Citation :
Ah ! désolée !
Je viens de relire l'interview de Alain Aubert par G Bouladou (p 310 de son 2ème livre) et M Aubert déclare qu'il a vu "le chauffeur qui descend à gauche"
Il ajoute d'ailleurs plus loin "Ma femme l'a dit, on l'a redit, et l'on a jamais varié"
C'est étrange en outre, car ce n'est pas ce qu'il disait en 1974-1976. Mémoire évolutive !!!!
Et il est important de bien remarquer ce que dit M Aubert "le chauffeur qui descend à gauche"
et quelques lignes plus bas : "Il descend, il descend ! Le chauffeur s'arrête. Les portières s'ouvrent. Le gosse descend également."
Jamais il ne dit "Ranucci", il dit "le chauffeur" !!!
Et plus bas, G Bouladou lui fait de nouveau préciser cet instant, mais ne prononce pas le nom de Ranucci, il parle encore de "chauffeur"
Mais oui Didi, je te suis parfaitement sur ce point.
Et il existe encore un point d'interrogation concernant l'entretien entre G.Bouladou et A.Aubert.
G.B: - Apparemment, vous avez appelé les gendarmes pour leur signaler l'accident: ils le marquent.
A.A: - Non, c'est une erreur de plus. Je n'ai jamais appelé Roquevaire.
J'y suis passé une fois (...)
G.B:- Mais vous essayez de les alerter ensuite par téléphone ?
A.A :- Non, j'alerte Marseille uniquement. (...)
Fin de l'entretien et constatation de G.Bouladou:
Le point qui m'a surpris, c'est qu'il ne se souvient pas avoir téléphoné aux gendarmes de Roquevaire, puis à ceux de Gréasque. (...) Je crois simplement que cela ne l'a pas marqué.
Encore un problème au sein de l'ouvrage de G.Bouladou.
Sources: Livre de G.Bouladou, Autopsie d'une imposture - Annexe 7, p 313 - 317.