Citation :
et ça, ça devrait vous aider à vous calmer :
"La scène vue par le garagiste est sans aucun doute celle de l'enlèvement. Il aurait pu s'agir - de nombreuses personnes intéressées par l'affaire ont émis cette hypothèse - d'une autre scène, d'une autre personne ayant des parents ou amis dans la résidence Sainte-Agnès, et venue chercher une fillette. Mais la minutieuse enquête de voisinage effectuée par les policiers a permis d'écarter cette supposition et depuis trente ans, aucune personne de la cité n'a évoqué cette possibilité."
Et savez vous qui a écrit cela ? non sûrement pas. Non, ce n'est pas G Perrault mais G Bouladou.
jpasc95 avant de tenter de calmer quelqu'un fallut il qu'il ou elle ne soit pas calme.
En ce qui me concerne comme je pense Philippine qui vous dit des choses très pertinentes, je ne pense pas que nous soyons concernés.
Passée cette digression sans intérêt, moi la pensée réelle de Mr Bouladou sur cet épisode je la connais.
Je vous invite à le contacter vous verrez ce qu'il vous en dira. C'est mieux que de penser à sa place.
Après il a écrit un livre avec le souci de ne pas difammer et d'affirmer des choses sans preuves, comme certaines de vos idoles ou vous même d'ailleurs.
Je sais aussi qu'il est humain et Spinelli fait aussi partie des gens qui lui ont donné de l'écoute...
Et que son travail suppose plusieurs versions justement pour corriger la précédente.
Mais puisque vous citez Gérard Bouladou, je vous propose de relire le passage sur Rosano et le scénario qu'il propose ainsi pour l'enlèvement... Evidemment des esprits simples comme le vôtre n'ont pas su lire entre les lignes ce que ce passage signifiait. Mais je vous invite à relire ce scénario proposé et ce qu'il implique quand à ce que dit Mr Spinelli.
"L’enlèvement s’est donc passé de la façon suivante : Christian Ranucci cherche le domicile de son camarade de régiment Maurice Benvenutti. À 600 mètres de celui-ci, ne connaissant pas bien Marseille, un peu perdu, il gare sa voiture et s’en va faire un tour à pied. Il remarque alors quatre enfants qui jouent. Voulant emmener la petite fille, il attend, appuyé contre le poteau électrique le moment propice. Il est alors repéré par M. Rosano. Lorsque ce dernier s’en va et que les enfants ne se retrouvent qu’à deux, il part chercher sa voiture, la gare l’arrière contre l’immeuble, prêt à partir précipitamment et aborde tout de suite Marie-Dolorès et Jean Rambla.
Un témoignage peut en cacher un autre…"
Ne confondez pas "interprétation" des propos d'un auteur et "relater sa pensée"...
Vous n'allez pas vous en sortir en me citant ce passage. Contactez la personne que vous citez et il vous en dira plus...