Ma remarque ne s adresse pas uniquement a Marc, mais a tout les culpabilistes, pourquoi lorsque les AUBERTS s emmellent dans leur declaration,
- ce sont toujours les journalistes qui brodent (la forme blanche, la non reconnaissance...).
- ou les gendarmes qui veulent se faire mousser ( premier appel, le gendarme decide en son ame et conscience de transformer un enfant en paquet)..
- CR qui descend de la peugeot par la portiere avant gauche bloquée par l accident (NON! la portiere s ouvrait uen derniere fois et c'est CR, qui tres Colere, tatanne sa portiere apres avoir tué l enfant, pour qu elle se referme)
- et je ne sais meme plus ce que vous aviez trouvé comme argument pour contrer le fait qu elle avait vu l enfant descendre de la portiere arriere droite d un vehicule qui ne comporte que 3 portes (coffre compris )
mais lorsque Jean-Baptiste RAMBLA ne reconnait pas une SIMCA1100, ca prouve bien que son temoignage n est pas recevable....et qu il aurait par concequent tres bien pu voir une peugeot le jour de l enlevement, voiture qui d ailleurs est devant son nez dans la cour de l eveché...
pour la non reconnaissance, l imprimerie ne se fait pas a midi, marc mais en fin de soiree, donc si le journaliste se plante pour la course au scoop en affirmant que les auberts n ont pas reconnus CR il lui est simple de repasser un coup de telephonne une heure plus tard pour retablir la verite
je ne me rapelle plus exactement mais je crois que les journalistes citent une source policiere, Joaquin, Bible journalistique
pourriez vous confirmer?
Pour en revenir a la rumeur je crois qu il existait 2 depeches AFP, l une pour la grace et l autre pour la condamnation, c'est la mauvaise qui est partie un peu en avance pourquoi? par ce que Valéry Giscard d'Estaing etait contre la peine de mort, la grace etait presque assurée a moins qu il y ait un autre enlevement d enfant.....et il y en a eu un..
et a la difference de la non reconnaissance aucun jounaliste n etait ds le bureau de Valéry Giscard d'Estaing lorsqu il prend la decision, alors que le 6 juin les journalistes "dormaient" a l eveché