Citation :
mon avocate qui a gere mon divorce vient de repondre a quelques autres interrogations
vous avez egalement raison, il n y a pas de contre enquete en france qui ferait suite a celle de l' instruction .... a moins d avoir enormement de moyen.
donc pas de raison que les avocats de CR en aient faite une
Mais toutes les pieces du dossier leur sont remises..sinon elle ne seront pas valable pour l accusation.
d ailleurs c est ce que craignait Collard egalement a la sortie du pv du pull over vert...
et l explication pour ne pas avoir fait temoigner le petit est dans les lois: il faut un age de raison et 6ans n en est pas un
il se peut egalement mais elle ne veut pas s avancer, que ce fut un des arguments pour que Di marino ne l entende pas
donc apres tout ceci, oui le jury a ete mené en bateau...mais oui les avocats ont ete en dessous de tout
ils auraient pu releve le pantalon bleu
ils auraient pu relever le couteau
au moins cela!
Mle Marino n'entend pas JB Ramba pcq il est trop jeune. Elle pouvait l'entendre en présence de ses parents.
Quant à M Spinelli, pourquoi ne l'entend-elle pas ? Trop jeune lui aussi ?
Maintenant les avocats :
non, ils n'avaient pas l'intégralité des pièces. Car celles qu'on leur avait cachées (les 5 PV par exemple),
ils ne les avaient pas.
Et c'est pour cela qu'ils ont basé leur pourvoi en cassation sur cet argument (rejeté pour la raison citée plus haut)
Concernant le pantalon, je vous ai déjà précisé que la mention du rajout n'en a été détectée qu'accidentellement lors de l'une des révisions (donc bien après le procès et l'exécution).
Pour ce qui est du couteau également, comment voulez-vous qu'ils s'écrient en cour d'assises "mais ce couteau, il a déjà été trouvé le 5 juin et les policiers l'ont renfoui le lendemain pour une re-découverte le 6 juin" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Alors là, c'était du suicide. Quelles preuves avaient-ils ? seulement à la rigueur une petite intuition. Et même pas d'ailleurs, puisque je vous ai déjà dit que c'était G Perrault dans son livre en 1979 qui fut le 1er à soulever le problème.
En tout état de cause, et même s'ils avaient vu cet élément, ils n'avaient aucune preuve de la machination pour l'étaler en plein tribunal.
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Syd, autre question : a-t-on le droit légalement, a-t-on le droit selon sa conscience, de condamner à mort un accusé dont on a falsifié des preuves pour asseoir la culpabilité, et caché d'autres preuves à décharge, pour le simple fait qu'il a des avocats qui "ne sont pas à la hauteur" ?