Pour répondre à votre post, je vous cite un message de webrider daté du 14.09.2006 à 8:29 sur le fil "voiture-J.Rambla", et dont voici le lien :
Thomas a écrit cette phrase redoutable dans l'espace membre:
Citation :
le petit Jean Rambla, sur la photo que je trouve si tragique, ne reconnait pas la 304 NI LA SIMCA QUI SE TROUVE DERRIERE LUI
Le but poursuivi est bien de faire reconnaitre la 304 par Jean Rambla... on est en pleine phase d'élimination de la S1100, puisque on va convoquer E.Spinelli pour qu'il modifie son témoignage recueilli la veille...
Si Jean Rambla identifie la S1100 le travail de la police est ruiné. Souvenez vous de ce qui ressort de la longue et minutieuse enquête de M.Bouladou :
"Lorsque CRanucci fut interpellé et qu'il fut établi qu'il avait enlevé Marie dolorès Rambla avec son coupé Peugeot 304 gris métallisé, E.Spinelli revint au commissariat central de Marseille"
Il ya bien dans la cour une S1100 de couleur claire, mais a t on interrogé l'enfant à ce sujet ??? Qui connait les propos échangés avec l'enfant ???
Le PV ne dit que ce qui est utile, que l'enfant s'est attardé sur d'autres modèles par exemple... Bizarre qu'alors que le 3, le 4 et une partie du 5, on cherchait une S1100, on ne connaisse pas la réaction de Jean Rambla lorsqu'on lui en montre une ...
Rien ne me permet d'affirmer en tout cas qu'il ne l'a pas reconnue...
Je ne vois pas pourquoi les policiers n'auraient pas noté scrupuleusement eu PV que précisément Jean Rambla ne reconnait pas une simca 1100 qu'ils lui auraient montré. C'est un peu comme la présentation de Ranucci aux Aubert, on ne consigne pas tout...
La S1100 pose encore problème, puisque peu après on va demander à E.Spinelli de modifier son affirmation à ce sujet.
Si vraiment ce matin là Jean Rambla avait formellement rejeté la S1100 comme il a rejeté la 304, CA SE SAURAIT.
On peut voir aussi la scène ainsi, ce n'est pas contraire à la vérité, mais ca pose moins de questions :
N'est il pas ? Quant à celui qui a fait la photo en plan large, il était bien inspiré...
Ainsi donc on ne demande pas à l'enfant de confirmer ou d'infirmer ce dont il avait précédemment, selon son père, convaincu les policiers, à savoir
"que sa soeur était partie en simca".