Je ne sais pas si c'est une info en soit, mais je suis tombé par hasard ce matin au kiosque a journaux sur un " nouveau magazine " ( enfin je dis nouveau, il semble que c'est quand meme le N° 3 ) qui s'appelle : POLAR & CRIMES, dans le meme genre et meme format que " Détective ". En couverture ce titre : " Ranucci plaidoyer pour un coupable " avec la photo de Ranucci menotté et encadré par deux flics. Bon, l'article est truffé d'erreurs (le couteau en photo est l'opinel et est désigné comme l'arme du crime, l'immatriculation de la 304 n'est pas la bonne ) enfin bref, l'affaire est résumée en 3 pages et se conclut par : " il était sans doute coupable car les témoins ( uniquement ceux de l'accusation, donc les Aubert ), la police et la justice n'ont pas pu se tromper. Celui qui est le plus visé a mon sens est encore G.Perrault qui lui est accusé, sans etre nommé une seule fois, d'avoir écrit un livre " bidonné " pour gagner de l'argent ! A vous de juger...

Dans le même genre, j’avais parcouru chez le marchand de journaux un opuscule traitant de l’affaire. L’article faisait une trentaine de pages et était notamment constitué par un entretien avec Gérard Bouladou.

J'ai lu le magazine cité par Claudio et j'ai aussi relevé un nombre effrayant d'erreurs de toutes sortes.

Ce long article n'apprendra rien de nouveau aux forumeurs. En revanche la photo du coffre de la voiture pourrait être intéressante à qui saurait en tirer partie.

Quant à la phrase : [...]quelques opportunistes qui se préoccupent de leur compte en banque et ne se souviennent plus de la mort d'une enfant."je ne suis pas sûr qu'elle aille uniquement à Gilles Perrault. Bien d'autres ont fait ( et font toujours) de l'argent avec le malheur de cette famille.

Salutations

Une chose intéressante cependant : il est rappelé dans l'article que les satyres meurtriers d'enfants usent rarement d'armes blanches pour accomplir leur forfait.

Dans l'affaire qui nous préoccupe l'usage d'un couteau montre plus de la colère ou de l'affolement qu'une réelle préméditation de satyre.