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Message non luPosté :22 mars 2006, 23:32 
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J'ai bien compris, mais j'en ai un peu rajouté volontairement

Désolée ! :oops:

Très amicalement


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Message non luPosté :22 mars 2006, 23:41 
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Les petites phrases assassines comme "c'etait insuffisant et on l'a quand meme guillotinné" ou "apres les analyses soit les innocentistes passeront pour des imbeciles soit les culpabilistes passeront pour des salauds" sont assez revelatrices.

Et de quoi donc, monsieur le grand psychologue ???


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Message non luPosté :23 mars 2006, 00:04 
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Citation :
J'ai bien compris, mais j'en ai un peu rajouté volontairement

Désolée ! :oops:

Très amicalement

Ne soyez pas désolée, il est préférable d'expliciter, ca devrait éviter les équivoques.

Bonsoir


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Message non luPosté :23 mars 2006, 03:44 
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Je n'ai pu consulter aucun document officiel attestant que CR était du groupe A. Je ne desespère pas que cela arrive.

En ce qui concerne la recherche du rhésus, le docteur VUILLET et le Professeur OLLIVIER écrivent dans leur rapport, page 7 : On ne peut valablement et utilement prétendre découvrir actuellement, lorsqu'on opère sur le sang desséché que les propriétés A et B sur lesquelles repose la répartition des individus en quatre groupes dits fondamentaux : A, B, AB et O, la classification pouvant s'effectuer à partir des agglutinogènes globulaires et des agglutinines du sérum correspondant.
Je remarque que vous ne demandez pas aujourd'hui l'analyse ADN des taches de sang du pantalon, ma proposition ne suscite de votre part aucune réaction. Cela léverait tous les doutes pourtant : si ce n'est pas celui de Ranucci, ce sera celui de la gamine effectivement.


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Message non luPosté :23 mars 2006, 07:43 
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Citation :
si ce n'est pas celui de Ranucci, ce sera celui de la gamine effectivement.
Non, ça peut être le sang de n'importe qui. Puisque Ranucci a oublié l'accident de mobylette, il a peut-être oublié qu'il a poignardé quelqu'un d'autre, ou bien prêté ce pantalon a quelqu'un qui a eu l'accident de mobylette à sa place... ou bien le pantalon est une pure fabrication des policiers à partir de sang du même groupe séché au four... à moins qu'on ait déjà des pantalons plein de sang déjà prêts, un par groupe sanguin, qu'il suffit d'imposer ensuite à l'inculpé à coup de matraque et d'envoyer au labo pour confirmation...

Tout est possible. La seule chose qui nous intéresse, c'est si le sang appartient à Marie-Dolorès ou pas. S'il est à quelqu'un d'autre, on n'a même pas besoin d'expliquer la provenance des taches pour que l'élément à charge tombe.


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Message non luPosté :23 mars 2006, 12:03 
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Citation :
Ce serait DOMMAGE ai-je ecrit ironiquement,a moins que vous imaginiez qu'il y ait eu une dizaine de meurtres dans les alentours de la Pomme ce jour la.
Les petites phrases assassines comme "c'etait insuffisant et on l'a quand meme guillotinné" ou "apres les analyses soit les innocentistes passeront pour des imbeciles soit les culpabilistes passeront pour des salauds" sont assez revelatrices.




Bonjour,

en ce qui me conerne, il n'y a pas de différence entre innocenter un assassin d'enfant et accuser un homme à tort et de le guillotiner.

Car, dans les deux cas respectifs, on innocenterait un homme qui a TUE UN ENFANT et dans l'autre on ACCUSERAIT A TORT UN HOMME ET ON LE GUILLOTINERAIT.

Dans la saloperie, dites-moi, ou est la différence?


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Message non luPosté :23 mars 2006, 16:22 
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webrider a écrit:
Citation :
Il reste donc que les éléments ci étaient manifestement insuffisants pour renvoyer ranucci devant la chambre d'accusation....
?
Présence sur les lieux + témoignage des Aubert (même si moi je pense la reconnaissance de Ranucci difficile à affirmer) + aveux (si, si! difficile pour le juge de ne pas en tenir compte!) + indication de l'endroit où est le couteau + pantalon taché de sang (sans que les connaissances scientifiques de l'époque permettent de montrer que c'set le sang de l'enfant, c'est vrai)...
Si avec çà le juge n'avait pas envoyé devant la chambre d'accusation, il y aurait un vrai problème!


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Message non luPosté :24 mars 2006, 01:33 
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Si tu ne vois pas la différence, Laurence, entre l'erreur judiciaire qui consiste à ne pas emprisonner un assassin, et l'erreur judiciaire qui consiste à tuer quelqu'un qui n'a rien fait, il y a vraiment un problème. Dans les deux cas, la victime est morte, mais dans l'un des deux cas, il y a en plus une deuxième victime, tout aussi innocente, et morte. Dans l'autre, non.


