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Est-ce que sans les moulages, il était impossible d'avoir la certitude que c'était bien la voiture de Ranucci qui se trouvait dans la galerie dans l'après midi du 3 juin ?
Je suis sûr que non.
Pour que ces moulages aient une importance, il faudrait qu'ils aient permis de démontrer quelque chose de capital par rapport à l'enquête.
Et là, je ne vois pas bien.
Sans moulages on peut éventuellement dire si c'est le même type de pneu par contre je ne pense pas qu'on puisse être certain de la provenance des traces.
Là, ce n’est pas un type de pneu, mais deux. Donc un dessin différent à droite et à gauche. De plus, comme je l’ai dit plus haut, la roue de gauche est équipée d’un pneu clouté (déclouté). Des « détails » qui limitent la possibilité de trouver un autre véhicule équipé de la sorte.
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Avec un moulage c'est plus facile de comparer l'usure des pneus.
Et çà apporte quoi l’usure des pneus qu’il faut déjà « interpréter », comparer aux autres indices qui permettent de confondre le véhicule.
Je réitére la question à laquelle vous n’avez pas répondu : Est-ce que sans les moulages, il était impossible d'avoir la certitude que c'était bien la voiture de Ranucci qui se trouvait dans la galerie dans l'après midi du 3 juin ?
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La deuxieme voiture n'existe que dans votre imagination. L'écartement entre les roues, mesuré par les gendarmes ne correspond pas à celui d'une 304 coupé, mais il y a une autre explication que celle d'une deuxiémé voiture, qui n'est coroboré par...................rien.
Ce qui est sûr, c'est que les gendarmes ont bien identifié, au fond de la galerie, les traces de la voiture de Ranucci.
Les gendarmes ont identifié C. Ranucci comme étant le ravisseur/criminel et ils se sont plantés.
Ce n’est pas exact, mais si vous admettez d’entrée que les gendarmes se sont trompés, n’écartez pas le fait qu’ils aient pu commettre d’autres erreurs.
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Pour les traces au fond de la champignonnière(celles non moulées), c'est physiquement impossible que ça soit celles d'une peugeot 304 coupé. A moins que que cette voiture aie la possibilité d'élargir sa mécanique.
Comme c'est impossible c'est obligatoirement qu'un autre véhicule a stationné dans la champignonnière.
Il est possible d’avancer une explication plus rationnelle que celle ubuesque que vous avancez. D'autant que vous ne cherchez même pas à la coroborer.
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De plus si les traces font penser aux enquêteurs qu'elles appartiennent à la 304 de C. Ranucci, c'est qu'elles sont "comparables" aux autres trouvées(fraicheur,......). Donc c'est qu'elles datent à peu près de la même période que celles de C. Ranucci.
A écouter Guazzone, il est possible de croire qu’il y avait plus d’une trace de roulage. Quand les gendarmes s’intéressent aux traces de pneumatiques laissées dans la galerie, il ne savent pas si les traces qu’ils considèrent comme les plus fraîches, ont bien été faites par la voiture du suspect. C’est l’expertise faite avec la voiture, dans la cour de l’Evéché, qui va confirmer que les traces identifiées par les gendarmes correspondent exactement à la voiture de Ranucci et pas à un autre véhicule.
De la constatation des gendarmes, nous pouvons avoir la certitude que les traces à 32 m au fond de la galerie ont bien été faites par la voiture de Ranucci. De ce fait, l’affirmation qu’une voiture serait venu dans la galerie, après le passage de Ranucci et sans laisser aucune trace, est nulle et non avenue.
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[...]
Aucun document nous dit qu'il y a eu un déplacement de troupes dans la champignonnière après le 5 Juin et il y a un document qui nous dit qu'ils y étaient le 5 Juin.
Nous parlons de la réalisation du moulage des traces de pneus. Pour ce faire, il n’était pas nécessaire d’envoyer « les troupes ». Un ou peut être deux gendarmes, cela devait suffire et il y a bien des documents qui attestent que le 6, il y avait des gendarmes, du côté de la champignonnière.
Aucun document ne précise à quel moment les moulages ont été réalisés. C’est sur ce « manque » que vous vous permettez d’affirmer :
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On sait que les moulages ont été fait le 5 Juin, personne ne peut le contredire.
Pour ma part, je n’affirme pas que les moulages ont été effectués le 6. Compte tenu de ce « manque », je me contente de dire que les moulages
ont pu aussi être réalisés le 6.
Vous n’avez toujours pas trouvé l’argument qui peut contredire cela et vous persistez a affirmer une chose que vous savez non écrite.