Citation :
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Madame. Je pense que vous faites preuve d'imprudence. Vous avez laissé, un peu partout, des documents sonores et visuels illustrants vos positions et celles de vos interlocuteurs. Vous devriez donc, maintenant, beaucoup réfléchir avant d'exprimer une opinion par écrit, ici. D'aucuns pourraient avoir l'idée de commettre la goujaterie de souligner les contradictions, léger euphémisme bénévole, entre vos positions exprimées par écrit et celles que vous exprimez face à qui vous critiquez ou défendez avec si peu de recul malgré vos déclarations d'amour à la pensée de Voltaire, au doute systématique ( Serait-ce scepticisme ? Ce serait un comble pour une catholique convaincue et militante - no es una acusación gratuita, cuidado con los argumentos que Vd podría emplear en su respuesta, el que avisa no es traidor. - ), et à l'objectivité exagérée et systémique. Je vous ai accusée un jour de perfidie envers Le Forsonney. Je me vois dans l'obligation de répéter cette accusation maintenant au sujet de vos critiques sur Perrault. Vous n'êtes peut-être pas perfide, mais vous commettez une perfidie derrière l'autre, constamment, envers lui.
Évitez de me répondre en privé, s'il vous plait, il y a largement la place pour le faire ici, en public. Le silence, aussi, est une forme de réponse. Un recours à la censure, aussi.
Pas d'accord du tout
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"Aimons-nous vivants, n'attendons pas que la mort nous trouve du talent." ( Pierre Delanoë)
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