Citation :
oups !!!!
excusez-moi. J'ai fait une bourde. Veuillez m'en excuser. Et dire que j'ai vu le film et lu le livre de Perrault. Je suis confus.
Par contre ma deuxième question tient toujours.
Pour la seconde question... M.Viala s'est vu remettre les dossiers par un policier qui avait été dépêché à l'Evêché... Alessandra avait envoyé deux hommes rechercher ces PV que la défense disait avoir été distraits... Selon Gérard Bouladou, M.Viala les exhiba et en prit un qu'il lit rapidement, celui parlant d'un homme en pull vert. M.Viala qui, selon Gérard Bouladou toujours, n'avait peut etre pas lu les autres, parut furieux... on aurait menti à la cour en évoquant un HPO rouge...
D'après G.Perrault, c'est un peu plus compliqué. Le policier remet les 5 PV à G.Collard, qui les remet à M.Viala, avocat général. Après les avoir parcourus, il en choisit un...
Le livre de Jean-François LeForsonney sera utile ...
Quoi qu'il en soit, la Défenbse aurait pu et du s'insurger car elle n'avait pas eu connaissance de ces pièces (en dépit du PV des débats...).
Pour autant que ce ne soit pas l'usage, rien n'interdit à l'avocat général de reprendre la parole après les plaidoiries de la défense, pourvu que la défense ait de nouveau la parole.
Paul Lombard aurait dû réclamer une suspension pour examiner à loisir ces pièces nouvellement communiquées. Il a choisi de répondre à M.Viala, mais uniquement sur la pièce lue par l'avocat général parlant d'un chandai vert.
Tout le monde à cet instant croyait à la cassation, y compris Mre Collard...