On pourrait renverser la question, qu'est-ce qui vous motive absolument à y voir un coupable.

Les "innocentistes" comme vous dites, leur motivations sont claires, ils veulent la vérité et la justice sur une affaire qui n'a pas été instruite ni jugée comme elle aurait dû l'être.

Le camp d'en face, c'est plus difficile à cerner : le maintien de l'ordre, les arguments de l'extrême droite, c'est possible. Mais pour le reste, c'est plus brûmeux on va dire.

Ceux qui s'interrogent, ce n'est pas pareil.

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L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.

Je fais partie de ceux qui s'interrogent, mais bon, on tient absolument à me ranger parmi les fachos, et on s'offusque si je m'en offusque, c'est triste, tout de même.

vous exagérez à nouveau

on a jamais dit que vous étiez un facho mais culpabiliste ou si vous préférez inclinant plutôt vers la culpabilité.

Quel que soit le côté où je penche, je ne suis pas encore tombé.

Quant au mot facho, il a pratiquement été prononcé par Gihel (à qui je répondais) à propos des culpabilistes.

Jpasc a raison voyons Marc D,calmez vous,Gihel ne vous traite pas de facho il insinue simplement et en toute sympathie que vous etes partisan de l'extreme droite,vous savez,le pen hitler et tous ces joyeux drilles.

Je me consolerai en me souvenant qu'Hitler n'avait pas que des mauvais côtés : il aimait Wagner, portait sa petite moustache carrée en hommage à Charlie Chaplin, et a inventé la Volkswagen.

c'est marrant que vous vous sentiez visés aussi facilement.

J'ai entendu dire que les communistes mangent les petits enfants.
Les innocentistes sont ils communistes,Gihel?

C'est peut-être bien parce que je reçois tout le temps des projectiles.

Pour vous repondre les amis,je suis culpabiliste parce que j'ai,comme vous,beaucoup reflechi a cette affaire,mais contrairement a vous je n'imagine pas une seconde que Ranucci ai pu etre a ce point malchanceux.
N'y voyez aucune ideologie politique,je suis peut etre pire encore que les fachos que vous detestez tant;je ne vote meme pas.Toutes ces histoires politiques ne m'interessent en rien.

Le problème, c'est qu'il le sont sans preuve. Ce qui veut dire que, quand la preuve sera faite (ce que veulent aussi les culpabilistes et ceux qui cherchent, rassurez-vous), il se peut bien que les innocentistes soient assez déçus par le résultat. Mais bon, ils pourront toujours dire que Ranucci n'a pas eu l'instruction et le procès qu'il méritait, et qu'il avait des circonstances atténuantes, ce pour quoi ils n'auront pas tout à fait tort.

J'ecris ce mail a l'attention de notre chere Ludivine qui sera,j'en suis sur,fort decue de lire ces enfantillages.
Effacez tout ca au plus vite et veuillez accepter mes plus plates excuses pour mon comportement pueril de ce soir.
Sincerement navré de vous avoir donné encore une fois autant de fil a retordre,
Thomas,
Faux cul mais sympa.

C'est normal, les photos ne montrent pas le coin où elle est rangée. Donc on ne peut pas la voir.

Vous oubliez de signaler que les photos ne montrent pas le garage dans son entier.

Pourquoi l'explication vient-elle de Mme Mathon ? Parce qu'il n'y a pas eu d'enquête, on en revient toujours au même point. Et on s'est bien gardé d'interroger Mme Mathon sur ce point durant l'instruction.

Vous travestissez d'ailleurs ce qu'elle rapporte à Gilles Perrault, alors je vais me faire un plaisir de le citer pour rétablir un tant soit peu la vérité : Page 173 de l'édition de poche : "Ce 6 avril est un samedi. Il devra attendre le lundi pour inaugurer la belle auto qu'il ne se lasse pas d'admirer.
Faute de mieux, il se rabat sur le vieux vélomoteur caréné et part faire la tournée des amis. Au retour, il dérape sur les gravillons de la rampe en vérité assezraide menant du chemin de la Lanterne à la résidence. Mauvaise chute à la hauteur de la conciergerie. Il se relève avec le nez et la bouche en sang, et la main droite éraflée. La roue avant de sa machine est voilée ; le pédalier brisé net. Sa mère le vot apparaître le visage en sang. Il la rassure, ses éraflures sont superficielles. Un accident de plus. Le dernier à vélomoteur."

Donc cet accident a eu lieu un mois avant et depuis le pantalon traîne dans le garage. Et c'est là que les policiers le prennent un dimanche soir, quand ils viennent prendre la voiture... Et je trouve que le récit que fait Mme Mathon est suffisamment précis pour qu'on puisse se dire : c'est bien la vérité.

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L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.

Je ne vois pas ce qu'il y a à effacer, Thomas. A part mon hommage au 0,0001% de bon chez Hitler, je veux dire.

C'est toujours la même chose, il ne se souvenait pas de l'accident de vélomoteur du 6 avril comme il ne se souvenait pas de l'accident avec le chien à Marseille.

Donc au moment du procès, il s'en sort comme il peut, mais à la vérité quand on examine les choses, c'est bien le pantalon gris qu'il porte puisque Mme Mathon parle d'un pantalon gris et que M. Guazzone parle lui aussi d'un pantalon gris.

Et personne n'est capable de nous dire quand il se serait changé, attendu qu'il a passé une nuit blanche. Pourquoi partir avec le pantalon gris et mettre ensuite le pantalon bleu ? On n'a pas d'explication pour le moment.

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L'adn du sang se trouvant sur le pantalon bleu doit être analysé et comparé avec celui de Mme Mathon, c'est notre exigence pour connaître la vérité.