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Message non luPosté :24 mars 2006, 07:13 
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Citation :
Citation :
web rider : Il reste donc que les éléments ci étaient manifestement insuffisants pour renvoyer ranucci devant la chambre d'accusation....

Présence sur les lieux + témoignage des Aubert (même si moi je pense la reconnaissance de Ranucci difficile à affirmer) + aveux (si, si! difficile pour le juge de ne pas en tenir compte!) + indication de l'endroit où est le couteau + pantalon taché de sang (sans que les connaissances scientifiques de l'époque permettent de montrer que c'set le sang de l'enfant, c'est vrai)...
Si avec çà le juge n'avait pas envoyé devant la chambre d'accusation, il y aurait un vrai problème!

Ah ben vu comme ca, c'est sur...

Le problème est bien qu'on a présenté dans le dossier des éléments comme matériellement certains et qu'ils ne l'étaient pas.L'instruction, en fait, est un scénario, une accumulation d'éléments non vérifiés qu'on a présenté comme des preuves.

Je remets la page du livre de M.Laville sur la prise en charge du dossier par le juge Michel, parce que c'est un document important et qui fait réfléchir. Si vous l'aviez en mémoire, pardonnez moi, mais je comprendrais mal que ca ne vous interroge pas.
Citation :
Alain Laville, "le juge Michel", p. 87 :

"Ilda Di Marino, premier juge d'instruction, souffre d'une dépression nerveuse. Au moment de clore le dossier Rambla-Ranucci, elle quitte le cabinet d'instruction n°4 qui a tant retenti de cris et de colères pour devenir juge au siège. Le métier de juge d'instruction est un métier qui use et met les nerfs à vif. A Marseille plus qu'ailleurs.
Pierre Michel, à peine nommé juge, doit boucler le dossier, vérifier s'il est complet, puis le communiquer au parquet le 21 février 1975 pour qu'il soit transmis à la cour d'assises des Bouches-du-Rhône. Mais Pierre Michel ne veut pas devenir l'intérimaire, le remplaçant qui transmet comme une mécanique. Il étudie chaque chemise, chaque sous-chemise du dossier haut de presque un mètre, l'emporte chez lui, l'étale comme une vague sur la table de l'entrée-salle à manger.
Christian Ranucci, 22 ans, nie désormais ce dont il est accusé le jour de son arrestation avec force détails. Le meurtre de Marie Dolorès Rambla, 8 ans, criblée de quinze coups de couteau, le lundi de Pentecôte 1974, dans les bois de Peypin.

- Mais je ne peux pas transmettre un dossier pareil, s'écrie Pierre Michel. Il y a trop de points dans l'ombre. Des témoignages sont flous. Il manque des enquêtes...

Il s'en ouvre à la hiérarchie. Que n'a-t-il pas dit là ? A MArseille, quand un dossier est clos, il est clos. C'est comme,s'il était déjà jugé. Mais le juge Michel, déjà suspect par son zèle, insiste.

- Je suis sûr que Ranucci est coupable. C'est lui qui a indiqué où se trouvait le couteau, mais il faut que tous les points soient éclaircis. On n'a pas le droit de bâcler une telle affaire.

Le président du tribunal, le procureur et ses hommes de main parlent d'une même voix.
- Terminez vite ce dossier, tel qu'il est. Vous n'allez pas vous mettre à fouiller les points de détail. A Aix, ils l'attendent.
Pierre Michel vient de débuter comme juge. La hiérarchie le tient encore et lui a même conseillé s'il veut "faire carrière" de s'inscrire à son syndicat favori : l'USM qui prêche la modération. Certes, on n'a pas le droit de dessaisir le juge Michel du dossier Rambla-Ranucci, mais il n'est pas encore de taille à lutter contre la justice à l'étouffée, spécialité de la cuisine marseillaise. Il se rend, les armes à la main.

- Ce n'est pas un dossier que je vous donne, mais un brouillon d'instruction.

C'est tout juste si, par punition, il ne retourne pas en enfer, au sous-sol, dans le cabinet lumière, s'occuper de vols à la roulotte ou de querelles de voisinage. Alors il signe l'acte de renvoi et c'est lui le dernier magistrat du Palais à recevoir Christian Ranucci dans le cabinet orphelin d'Ilda di Marino pour la récapitulation finale du dossier. Ranucci en chemisette, jeans et tennis, a l'air de sortir d'un campus. Il bafouille, bredouille, s'indigne devant le juge Michel et avant de s'en aller, il lui tend la main par dessus le bureau.
- Merci Monsieur le juge. Vous êtes chic, vous.
- J'ai eu l'impression d'avoir un enfant devant moi, dira Pierre Michel, et puis, je n'imaginais pas, même en étant persuadé de sa culpabilité, que ça irait aussi loin."


