Citation :
Je maintiens que Gilles Perrault et Jean-François Le Forsonney ne connaissent pas bien le dossier.
Gilles Perrault affirme dans son livre que le schéma dessiné par CR est un gribouillis sans signification. Confronté à la réalité dans l’émission « le droit de savoir », il bégaye, devient rouge, commence à suer. Son regard montre qu’il cherche ce qu’il va répondre. Et la réponse tombe : il reconnaît que cela correspond, mais alors c’est parce que les policiers le lui ont suggéré. C’est honteux d’affirmer une chose pareille. Et il faudrait savoir, ça correspond ou ça ne correspond pas ?
Que vous, ses explications vous plaisent, cela ne m’étonne pas. Moi je dis que c’est honteux comme explication.
Gilles Perrault peut affirmer qu’il n’y a que des petites taches de sang sur le pantalon alors que le rapport d’examen de VUILLET dit que ces taches sont « importantes, épaisses et homogènes ». Cela vous convient ce que dit Gilles Perrault ? C’est contraire au dossier.
Gilles Perrault peut dire que la date marquée en haut de la fiche de scellé est celle de la découverte du couteau alors que c’est celle de la découverte du cadavre. Et il en déduit qu’il existe un PV de découverte du couteau du 5 juin alors que c’est faux. Ce que dit Gilles Perrault vous convient, moi je dis que c’est honteux. Qu’il apprenne la procédure et on discutera après.
Gilles Perrault est capable de sortir dans l’ émission tournée en Belgique que les taches brunes sur le couteau n’ont pas été analysées alors que le rapport de VUILLET dit le contraire. Vous cela vous convient, moi je dis que c’est honteux.
Jean-François Le Forsonney est capable de dire dans cette même émission que les taches brunes sur le pantalon n’ont pas été analysées alors que le rapport de VUILLET dit le contraire. IL ne connaît pas le dossier. Vous avez dans mon livre la transcription intégrale des rapports de VUIILLET.
Dire le contraire est honteux.
Dans la phrase prononcée par M.MARTINEZ quand il décrit l’accident, les auteurs de la demande de révision de 1990 (dont fait partie Jean-François Le Forsonney) changent un mot de place et ne marquent pas la fin de la phrase pour changer sa signification, c’est honteux.. Mais cela semble vous convenir.
Et il y’a des dizaines d’exemple dans mon livre basés sur le dossier qui montrent qu’on vous raconte n’importe quoi et cela vous convient. Alors restez dans votre rêve de CR innocent basé sur toutes les bétises qui vous ont été racontées. Et demandez à un spécialiste de l’identité judiciaire de relever des empreintes sur des pierres trouvées dans la garrigue. S’il ne meurt pas de rire, vous aurez de la chance.
Gihel et fresh73 ont apporté les réponses conviennent à votre post.
Chacun ici convient de ce qu'il faut prendre et ne pas prendre chez les uns et les autres. Que vous l'expliquiez est légitime et chacun peut le prendre en compte.
Rien de toutes façons n'est plus honteux que de conduire un accusé à la peine capitale sans pouvoir argumenter la moindre preuve matérielle incontestable.
Que des personnes pensent qu'on peut relever des empreintes digitales sur une pierre n'a rien de ridicule. Il suffit de dire que c'est impossible et on n'en parle plus...
Ce qui est plus grave c'est que des empreintes il n'y en a nulle part, ni sur la voiture, ni dedans... Donc que rien n'indique que MDR ait pu y pénétrer.
Rien ne prouve la provenance du sang sur le pantalon comme sur le couteau.
On ne sait rien de l'origine de ce couteau...
Vous même m'expliqiez il y a quelques jours qu'il faut comprendre ce que dit M.Aubert en changeant ses phrases.
Mais tous vos efforts ne produisent pas de preuves de la culpabilité de CR.
C'est sans doute impossible.