comme il a été placé en garde à vue le 5 juin ,je me demandais si on avait des renseignements sur ce 4 juin car Mme Mathon dit l'avoir revu seulement le soir du 5juin???Merci de vos réponses .


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Message non luPosté :04 août 2018, 23:19 
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Bonsoir

Puisque vous expliquez avoir lu bon nombre de documents sur l'affaire, je ne peux que vous renvoyer à la lecture du récapitulatif de C. RANUCCI lui même.
Il y explique en effet ceci:

"[...]
Mardi 4 juin 1974.

Le congé est terminé, je me lève à 7 h 40 et me prépare afin de partir à 8 h 45. A 9 heures je gare ma voiture devant les Ets Cotto, où je travaille en qualité de représentant. Retour chez moi de 12 heures à 13 h 45. Fin de journée vers 18 heures.

Mercredi 5 juin 1974.

Même horaire. Toujours visites aux clients des Ets pour les premières prises de contact. Quelques commandes prises. Retour le soir chez moi à 18 heures passées.
A peine la porte de l'appartement fut-elle refermée que j'entendis la sonnette. J'ouvris. Il y avait deux gendarmes. L'un me demanda si j'étais Ranucci Christian. Je répondis que oui et demandai ce qu'il y avait. I1 me demanda si j'ai eu, il y a trois jours un accident de la circulation dans la région marseillaise. Je répondis qu'effectivement j'ai été victime d'un accrochage assez sérieux qui va m'obliger à changer une portière et une aile.
Il me dit alors que je dois me rendre à la gendarmerie. Je les fais entrer et leur demande de patienter un instant. Je cherche ma mère dans l'appartement pour l'avertir qu'il faut m'absenter un moment. Sans la trouver. Puis je vais au réfrigérateur prendre un grand verre de coca glacé. Je sacrifie le sandwich que je comptais me préparer, et nous partons vers la gendarmerie distante de 200 mètres.
Trois jours étaient passés depuis cet accrochage au stop, où ma voiture, après que je me sois évanoui, s'était retrouvée bizarrement embourbée dans un tunnel de champignonnière et où je ne l'ai dégagée qu'après avoir perdu plusieurs heures de week-end, et je n'y pensais plus hormis le fait qu'il me faudrait faire changer une aile, une portière à grands frais chez un garagiste. En passant la porte d'entrée de la gendarmerie, je me demandais si mon délit de fuite stupide allait être sanctionné par un retrait de permis et de combien mon assureur risquait de me taxer ma prime d'assurance.
Dans un bureau de la gendarmerie Corniche-Fleurie, un gendarme, le chef sûrement, me pria de m'asseoir et de lui donner quelques détails sur cette fameuse collision. Je la lui raconte donc, en omettant toutefois de dire que j'avais bu pendant toute la nuit de la veille et que je ne me trouvais pas tout à fait apte à conduire ce jour-là. Quelques minutes d'entretien s'écoulèrent autour de cet accident. Ensuite l'on me fit patienter - il attend, dit-il, un coup de téléphone de Marseille. Nous attendîmes un moment. Puis l'on me conduisit dans un petit car de police qui nous amena au commissariat Gioffredo à Nice centre. Je commençais à m'inquiéter un peu, je voyais mon permis de conduire s'envoler.
Dans ce commissariat l'on me passa des menottes ! et l'on m'ôta ma ceinture !
Je demandai des explications, en vain. Après une quarantaine de minutes d'attente, des policiers en civil m' « embarquèrent » dans une Mercedes. Départ en direction de Marseille. I1 était vers les 20 heures. Nous passâmes par la Corniche-Fleurie et un policier prit le volant de ma voiture. Elle nous suivit tout le long du trajet. J'étais assis à l'arrière de la Mercedes, avec sur ma gauche un policier en civil, par la suite j'appris qu'il était commissaire, se nommait Alessandra. De type méditerranéen, taille moyenne, plutôt petit, corpulent, une tête d'honnête citoyen.
J'avais les menottes attachées dans le dos. Aucune explication ne me fut donnée.
[...]

_________________
"ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort."
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