Citation :
Je ne pense pas que CR se soit arrêté uniquement pour voir l'état de la voiture. Il a cumulé deux actions à mon avis (bien sûr) voir sa roue et aller se soulager suite au choc. Sinon, pourquoi escalader un talus ? Pour s'y cacher ? hum hum, il n'est pas idiot et sait qu'on relèvera sa plaque donc pour se soulager de quelques envies pressantes.
Oui, c'est cela, une envie pressante...........et le "paquet assez volumineux" c'est surement un pac de 24 rouleaux de "pcul", parfumés, triple épaisseur, qu'il a trouvé, à un bon prix, dans la nuit du dimanche au lundi, à Marseille, quartier Belsunce.
Non, plus sérieusement, le lien entre le choc et l'envie pressante n'existe pas. Si c'était le cas, nous aurions droit à des situations remarquables et remarquées.
De plus, si Ranucci avait eu une envie pressante, juste à ce moment là, en s'arrêtant, il aurait "traité" l'envie en priorité. Sinon ce n'est plus une envie pressante.
Pour moi, Ranucci est parti dans la colline (pourquoi parler de talus ?), tout simplement parce qu'en voyant la voiture des Aubert il a eu "les pépettes".
Citation :
Quant à l'endroit de ce 1er arrêt, je me souviens qu'avec Arlaten et quelques autres, nous étions d'accord sur un arrêt après le virage en épingle compte tenu des dépos des Aubert.
Oui, je crois avoir lu tous les messages sur le sujet, et je pense également qu'il faut situer l'arrêt après l'épingle. Les arguments sérieux pour "appuyer" cette hypothèse ne manquent pas.
Citation :
CR ne s'est pas enfui à cause de leur arrivée.
Je crois le contraire, mais si vous avez "un indice" pour étayer votre affirmation, je voudrais bien le connaître.
Citation :
Concernant les reprises bouladouniennes, peut-être que l'auteur a voulu lui "rendre hommage".
N'avait-il pas dit que c'était Gérard Bouladou qui lui avait donné le dossier ?
Oh, c'est plus grave que ça docteur...............
Bon, dans le livre, il ne cache rien de ce que lui a apporté Bouladou. Le dossier bien sûr, mais aussi les rencontres avec Alessandra/Aubert/Martinez.
L'auteur n'a pas fait un travail sérieux. Il a "rempli" son livre avec des reprises, sans vérifier qu'elles étaient impossibles. Il ne s'est pas posé beaucoup de question.
Prenons l'exemple de Rosano. L'auteur reconnaît que le témoignage fait par Rosano à Bouladou, lui a fait envisager la culpabilité de Ranucci. Au final, il "disqualifie" Rosano parce que quand il a rencontré le pizzaïolo avec des forumeurs, celui-ci a donné un habillement de Ranucci qui ne correspond pas au témoignage du petit Jean. Pourtant, il donne les articles de journaux de l'époque, qui permettent de savoir exactement où se trouvait Rosano, au moment de l'enlèvement.
L'argument "massue" qui veut que de l'endroit où il était, Rosano ne pouvait pas voir ce qu'il a déclaré avoir vu à Bouladou, il ne le donne pas.