alors citez donc vos sources précises car je ne l'ai lu nulle part ni vu dans aucune émission dire cela.

Vous avez bien oublié un document cité par Dalakhani ces jours-ci, donc pourquoi pas ça aussi ?

quel document ai je oublié ?

j'attends toujours vos sources néanmoins

Celui du juge Michel. Je ne note rien. Tout est là (je montre mon crâne). Quand je fais une erreur, ça se comprend. Mais là, je suis certain de ne pas en faire.
Ça me prendrait trop de temps, et là, je dois partir. A mon retour, sûrement. Cela vous laisse du temps pour retrouver l'emplacement vous même.

Ca dépend : si vous glissez une planche sous le cric, le poids est mieux réparti et le cric s'enfonce moins,.
Le pull a été retrouvé derrière des planches, si je ne m'abuse, et je me demande pourquoi Ranucci ne s'en est pas servi pour se désembourber.
Bruno qui est de la partie, va pouvoir nous expliquer les possibilités ou non de ces deux actions mais j'ai le souvenir de m'être dégagée seule de la boue avec une chaussure de sport ( merci la TV !) mais je ne connais pas le degré d'enlisement de Ranucci.

Cordialement

Ranucci pretend avoir changé sa roue dans la galerie.
Je ne sais pas combien d'entre vous ont deja utilisé un cric, mais sur le sol meuble de la galerie ca doit pas servir a grand chose, le poids de l'auto enfoncant le cric plutot que l'inverse, du moins il me semble.

M. guazzone :
"L'homme était élégant, sympathique. Il parlait fort et riait.
"Cet homme était très déonctracté. Il nous a dit qu'il était victime d'un chauffard." Christian Ranucci raconte aux gars de la champignonière (M. Rahou et M. Guazzone) : "Je suis venu pique-niquer chez vous. Je me suis embourbé, vous ne pouvez pas me dépanner ?"
"Il était souriant, dit M. guazzano, il plaisantait en me disant qu'il faisait beau, que la vie était belle. j'étais à cent lieues de me douter que cet homme était un assassin...qu'à quelques mètres de là, il venait de tuer une petite fille. Vous vous rendez compte, conclut ce brave homme, Je l'ai aidé à tirer sa voiture, de la glissière de boue, j'ai décabossé son aile et il m'a serré la main en me disant : A bientôt ! J'ai serré la main d'un assassin... "