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Comme vous voulez, vous pouvez recopier tout Perrault si ça vous amuse mais votre propre cru a pondu ça :
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... nombreux sont les tueurs en séries qui s'en prennent aux animaux, et une des principales caractéristiques de ce type de criminel est une absence totale de remords. Et les propos de Ranucci, à eux seuls suffisent à installer un doute à défaut de l’innocenter.
Alors je le lis et j'en déduis que, selon cette théorie du remord, les méchants, qui n'aiment pas les bêtes, n'ont pas de remords, et que par contre, les gentils, qui n'ont rien fait, en sont bourrés. Heureusement pour eux, ils aiment bien les animaux et c'est pour ça qu'on les reconnaît. À vous aussi, d'ailleurs.
Il est regrettable de me dire que je reprends Perrault alors que ma thèse bien qu'innocentiste n'a que peu de rapports avec Gilles Perrault. Or vous lisez et en déduisez donc vous interprétez à tort, monsieur. Et vous pouvez me citez comme bon vous semble si cela vous amuse. Il n' y a aucune contradiction, je n'ai fait qu’émettre des généralités qui n'ont pas valeur de vérité. Avez-vous fait de la criminologie?
si oui vous sauriez en reliant les affaires de marseille au moment des faits (vincent Papallardo, Jeanne Gandolfe) et les crimes non élucidés en Isère nous mettent en face d'un tueur en série, "l'Homme au pullover rouge". Il y a un mode opératoire commun, qui consiste en une captation de la victime souvent une mineure par un stratagème, un enlèvement via un véhicule et un meurtre pour conclure, avant de cacher la victime dans un lieu isolé de la ville.
Il y a une unité de temps (période de vacance scolaire, jour de marché, jour de fête...), une unité de lieu (cités hlm), et une unité entre les victimes (enfants).
Tout ces éléments permettent d'incriminer Michel Fourniret ! Car son mode opératoire n'est pas seulement ressemblant mais rigoureusement identique.