Citation :
C’est de l’argumentation de Maternelle Grande Section.
On explique quelque chose d’incohérent par quelque chose qui ne l’est pas plus.
Ranucci ne pouvait pas confondre des situations où il n’est pas du même côté de la porte (droite).
Pourquoi? Quand il s'apprête à rentrer dans sa voiture il voit qu'il n'arrive plus à ouvrir sa portière. Il va de l'autre côté et ouvre sa portière droite. Puis il se rend compte seulement après (dans la champi) qu'il peut encore ouvrir sa portière de l'intérieur.
Citation :
Sûrement pas puisque la portière était bloquée.
Le postulat de Gérard Bouladou, c’est de dire que la vitre avait été volontairement laissée entr’ouverte, pour montrer que la portière pouvait s’ouvrir de l’intérieur.
La vitre était bloquée par l’accident, elle n’était donc pas ouverte volontairement et de ce fait il n’y a plus d’argument pour faire croire que la portière s’ouvrait de l’intérieur.
La vitre n'a pas forcément été laissée volontairement entr'ouverte, mais ça n'empêche pas qu'il puisse le faire après constamment.
Citation :
Non, la logique impose le contraire.
Dans un parking commun, si sur un véhicule, une des portière peut être ouverte par tout le monde, il vaut mieux le placer de façon à ce que cette portière soit contre le mur.
Sauf qu'à l'époque le niveau d'insécurité n'était pas le même qu'aujourd'hui, et dans un parking commun d'une résidence, il n'y avait quasiment aucun vol. De plus, à l'époque, il était courant, quand on se garait dans la rue, de ne pas fermer la voiture à clé, voire même de laisser les clés sur le contact pour un simple arrêt.
Citation :
Au lieu de faire des affirmations mensongères, vous pourriez discuter sur les arguments que j’ai développés et qui montre que même dans la position où l’on voit la 304 sur la photo, il était possible de descendre côté droit.
Ne le faisant pas, vous donnez raison à Jpasc95, quand il affirme que vous dites n’importe quoi.
Ca c'est vous et votre copain Jpasc95 qui le dites. Honnêtement, je n'accroche au raisonnement que vous développez, vous et votre ami!
Mais ne vous inquiétez pas, je vais m'employer à commenter vos arguments dont vous parlez.