Oui, celui là.
Quand bien même il l'aurait refermé et enfoncé tel quel (donc fermé) dans la terre, il n'y a rien d'inhumain.
Mais les flics ne savaient pas où était l'arme du crime, Ranucci leur indique et ils la trouvent : les aveux présentent donc des éléments inconnus des flics.

Même si le couteau est fermé, on voit qu'il est en forme d'ogive au bout lorsqu'il est fermé : dès lors, il a pu l'enfoncer fermé.

Votre spécialité, Sikh, c'est de fonctionner en circuit fermé. Quand c'est fini, on recommence. Ce n'est pas grave, je vais me répéter :

Je ne pense pas sérieusement que quel que soit l'état d'humidité de la tourbe-fumier (donc ligneuse) le 3 juin après les cataractes du 31 mai, enfoncer verticalement ce couteau à une profondeur de 20 cm d'un coup de pied est impossible... En le poussant avec un bâton oui.

Et qui vous dit qu'il ne l'a pas fait avec un batôn?

Ou avec ses mains?

On peut supposer que s'il sait où le couteau est enterré et qu'il en reconnait la propriété après qu'on soit allé le chercher, c'est qu'il la mis lui même dans la tourbe.

Et cela bien que ca ne coresponde pas exactement à ses aveux.

Je vous redis tout cela en Français :


Je ne pense pas sérieusement, que quel que soit l'état d'humidité de la tourbe-fumier (donc ligneuse) le 3 juin après les cataractes du 31 mai, qu'il soit possible d'enfoncer verticalement ce couteau à une profondeur de 20 cm d'un coup de pied... En le poussant avec un bâton oui.

On peut supposer que s'il sait où le couteau est enterré et qu'il en reconnait la propriété après qu'on soit allé le chercher, c'est qu'il l'a mis lui même dans la tourbe : après, pourquoi il dit coup de pied au lieu de bâton, je n'en sais rien.

Supposer... mais seulement supposer, ce n'est pas suffisant.

Soit ce couteau est à lui, soit il ne l'est pas. Il était trop tard et complètement abherrant de se l'approprier, sauf si on lui a prouvé par A+B qu'il ne pouvait en être autrement.

C'est le "obligatoirement" qui sonne encore aux oreilles de Mre Jean-François LeForsonney

Un pantalon sombre alors que le ravisseur porte un costume gris.

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Je vais me répéter mais essayer de refaire ce qu'il dit avoir fait et vous verrez si c'est inhumain ou pas, c'est beau de dire ça tout le temps mais pour que ça soit crédible il faut essayer
Pour dire que c'est l'arme du crime il faut faire des suppositions car rien nous le prouve.

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Ca c'est Jean qui le dit.

Spinelli dit veste claire et pantalon fonçé.

Pour ce qui est du couteau, peut-être (et ce n'est qu'une supposition), qu'il dit avoir mis un coup de pied dedans dans une sorte de nonchalance pour ne pas dire qu'il l'avait en fait enfoncé pour cacher l'arme du crime.

C'est Ranucci lui-même, le seul, s'il est coupable, a pouvoir nous dire ce qu'il c'est passé
Spinelli dit Simca et pas une 304.
Spinelli nous donne un endroit différent que celui désigné par Ranucci et Jean pour la voiture

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Je viens de lire l'intéressant chapitre de Fratacci dans lequel il explique justifie la façon dont on rédige les PV de dépositions et d'interrogatoires. Après cela, on n'a plus envie d'affirmer "Ranucci a dit..."

A t on seulement fait essayer à Ranucci ce pantalon souillé pour vérifier qu'il lui allait ? A t on trouvé le moindre objet personnel dans les poches, un mouchoir, un papier, permettant d'affirmer qu'il était à lui...

Qu'est ce qui aurait pu empêcher le meurtrier (Spinelli parle d'un pantalon de couleur sombre) de se changer et de laisser ce pantalon dans la voiture de Ranucci ?

Au pressing, j'ai fait l'expérience, parmi tous les pantalons sombres, je me tromperais une fois sur 2 si je n'avais pas le N°

Mais Ranucci a avoué... Comme d'autres...

C'est évident qu'il cache le couteau fermé, il ne faut pas oublier qu'entre le meurtre et le moment où il le cache, il le remet dans sa poche

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Je ne vois pas l'intérêt de mentir sur ce point, surtout que les gendarmes ne veulent pas en savoir plus ce qui est étrange quand même

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