Citation :
Juste pour votre information, les premières recherches s'orientent vers un homme et/ou sa voiture, au début aucun enfant (mort ou vivant) n'ait recherché.
Si les Aubert parlent d'un enfant pourquoi les gendarmes ne cherchent pas d'enfant ?
PV 610/1
I- Exposé des faits:
Le 5 juin 1974 à 13 heures 15, nous sommes informés par le gendarme commandant temporairement la brigade de Gréasque, qu'à la suite de renseignements téléphoniques émanant du témoin d'un accident matériel de la circulation, suivi d'un délit de fuite, survenu le 3 juin 1974 à 12h30, au carrefour des routes nationales 8bis et 96 au lieu dit "la pomme", un
rapprochement pouvait être établi entre une partir de la relation des faits et le rapt d'enfant s'étant produit à Marseille le 3 juin 1974 à 11 heures.
Le 4 juin 1974 à 15 heures 10, ce témoin, M. Aubert Alain, demeurant à Toulon avait contacté téléphoniquement la gendarmerie de Roquevaire en indiquant que la veille vers 12 heures 30, il avait poursuivi l'auteur en fuite d'un accident de la circulation et que ce dernier abandonnant son véhicule "Peugeot" gris métallisé, immatriculé 1369 SG 06, en bordure de la RN8bis, s'était enfui dans les bois en transportant un paquet assez volumineux.
Monsieur Aubert ayant eu connaissance ce jour du rapt d'enfant à Marseille, pensait que les faits dont il avait été témoin, pouvaient avoir un rapport avec l'enlèvement.
La brigade de Roquevaire
répercutait ces faits à celle de Gréasque territorialement compétente,
déjà en possession de la plainte pour délit de fuite consécutif à l'accident.
Une patrouille était immédiatement dirigée sur les lieux signalés approbativement, mais ne découvrait aucun indice positif.
Ceci prouve bien pour moi que les gendarme se déplace et pour l'accident et pour l'enlèvement