JPasc,
le meurtrier est allé dans une propriété privée dans les deux hypothèses les plus courament admises, vous n'y pouvez rien. Pourquoi ce qui serait aberrant pour Ranucci serait il acceptable pour l'homme au pull over-rouge?
Ranucci,
s'il est coupable, n'est pas dans un état où il peut se comporter de façoin rationnelle, vous l'oubliez sans arrêt.
Henri, Arlaten,
Je ne suis pas d'accord.
Pour les pierres, 1 hypothèse au départ, la plus probable: le coupable a frappé la petite avec les pierres.
Ranucci dit: non, ou alors je ne m'en souviens pas. (au passage, remarquez que la guge accepte de faire noter sa dénégation, qui pourtant peut lui apparaître comme fausse. Ceci, pour ceux qui ne peuvent imaginer la juge faisant autre chose qye dicter sa propre versio des faits).
et il ajoute: par contre, il ajoute avoir secoué la fillette avec la main, et dit qu'il est possible qu'elle se soit cognée alors sur le sol.
Donc, une 2ème possibilité.
Que conclue l'autopsie?
Que la contusion est due à l'appui de la tête sur un sol inégal pendant qu'étaient portés les coups.
Vous dites qu'il n'est pas question de mouvement, arlaten. Croyez vous que des coups portés ainsi n'entrainent pas de mouvement?
JPasc,
J'ai oublié de répondre quant à la fameuse phrase de Frattaci
Citation :
la découverte de deux couteaux et d'un fouet dans la malle de sa voiture permet de présumer quel sort
C'est un principe simple de grammaire: le segment "dans la malle" peut ne se rapporter qu'au fouet. En grammaire, c'est possible. Simplement, en 1ère lecture, ce n'est pas comme celà que l'on comprend la phrase, c'est pourquoi cette possibilité ne me semble pas la bonne.
Pour le reste, il est en effetpossible que les policiers aient mal regardé dans le coffre le 5 au soir. Mais si le 6 ils trouvent le couteau dans la voiture garée dans la cour de l'Evéché, ils ont leur preuve. Ils n'en parlent pas à ranucci, ils attendent de voir si spontanément, quand il avoue, il dit avoir jeté le couteau dans son coffre. Et si çà ne marche as, ils lui font dire ... (si j'ai bien compris!).
C'est une LEGENDE, de raconter que la preiuve serait plus belle dans le fumier que dans le coffre!
Joaquim,
D'accord, mais pour moi un complice est coupable, même si bie sûr çà permet de comprendre d'auters éléments.
Syd, Bruno,
La lettre deRanucci jointe au dossier est une copie: l'originale a été adressée à Mme Mathon. Il est possible que l'administration pénitentiaire ait fait une copie du récapitulatif. Je vous rappelle que le document a, entre autres, été écrit pour informer Valéry Giscard d'Estaing de la réalité des choses (selon Ranucci). A ce titre, je doute fortement que cedocument ait pu être censuré. D'autre part, une censure laisse en général des traces: paragraphe manquant, phrase non terminée, etc. Le récapitulatif a été édité par des ges favorables à la hèse de l'innocence. Croyez vous vraiment qu'ils n'aient pas discerné une trace de censure et n'en aient pas fait part?
Enfin, à nouveau, ne faisons pas de cette affaire une affaire d'état, sauf à verser dans une nouvelle théorie du complot. Imaginer l'adinistration pénitentiaire effaçant soigneusement la preuve absolue de l'innocence de Ranucci, çà me fait - veuillez m'en excuser - doucement rigoler.