Citation :
Je crois l'avoir déjà exposé Danou : en gros, l'homme au pull over-rouge fait monter Marie-Dolorès dans la 304, récupère CR qui prend le volant. CR "dépose" les 2 passagers à l'entrée de la champi du Vallon (CR ne s'était engagé qu'à participer à l'enlèvement). Après l'accident, Marie-Dolorès qui vient d'échapper à l'homme au pull over-rouge, approche de la 304 arrêtée. Les Aubert peuvent voir soit homme au pull over-rouge + Marie-Dolorès, soit CR + Marie-Dolorès. En tous cas les 3 se retrouvent dans les fourrés. Le couteau est bien l'arme du crime. Il appartient ou non à CR. Après le crime, où CR peut aiser à camoufler le corps (traces de sang sur la pantalon), les 2 vont dans le repaire de l'homme au pull over-rouge, cachent le couteau. L'homme au pull over-rouge laisse CR se débrouiller après qu'ils aient embourbé la 304.
Dans cette hypothèse de complicité imposée, le silence de Ranucci est totalement inexplicable, autant envers les enquêteurs qu'envers ses avocats.
Il est également invraisemblable dans cette hypothèse, que les avocats aient conseillé le silence devant les enquêteurs pour cause (supposée) de scénario indéfendable.
Ils ont la possibilité de donner le nom d'une personne, de diriger les enquêteurs vers des éléments concrets et ils s'en priveraient ?
Ce n'est pas crédible.