Citation :
Sous ses dehors bonhomme, William est effectivement un dogue qui ne lache pas facilement son os.
Je vois que vous connaissez ...

Oui, il a quelque peu ce tempérament
Mais il est avant tout passionné dès qu'il attaque un nouveau sujet d'investigation.
Citation :
Si celà vous intéressait vraiment, Ludivine, je dois toujours posséder dans le fin fond de ma bibliothèque le livre de Nogguchi.
Bien evidemment, je suis intéressée, je vous remercie.
Je ne voudrais cependant pas vous en déposseder...tel un vulgaire vautour
Citation :
En résumé, concernant l'examen médico-légal de Marylin, il convient aussi d'ajouter qu'aucun récipient d'eau ne fut retrouvé près du corps... or, en admettant que cette prouesse d'absorbtion extravagante eut été capable, jamais elle n'aurait pu être possible sans boire... et l'estomac de Marylin ne contenait pas d'eau... d'autre part, si mes souvenirs sont exact, le seul verre retrouvé été propre comme sortant du lavage.
Autre indice troublant ; la disparition du carnet rose de Marylin, où elle notait toutes les reflexions de JFK dont les connaissances la complexaient; la pauvre se voyait deja 1° dame des Etats unis ! Disparu le soir du drame, ce carnet aurait contenu des confidences géopolitiques de JFK passées sur l'oreiller. La théorie de la présence de Bob la veille de sa mort reposerait essentiellement sur la récupération de ce carnet.
Marylin aurait accepté la "passation" à Bob en croyant que John lui reviendrait par la suite... Les choses du sexe intéressaient médiocrement la jeune femme. Sans doute les séquelles traumatiques du viol dont elle fit l'objet à 9 ans. Elle ignorait tout de l'orgasme et trouvait les exercices physique banaux ( autre bouquin qui doit trainer dans ma bibliothèque signé par un producteur pilier d'Hollywood; Marshall, si je ne m'abuse)... Ce qui ne l'empêchait cependant pas d'être intérieurement rongée par ce "handicap" de l'amour.
Réalisant qu'elle avait été prise pour une dinde, elle s'était récriée ; "s'ils me prennent pour un morceau de viande, ils vont voir !). Paroles imprudentes !
Autre "gracieuseté" vécue par la pauvre, Sinatra n'aurait pas hésité à la droguer pour la livrer à la concupiscence de Giancana qui partageait, déjà ! avec JFK une autre conquête ; Judith Exner (ortho non garantie) messager dont les formes aussi appétissantes étaient aussi réputées au sein de la Mafia que l'hospitalité de son jardin secret... enfin, si l'on peut dire sans tomber dans l'excès du "public", l'accès graçieux n'ayant rien de gratuit.
Merci pour ce résumé...ce qui pourrait être intéressant, ce serait de dresser un comparatif sur tous ces points avec les autres lectures sur le sujet, justificatif éventuellement à l'appui.