Citation :
Evidemment,et vous le savez par le simple fait de la logique et de la
déduction.
Martinez a un accident de roulage,les Aubert sont témoins,il y a délit de
fuite,absence de constat,plainte à la gendarmerie des faits,
Signalement des témoins du délit de fuite.
Donc ils ne peuvent en aucun cas,ne plus être en contact.
Sinon la plainte de Martinez n'est pas recevable.
Je pense également qu'ils ont été en contact mais aucune preuve pour transformer une hypothèse en réalité irréfutable.
Bien sur qu'ils avaient la possibilité de se contacter, ils n'ont d'ailleurs jamais nié s'être échangé les numéros de téléphone mais ceci ne veut pas dire qu'ils se sont parlés..
Pour moi, ce possible contact ne repose que sur des déductions :
- que Martinez téléphone de lui même pour prévenir les gendarmes qu'éventuellement un enfant qu'il n'a pas vu aurait pu se trouver ds la 304 me semble incongru.
- que cet appel survienne justement après celui des Aubert qui n'a pas porté ces fruits (fouille infructueuse par la petite patrouille la veille de la découverte du corps)
De ceci, ma déduction :
- les Aubert ont tenté de prévenir "à leur manière" les gendarmes, c'est à dire en édulcorant leur témoignage. D'où le paquet (qui ne peut être une erreur des gendarmes, faut arrêter..)
- ils ont pensé que ceci suffirait mais non, les gendarmes ont juste envoyé une patrouille, mais sans conviction d'être sur une affaire d'importance. Echec.
- que faire ? Dire qu'ils ont vu un enfant et pas un paquet ? Ca peut sembler louche aux yeux des gendarmes et mettre des doutes sur eux. Demander à Martinez de conforter leur témoignage en rajoutant un élément clé ? A savoir "enfant".
Selon moi, c'est cette solution qui a été choisie. Mais que de déductions..