Citation :
Phidek parle d’une atteinte à la démocratie. Je l’approuve en précisant qu’il oublie de dire que les exclusions existent sur tous les sites, qu’ils soient innocentistes ou culpabilistes.
Or, votre réponse ne s’adresse qu’à moi.
L’équité aurait voulu que vous ajoutiez le nom de Phidek.
Mon message citait le vôtre pour une facilité de lecture, mais effectivement, il ne vous concerne pas plus particulièrement que les autres. Aussi, je vous serais reconnaissante de bien vouloir ne pas vous sentir spécialement visé, puisqu'il s'adresse à tous les membres du forum.
Votre réponse à mon message m'offre ainsi l'occasion de le préciser si mon message initial pouvait laisser planer un doute que je m'en voudrais de laisser perdurer davantage dans votre esprit
Par conséquent, nul besoin pour vous de sombrer dans la parano
Citation :
Je ne vous conteste pas le droit d’exclure: les administrateurs ont tous pouvoirs !
Mais après que la personne est exclue, elle ne peut plus se justifier puisque tout message lui sera désormais interdit.
Je ne parle pas de ceux qui sont exclus pour écrits violents et insultants. Ceux-là ne méritent aucun pardon ni même qu’on leur offre une possibilité de se justifier.
Je parle de ceux qui ont été exclus par le simple fait que la position qu’ils défendaient était contraire à celle de la majorité des intervenants. Des exclusions pour ce seul motif, en totale opposition avec la liberté d’expression, existent, vous ne pouvez l’ignorer.
Tous pouvoirs? J'ai une conception un peu plus nuancée sur ce sujet.
En réalité, je suis de celles qui considèrent qu'ils ont tous pouvoirs lorsqu'il s'agit de veiller au respect de tous par tous (idées, et personnes).
Mais comme je suis avant tout une personne comme les autres, humaine et qui sait faire (quand cela s'avère nécessaire) sa propre auto critique, je sais reconnaître mes erreurs (quand il peut m'arriver d'en commettre) et avec le temps évoluer afin d'en commettre moins.
Je ne suis pas hermétique à la critique quand elle est justifiée et faite de manière respectueuse et constructive. Une incompréhension reste parfois possible.
Quand tel n'est pas le cas, et comme j'ai pu l'expliquer ici et ailleurs en cas de grave dérive, j'estime que chacun est alors libre de penser ce qu'il souhaite de ma personne comme de mes actes. Je sanctionne et il m'indiffère totalement de savoir de quelle manière mon geste sera perçu.
Effectivement, sur le principe, la personne exclue ne peut plus répondre. Oui, sur le principe, mais en même temps vous savez, dès lors que l'interlocuteur en arrive aux noms d'oiseaux pour s'adresser à vous et vous prend littéralement pour des cons, je vois mal de quelle argumentation nourrie je pourrais alors ensuite me priver...soyons réaliste.
Sans compter que, comme je suis loin d'être aussi naïve que j'en ai l'air, je ne doute pas que certaines des personnes concernées puissent avoir l'idée de revenir sous un autre pseudonyme pour s'expliquer enfin auprès de l'hérétique que je suis devenue à leurs yeux
Comme je suis bon prince, je les parfois laisse faire, j'avoue: Parfois amusée de constater qu'ils me croient à ce point dupe, parfois intriguée par leur persévérance à laquelle je finis par m'attacher avec le temps
Par conséquent, vous voyez, l'absence de possibilité de réponse consécutive à une exclusion est un principe qu'il convient de bien nuancer avant de s'attendrir trop facilement sur le sort de ceux qui en sont victimes (encore une fois dans des cas extrêmes et certainement pas, comme vous semblez l'affirmer, pour délit d'opinion).
Et si d'aventure cela avait été le cas, comment expliquez vous qu'avec votre "motif" d'inscription (qui ne laissait pas franchement planer de doute sur vos opinions sur l'affaire), votre inscription ait été acceptée?
Citation :
Vous avez la "gachette" facile, vous avez mauvais caractère, vous n’aimez pas qu’on vous casse les pieds » : je vous laisse bien volontiers la paternité ou plutôt la maternité de vos propos.
J’ose simplement espérer que ce ne sont pas des réactions épidermiques, pour ne pas dire primaires, qui vous conduiront à me bannir, mais bien des motifs plus objectifs.
Soyez assurée que je ferai en sorte de ne pas vous en donner l’occasion.
Ne sous estimez pas ma capacité de jugement
Pour ce qui est de votre dernière phrase, je note vos bonnes intentions et je ne peux que vous en féliciter.
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"ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort."