Citation :
Il y a quelque chose qui m'échappe dans ce râtissage du 04 juin....
On aurait donc une bande de gais lurons (des gendarmes) qui partiraient à la recherche d'un paquet où d'un enfant, dans les bois.
Sur la base d'un coup de fil des Aubert?
Ils y seraient allés comme ça, sans le noter, sans rien dire à personne?
C'est noté dans le rapport de la gendarmerie, de façon tout à fait officielle, le 4 au soir, suite au coup de téléphone des Aubert : "un type s'est enfui dans les fourrés en transportant un paquet assez volumineux", ils partent à quatre avec une estafette inspecter les lieux, mais ils ne trouvent rien, et le lendemain ils reviennent tôt le matin.
Citation :
Et puis, on nous dit que Mr Aubert parle d'un paquet volumineux: les gendarmes seraient partis à la recherche d'un paquet volumineux car les Aubert font le rapprochement avec l'enlèvement
?
Oui c'est d'ailleurs pour cela qu'ils n'y vont qu'à quatre avec une simple estafette. Le lien avec l'enlèvement est encore très ténu.
Si les Aubert avaient parlé d'autre chose, ils auraient fait la battue dès le 4. Mais avec les indications des Aubert, ils se contentent d'une inspection.
Citation :
Ou alors, Mr Aubert parle d'enfant et là il n'y a plus de paquet volumineux.
Là, quelque chose m'échappe.
Non, mais vous comprenez bien que si les Aubert avaient parlé d'un enfant aux gendarmes, on retrouvait la gamine le 4 au soir, pas l'après-midi du 5, c'est pour cela que la version de Bouladou ne tient pas. Ils n'ont pas pu parler d'un enfant le 4.
De plus Aubert dit maintenant qu'il n'a jamais parlé aux gendarmes (ce qui est impossible), façon de reconnaître qu'il a bel et bien parlé d'un paquet.