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Message non luPosté :24 mars 2006, 08:47 
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Si tu ne vois pas la différence, Laurence, entre l'erreur judiciaire qui consiste à ne pas emprisonner un assassin, et l'erreur judiciaire qui consiste à tuer quelqu'un qui n'a rien fait, il y a vraiment un problème. Dans les deux cas, la victime est morte, mais dans l'un des deux cas, il y a en plus une deuxième victime, tout aussi innocente, et morte. Dans l'autre, non.

On est deux tronblons à avoir eu une réaction épidermique suite au message de carmen qui disait que les innocentistes seraient des imbéciles et les culpabilistes des salauds si il s'avérait que Ranucci était innocent.


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Message non luPosté :24 mars 2006, 08:48 
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Si tu ne vois pas la différence, Laurence, entre l'erreur judiciaire qui consiste à ne pas emprisonner un assassin, et l'erreur judiciaire qui consiste à tuer quelqu'un qui n'a rien fait, il y a vraiment un problème.
Dans le premier cas il ne s'agit pas d'erreur judiciaire mais de faute.


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Message non luPosté :24 mars 2006, 08:50 
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Citation :
Je remets la page du livre de M.Laville sur la prise en charge du dossier par le juge Michel, parce que c'est un document important et qui fait réfléchir. Si vous l'aviez en mémoire, pardonnez moi, mais je comprendrais mal que ca ne vous interroge pas.
Citation :
Alain Laville, "le juge Michel", p. 87 :

"Ilda Di Marino, premier juge d'instruction, souffre d'une dépression nerveuse. Au moment de clore le dossier Rambla-Ranucci, elle quitte le cabinet d'instruction n°4 qui a tant retenti de cris et de colères pour devenir juge au siège. Le métier de juge d'instruction est un métier qui use et met les nerfs à vif. A Marseille plus qu'ailleurs.
Pierre Michel, à peine nommé juge, doit boucler le dossier, vérifier s'il est complet, puis le communiquer au parquet le 21 février 1975 pour qu'il soit transmis à la cour d'assises des Bouches-du-Rhône. Mais Pierre Michel ne veut pas devenir l'intérimaire, le remplaçant qui transmet comme une mécanique. Il étudie chaque chemise, chaque sous-chemise du dossier haut de presque un mètre, l'emporte chez lui, l'étale comme une vague sur la table de l'entrée-salle à manger.
Christian Ranucci, 22 ans, nie désormais ce dont il est accusé le jour de son arrestation avec force détails. Le meurtre de Marie Dolorès Rambla, 8 ans, criblée de quinze coups de couteau, le lundi de Pentecôte 1974, dans les bois de Peypin.

- Mais je ne peux pas transmettre un dossier pareil, s'écrie Pierre Michel. Il y a trop de points dans l'ombre. Des témoignages sont flous. Il manque des enquêtes...

Il s'en ouvre à la hiérarchie. Que n'a-t-il pas dit là ? A MArseille, quand un dossier est clos, il est clos. C'est comme,s'il était déjà jugé. Mais le juge Michel, déjà suspect par son zèle, insiste.

- Je suis sûr que Ranucci est coupable. C'est lui qui a indiqué où se trouvait le couteau, mais il faut que tous les points soient éclaircis. On n'a pas le droit de bâcler une telle affaire.
Le président du tribunal, le procureur et ses hommes de main parlent d'une même voix.
- Terminez vite ce dossier, tel qu'il est. Vous n'allez pas vous mettre à fouiller les points de détail. A Aix, ils l'attendent.
Pierre Michel vient de débuter comme juge. La hiérarchie le tient encore et lui a même conseillé s'il veut "faire carrière" de s'inscrire à son syndicat favori : l'USM qui prêche la modération. Certes, on n'a pas le droit de dessaisir le juge Michel du dossier Rambla-Ranucci, mais il n'est pas encore de taille à lutter contre la justice à l'étouffée, spécialité de la cuisine marseillaise. Il se rend, les armes à la main.

- Ce n'est pas un dossier que je vous donne, mais un brouillon d'instruction.

