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Le fait que Gérard Bouladou ait consacré un chapitre de son livre à Meysonnier m'a profondément dégouttée. J'ai eu l'impression qu'il mettait ce type sur le même plan qu'un témoin comme les autres. Bien sûr, en y réfléchissant, on peut se dire qu'après tout, il pouvait être utile de connaître son témoignage. Mais rien à faire, j'ai eu envie de vomir et de pleurer et ce passage du livre me rend malade.
Ceci n'a absolument rien de capital dans l'affaire mais comme cela fait partie de mes lectures, je m'interroge sérieusement au sujet de ce chapitre consacré à Meyssonnier.
Je viens de terminer la lecture (partielle aux 3/4) du livre de Meyssonnier et c'est clair et certain qu'il n'a absolument rien à voir avec Ranucci puisqu'il n'a jamais officié en France et s'est expatrié vers Tahiti dans les années 60. Son livre est d'ailleurs, dans la partie "boulot", encore bien plus effroyable que ceux d'Obrecht ou de Deibler et il n'était pas préposé au crochetage des jambes mais était "photographe".
Je m'interroge quant au but d'avoir mis ce chapitre dans le livre...Je trouve ça donc doublement déplacé vu que le type en question n'a rien à y faire et ça rejoindrait ce qu'a dit ...(excusez-moi, le nom m'échappe) au sujet de sa lecture du livre : un règlement de comptes avec Perrault et tous ses adeptes.