Citation :
je me pose juste la question sur l'xistence du nom de cr dans les carnets dugue...il est vrai que si ce document porte le nom et l'adresse de cr..
pour l'instant je ne sais pas , par contre je sais que les partisans de la non implication de cr sont obligés de cumuler , que dis-je, d'empiler un tas d'improbabiltés pour expliquer l'innocence et lorsque je lirais une chose objective sur l'innocence ( qui ne fait aucun doute ) alors peut être douterais je moi même de sa non implication
fd
Pour ce qui concerne les carnets Dugué, l'article qui le mentionnait, publié par un torchon d'extrême droite dont on ne voudrait même pas pour s'essuyer le postérieur, dit que Ranucci habitait Marseille, donc il a tout faux.
Pour prouver l'innocence, il suffit de calculer le timing et c'est fini.
Entre le moment de l'accident, qu'on situe entre 12h00 et 12h30 et le passage de Vincent Martinez, on est bien gentil si l'on estime qu'il s'est passé une demi-heure, puisque à 13h15 exactement, Vincent Martinez est assis devant le gendarme de Gréasque pour dicter son procès-verbal.
Alors, comptons le temps qu'il faut pour se rendre à Gréasque, pour entrer dans la gendarmerie à l'heure où les types bouffent un jour de Pentecôte, pour qu'ils se dérangent et mettent le papier dans la machine avec les carbones, pour expliquer en quoi a consisté l'accident. Vous voyez le truc quoi. Vincent Martinez est arrivé à la gendarmerie, pas après 13h00.
Donc en étant très très gentil trois quart d'heures et on est très très gentil.
Donc en trois quart d'heure Christian Ranucci
1/ A un accident sérieux
2/ Tue parait-il une gamine parce qu'elle se met à crier alors que l'accident ne lui a rien fait (admirez la logique policière, c'est sublime)
3/ Cache le corps sous des brachages qu'il coupe
4/ Se change en vitesse (il a intérêt à se grouiller si on veut être dansles temps) mais selon lui, met le couteau plein de sang dans sa poche (c'est carrément grotesque)
5/ Efface toutes les traces sur ses godasses, se lave avec mir vaisselle sans doute
6/ Fait repartir sa bagnole et la cache dans le chemin vers la champignonnière après avoir (cerise sur le gâteau) soulevé la barrière.
Tout ça en trois quart d'heure ! Putain quel génie.
Et ce génie qui va plus vite que son ombre, va se viander comme le dernier des cons, en marche arrière dans une champignonnière et en plus, ce génie, eh ben il ne trouve pas mieux que de s'endormir !
Ah ben il faut-y pas être con ?
Voilà la thèse de l'accusation. Je vous laisse juge.