C'est tout juste si, par punition, il ne retourne pas en enfer, au sous-sol, dans le cabinet lumière, s'occuper de vols à la roulotte ou de querelles de voisinage. Alors il signe l'acte de renvoi et c'est lui le dernier magistrat du Palais à recevoir Christian Ranucci dans le cabinet orphelin d'Ilda di Marino pour la récapitulation finale du dossier. Ranucci en chemisette, jeans et tennis, a l'air de sortir d'un campus. Il bafouille, bredouille, s'indigne devant le juge Michel et avant de s'en aller, il lui tend la main par dessus le bureau.
- Merci Monsieur le juge. Vous êtes chic, vous.
- J'ai eu l'impression d'avoir un enfant devant moi, dira Pierre Michel, et puis, je n'imaginais pas, même en étant persuadé de sa culpabilité, que ça irait aussi loin."


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Message non luPosté :24 mars 2006, 09:14 
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Enregistré le :26 janv. 2006, 17:20
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Oui, il semble bien que le juge Michel admettait qu'on avait prouvé la culpabilité de Ranucci (par la découverte du couteau suivant ses indications, même si ce n'est pas une preuve aux yeux de tout le monde). Il voulait simplement des éclaircissements sur de nombreux points, pour mieux comprendre, et non pas parce qu'il trouvait que la culpabilité n'était pas démontrée. Il avait raison, selon moi. Ce qui fait vraiment défaut, dans cet affaire, c'est le manque de renseignements sur des choses qui ont quand même une sacrée importance. On ne pose pas les bonnes questions aux bonnes personnes. Mais il y avait tout de même un faisceau d'indices assez épais pour démontrer la culpabilité (sans qu'une preuve irréfutable, c'est-à-dire quelque chose qui n'existe probablement que dans notre imagination, soit apportée).


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Message non luPosté :24 mars 2006, 09:30 
Citation :
Oui, il semble bien que le juge Michel admettait qu'on avait prouvé la culpabilité de Ranucci (par la découverte du couteau suivant ses indications, même si ce n'est pas une preuve aux yeux de tout le monde). Il voulait simplement des éclaircissements sur de nombreux points, pour mieux comprendre, et non pas parce qu'il trouvait que la culpabilité n'était pas démontrée. Il avait raison, selon moi. Ce qui fait vraiment défaut, dans cet affaire, c'est le manque de renseignements sur des choses qui ont quand même une sacrée importance. On ne pose pas les bonnes questions aux bonnes personnes. Mais il y avait tout de même un faisceau d'indices assez épais pour démontrer la culpabilité (sans qu'une preuve irréfutable, c'est-à-dire quelque chose qui n'existe probablement que dans notre imagination, soit apportée).
Je ne comprends pas votre raisonnement Marc.
Vous dites vous même que l'enquête n'a pas assez démontré ou vérifié les points importants. Moi je dis qu'elle a failli sur les points les plus importants : l'enlèvement lui-même, demander à JR comment il a reconnu une Simca, la découverte du couteau...
Tous ces points n'ont pas été éclairci à cause de l'aveuglement des enquêteurs qui ont probablement suivi les fermes recommendations du commissaire Cubaynes avant même les aveux de CR : vous vous souvenez de sa phrase lors de la conférence de presse : "il a reconnu l'accident, la fuite, le reste couyle de source!"

L'orientation de l'enquête était clairement établie, il fallait faire tomber à tout prix CR ! de cela je suis persuadé !

Mais vous continuez à maintenir qu'il y avait un faisceau d'indices assez épaix alors qu'à part les aveux, rien n'a été prouvé dans cette affaire.


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Message non luPosté :24 mars 2006, 09:56 
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Enregistré le :29 oct. 2005, 09:32
Messages :791
Citation :
Je ne comprends pas votre raisonnement Marc.
Vous dites vous même que l'enquête n'a pas assez démontré ou vérifié les points importants. Moi je dis qu'elle a failli sur les points les plus importants : l'enlèvement lui-même, demander à JR comment il a reconnu une Simca, la découverte du couteau...
Tous ces points n'ont pas été éclairci à cause de l'aveuglement des enquêteurs qui ont probablement suivi les fermes recommendations du commissaire Cubaynes avant même les aveux de CR : vous vous souvenez de sa phrase lors de la conférence de presse : "il a reconnu l'accident, la fuite, le reste couyle de source!"

L'orientation de l'enquête était clairement établie, il fallait faire tomber à tout prix CR ! de cela je suis persuadé !

Mais vous continuez à maintenir qu'il y avait un faisceau d'indices assez épaix alors qu'à part les aveux, rien n'a été prouvé dans cette affaire.
Qu'est ce qui justifierait un tel acharnement sur Ranucci, apprenti VRP solitaire? Y avez-vous réflechi?
Pierre Michel a raison : le couteau est la preuve maîtresse. Elle accable Ranucci. Le reste est accessoire mais aurait dû être approfondi : voilà le raisonnement du juge Michel.


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