Citation :
Bon petit moment de détente, j'ai beaucoup aimé la confection du scoubidou d'un mètre de long avec dragonne faisant office de poignée, à ses moments perdus...
Faux: des lanières, d'un mètre ne font pas un scoubidou d'un mètre, mais vous n'avez vraisemblablement jamais fait du macramé. Il a en outre déjà commencé à faire ce scoubidou.
Pour un fouet un simple noeud aurait suffi. Je n'ai jamais dit que Ranucci ait prévu de travailler à ce scoubidou ce weekend, mais que ces lanières faisaient parti de ses trucs personnels, qu'il a donc mis dans son coffre, comme espace privée. De toute façon s'il a vraiment pensé d'en faire un fouet, ce serait un fouet pour faire le SM . Ce-qui, qui pense , que les pédophiles font d'SM doit se préparer pour la réponse.....honni soit qui mal y pense, ou mieux...chacun mesure les autres à son aune.
Citation :
Vous le voyez il est difficile de trouver un scénario alternatif à celui pourtant bancale de l'accusation , il faut une grosse dose d'angélisme vis à vis du suspect, accepter un concours de circonstances inouï, un hasard qui se serait acharné à la perte d'un quidam et au monde entier qui se serait ligué contre le malheureux.
Ça ne fait pas un peu trop ?
Mais ce n'est pas du tout difficile, il faut juste éliminer l'épisode du meurtre et dissimulation du corps dans 3/4 d'heure au maximum. C'est l’élément le plus important qui fait que l'accusation soit bancale, mis à part que la présence de la victime repose uniquement sur la déclaration de deux témoins dépendants et incohérents .
Il faut une grosse dose de diabolisme vis à vis d'un suspect, persévérer
dans la présomption de sa culpabilité à fur et à mesure, tandis que j'ai bien démontré que la possibilité existe qu'une seule personne s'est acharné contre lui. Une seule personne et pas le monde entier. Une personne en plus qui aurait un fort intérêt.
Pour le restant de votre discours; je n'ai pas de commentaire. Vous en pensez ce que vous voulez. Ce n'est pas du tout important pour établir la culpabilité, sauf dans le cas que vous pensiez que le père soit complice.